
66 Rue Laugier – 75017
18
août 2022
Le Président
Sammy Ghozlan
01 77 38 49 44
Communiqué de Presse
Le BNVCA constate une
fois de plus que derrière le mot « antiracisme » se cache un
antisémitisme antisioniste virulent
Un groupe de rap espagnol, et
féminin, a vandalisé un drapeau israélien lors d’un festival de musique à
Sziget en Hongrie. Le groupe de hip-hop espagnol, Tribade, a écrit “Israël
n'existe pas” et a dessiné un pénis sur un drapeau israélien. Le groupe,
qui revendique dans ses chansons de défendre les questions sociales et en
particulier, les droits LGBT et le féminisme, l’antiracisme et l’anticapitalisme,
bref, ce qui relève du wokisme, a jugé
utile de cracher son venin sur Israël. Israël où ont lieu de nombreuses manifestations
LGTB, alors que les pays arabes voisins hurlent d’effroi et de colère à cette seule
perspective.
Mais quelle importance. En réalisant
ce geste, le groupe Tribade a atteint deux objectifs : il a fait parler de
lui, car tout ce qui se rattache à Israël est un accélérateur de notoriété.
Deuxièmement, le groupe se joint à la meute qui confère aux palestiniens le
statut de victimes ultimes. Malgré les milliards de subventions, malgré leur
surreprésentation médiatique, les palestiniens sont les meilleures victimes du
monde, puisqu’elles permettent d’accuser Israël.
Peut-être ce groupe va-t-il
bénéficier de l’aide versée à tous ceux qui soutiennent la cause de ceux qui
rémunèrent les tueurs de juifs. L’argent n’a pas d’odeur mais il a une
histoire, celle de l’antisémitisme.
Le BNVCA souhaite à ce groupe de
minables une carrière très brève, il ne manquera pas à la scène musicale internationale