Dans les documents judiciaires, le cabinet d'avocats principal Jones Day et d'autres qui ont aidé Detroit à naviguer dans sa restructuration historique de la dette ont fait valoir - à la demande du juge américain des faillites Steven Rhodes - pourquoi leurs taux de facturation horaires et leur onglet final sont raisonnables. Les responsables de Jones Day, qui ont souligné qu'ils avaient déjà coupé $17,7 millions de leur onglet, ont défendu les $53,7 millions d'honoraires facturés pour environ 17 mois de travail.
