France: Gérald Darmanin veut retirer le statut de réfugié aux étrangers radicalisés ou délinquants



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France: Gérald Darmanin veut retirer le statut de réfugié aux étrangers radicalisés ou délinquants

AFP

07 mai 2021, 07:13

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Le ministre français de l'Intérieur, Gérald Darmanin à Lille, dans le nord de la France, le 23 avril 2021DENIS CHARLET / AFPLe ministre français de l'Intérieur, Gérald Darmanin à Lille, dans le nord de la France, le 23 avril 2021

Ces trois derniers mois, a souligné M. Darmanin, 147 retraits de protections ont été décidés

Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a demandé aux autorités compétentes de retirer le statut de réfugié aux étrangers connus pour des faits de radicalisation ou de troubles à l'ordre public, un tour de vis “sans précédent” qui témoigne d'un durcissement politique.

“Fait inédit, nous avons demandé à l'Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides, Ndlr) de retirer les protections d'asile pour ceux qui seraient en contradiction avec les valeurs de la République”, a indiqué le ministre de l'Intérieur dans un entretien au Figaro.

Le ministère de l'Intérieur a souligné avoir “mis un accent particulier sur la déchéance de protection pour ceux qui ont commis des actes répréhensibles, que ce soit lié à la radicalisation ou à l'ordre public”.

Ces trois derniers mois, a souligné M. Darmanin, 147 retraits de protections ont été décidés.

“C'est sans précédent. Notre politique est claire: juger les étrangers pour ce qu'ils font et pas pour ce qu'ils sont”, a-t-il précisé.

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“On sera inflexibles sur les questions d'ordre public”, a encore insisté la Place Beauvau, déclinant la priorité du moment: “Les gens qui figurent au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), dont on s'attache à ce qu'ils soient sous mesure administrative et reconduits”.

A cet égard, le ministère affirme avoir “mis hors d'état de nuire la première liste identifiée de 231 personnes, qui sont toutes sous mesures administratives, en centre de rétention ou expulsés”. 

“Avec la difficulté majeure que les éloignements sont très compliqués” dû à la fermeture des frontières liée au Covid-19.

 

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Live From The Field


La preuve que l’Europe finance le terrorisme

 

Obnubilée par le sort des Palestiniens, les éternels et uniques réfugiés de la planète, ayant le droit de recevoir des milliards de dollars d’aide, pour avoir le privilège d’être « les pseudo-victimes » d’Israël, L’Europe se plie en quatre, pour leur venir en aide sans aucun discernement. C’est ainsi qu’a été révélé ce jour(Jeudi) par le Service Général de Sécurité que des millions d’euros ont été versés aux Palestiniens pour financer des activités terroristes du Front populaire

L’enquête menée par les forces de sécurité et les FDI a révélé une vaste fraude de l’organisation du FPLP, dans laquelle ses membres ont frauduleusement soutiré de l’argent à des pays et des organisations en Europe à des fins humanitaires et l’ont transféré pour des activités terroristes palestiniennes en Judée Samarie. Ces institutions et organisations, dirigées par une organisation dénommée « comités de santé », opèrent sous les auspices d’organismes humanitaires, mais sont en fait soumises au « front populaire ». Une grande partie des fonds étant destinée aux activités terroristes du « Front populaire

 Une source du Service Général de Sécurité (SGS) indique : « Cette organisation travaille pour déstabiliser la Judée et la Samarie. » Quatre suspects arrêtés

Les forces de sécurité ont découvert un mécanisme par lequel des millions d’euros donnés par des pays aux organisations palestiniens en Europe à des fins humanitaires ont été transférés aux activités terroristes du Front populaire. Cette publication a été autorisée cet après-midi (jeudi). Quatre Palestiniens de Cisjordanie ont été arrêtés parce qu’ils étaient soupçonnés d’être impliqués dans des fraudes.

Les institutions du « Front populaire » ont trompé les organisations humanitaires en Europe par diverses méthodes. Ils ont présenté des projets et des entreprises fictives, transmis de faux documents, falsifié et gonflé des factures, lancé des offres, falsifié des documents et des cachets bancaires, signalé des salaires gonflés et plus encore. Les fonds reçus ont servi, entre autres, aux paiements de familles de terroristes, aux salaires des militants, au recrutement de nouveaux militants dans l’organisation, à la promotion des activités terroristes et d’armement, à la promotion des activités à Jérusalem et à la diffusion de propagande.

Il a été autorisé à publier que, dans le cadre des activités du Service général de sécurité, en coopération avec les FDI et la police israélienne, un mécanisme de financement de l’organisation terroriste « Front populaire « a été mis au jour grâce à l’utilisation de fonds fournis par des agences d’aide et des ONG opérant en Europe, en pratique pour l’organisation du Front populaire et opèrent sous couvert humanitaire, avec en leur centre une organisation dénommée « comité de santé ».

Feu René Shenrav a été assassiné alors qu’il voyageait avec sa famille à la source de Ein Bovin

Dans les prochains jours, des mises en accusation seront déposées contre les quatre suspects arrêtés par le tribunal militaire de Judée. Les suspects sont Taysir Abu Sharbak (47 ans) et Said Abadat (46 ans) de Ramallah qui travaillaient comme comptables pour les « comités de santé », Amro Hamuda (46 ans) d’El Bira qui était directeur du département des achats des comités, et Juan Rashmawi. (63) de Beit Sahur, de nationalité espagnole En tant que responsable de la collecte des dons des pays européens.

Une source de haut niveau du SGS a déclaré que « les activités financières intensives promues par l’organisation du Front populaire s’ajoutent à une longue lignée d’activités terroristes, qui ont été contrecarrées par le SGS ces dernières années. L’organisation du Front populaire est une organisation terroriste meurtrière qui est responsable de l’attentat à la bombe de 2019 au cours duquel Feu René Shenrav a été assassiné alors qu’il voyageait avec sa famille à la source de Ein Bovin

Le SGS continuera d’agir et de contrecarrer, l’infrastructure terroriste palestinienne et l’infrastructure financière des organisations terroristes palestiniennes, une organisation qui agit en tout temps pour saper la stabilité de la sécurité en Judée-Samarie et promouvoir les activités terroristes organisationnelles et militaires contre Israël. »

Tout cela est dénoncé depuis des années par Israël, aujourd’hui les intéressés sont pris la main dans le sac.

JForum – Sources YNET 20Ch

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Sarah Halimi – Questions au Gouvernement du député M. Meyer Habib

QAG SUR L’AFFAIRE SARAH HALIMI : JE RÉCLAME UNE COMMISSION D’ENQUÊTE PARLEMENTAIRE AVEC CONSTANCE LE GRIP ! J’ai interrogé le Garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti aux Questions au Gouvernement sur l’Affaire Sarah Halimi cet après-midi. Alors que la cour de Cassation a confirmé le 14 avril dernier qu’il n’y aurait jamais de procès en France pour juger l’assassin de Sarah Halimi, c’est désormais le rôle de la représentation nationale d’évaluer les potentiels dysfonctionnements qui ont émaillé la procédure policière et judiciaire dans cette affaire. Tant de questions restent sans réponse ! Pourquoi les 9 policiers présents ne sont-ils pas intervenus ? Pourquoi la juge d’instruction a refusé la reconstitution et de recevoir les avocats des victimes ? Pourquoi le téléphone de l’assassin n’a-t-il pas été investigué ? Etc. Déjà près de 40 députés de tous bords se sont associés à ma demande de Commission d’enquête, et je me battrai pour qu’elle voie le jour. C'est la seule issue possible pour que vérité soit faite.


Video de l'intervention de Meyer Habib à l'Assemblée nationale

Sarah Halimi – Cnews Interviews de Sammy Ghozlan et de Me Franck Serfati

AFFAIRE SARAH HALIMI : POLÉMIQUE AUTOUR DE LA CRÉATION D'UNE PAGE DE SOUTIEN À KOBILI TRAORÉ

Par Valentine Leboeuf – Mis à jour le 3 Mai 2021 à 08:53

Publié le 3 Mai 2021 à 08:50

Un groupe Facebook nommé «Comité de soutien à Kobili Traoré» est apparu le 26 avril dernier, suscitant l’indignation de nombreux internautes ainsi que de la communauté juive. Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme (BNVCA) devrait déposer une plainte auprès du procureur de la République de Paris.

Une page Facebook qui crée la polémique : c'est plus exactement un groupe apparu il y a une semaine, en soutien à Kobili Traoré, le meurtrier présumé de Sarah Halimi. On peut y lire ceci : «il faut défendre ce citoyen français persécuté par un groupe qui souhaite lyncher ce jeune homme».

Le groupe a été supprimé mais les représentants de la communauté juive ont annoncé qu'ils porteraient plainte aujourd'hui. «Il n’est pas possible dans une démocratie de pouvoir soutenir vertement et ouvertement des criminels après ce crime odieux», a ainsi fait savoir Franck Serfati, l'avocat du BNVCA.

Pour rappel, cette femme de confession juive avait été rouée de coups et défenestrée en avril 2017. Et son meurtrier, Kobili Traoré, a été récemment déclaré pénalement irresponsable. Si cette décision de justice est déjà particulièrement difficile à accepter pour les membres de la communauté juive, l'annonce de la création d'un groupe de soutien au meurtrier est pour eux tout simplement insupportable.

«Je trouve cela scandaleux. La justice dans cette affaire nous a volé la vérité, il n’est pas innocent mais irresponsable», a de son côté témoigné Sammy Ghozlan, le président du BNVCA. Le groupe Facebook réunissait 34 membres. Une fois la plainte déposée, c'est le parquet de Paris qui se saisira de l'affaire.

Sarah Cattan. Sarah Halimi. Nous demandons l’Ouverture d’une Commission d’Enquête Parlementaire

Sarah Cattan. Sarah Halimi. Nous demandons l’Ouverture d’une Commission d’Enquête Parlementaire

Alors qu’elle a enquêté sur ce que l’on appela l’Affaire d’Outreau puis l’Affaire Benalla ou l’action de l’État face aux attentats de janvier et novembre 2015, entre plusieurs autres, nombreux nous souhaitons que soit convoquée, afin de se pencher sur les zones d’ombre qui émaillent ce qu’on appelle communément aujourd’hui l’Affaire Sarah Halimi, une Commission d’enquête telle que définie par l’ajout dans la Constitution de l’article 51-2, issu de la révision du 23 juillet 2008 et modifié au 7 juillet 2018, qui leur a conféré un fondement constitutionnel[1].

Pour rappel, ces Commissions d’enquête permettent à une assemblée, au titre du contrôle de l’action gouvernementale, de recueillir des éléments d’information sur des faits précis concernant entre autres la gestion d’un service public comme, par exemple, “les dysfonctionnements de la justice”.

Pour info, La proposition de création doit définir précisément les faits, les services publics ou les entreprises nationales donnant lieu à enquête, et, Pour respecter la séparation des pouvoirs, aucune enquête ne peut être menée sur des faits faisant l’objet d’une procédure judiciaire en cours.

L’Affaire Sarah Halimi, aime-t-on à nous dire, est bouclée, et elle l’est.

Seules nos interrogations demeurent, et, pire, s’exacerbent, et n’entendent plus se taire.


Dans un papier publié sur [email protected] le 13 janvier 2020[2] et intitulé Le temps du déshonneur, La magistrate Danielle Khayat rappelait à raison que concernant L’Affaire Sarah Halimi, il était absurde et inconvenant de se contenter de se draper dans la vérité judiciaire en guise de réponse définitive à des interrogations, qu’elles soient ou non fondées sur autre chose que la légitime émotion non seulement des proches de la victime, mais de nombreuses personnes étrangères à ce cercle familial.

Aujourd’hui, au lendemain du Grand Rassemblement qui s’est tenu de par le monde dimanche 25 avril, Puisque la décision rendue le 14 avril par la Cour de cassation a fermé la porte à un renvoi de l’auteur devant la Cour d’assises et que donc Procès il n’y aura pas, nombreux nous voulons aujourd’hui des réponses à des questions rendues légitimes par les pièces du dossier.

Concernant les policiers présents sur les lieux et qui ne sont intervenus qu’après la défenestration de la victime par Traoré, nous posons la question de savoir pourquoi, basés pour d’aucuns derrière la porte de l’appartement des Diarra, pour d’autres derrière la porte de celle qui sera la victime, et concentrés pour les derniers dans la courette d’où ils verront choir les bras ballants ce corps fracassé et encore vivant, Ils ne sont pas intervenus à temps pour porter secours à Sarah Halimi de laquelle ils ont, comme tous les voisins réveillés, entendu les cris, les plaintes, les appels au secours.

Si, d’évidence, ils n’ont pas reçu l’ordre d’intervenir, ou, pire encore, s’ils ont reçu ordre de s’abstenir, nous voulons savoir quel était le donneur d’ordre cette nuit-là : le Préfet de police de Paris en fonction alors, Michel Cadot, chargé par sa fonction de planifier et de coordonner l’organisation des secours en cas de crise[3] ? Un de ses subordonnés duquel il reste comptable ? La décision de non intervention est-elle imputable au Préfet de Police, à Jean-Marc Falcone, Directeur général de la police nationale[4] qui devait informer le ministre, à Matthias Fekl, Ministre de l’Intérieur fraîchement nommé ? Nous voulons savoir.

Qu’en est-il par ailleurs du Parquet, auquel, concurremment à leur hiérarchie, les Policiers présents doivent rendre compte[5] et s’en référer : A-t-il été informé en temps et en heure de ce qui se passait et par Qui ?

Ledit Parquet de Paris étant doté d’un magistrat de permanence téléphonique et d’un autre se rendant sur les lieux où surviennent des faits le justifiant, celui-ci s’est-il présenté sur les lieux ?[6]

Si oui, a-t-il rendu compte au supérieur hiérarchique de permanence au Parquet cette nuit-là ?[7]

Comme le signalait Danielle Khayat dans ce même papier qui n’eut étrangement pas l’écho attendu, c’étaient là autant de questions qui devaient recevoir réponse et s’il ne s’agissait en aucun cas d’offrir en pâture les Policiers présents, il était question d’interroger la chaîne des commandements dont ils dépendaient, afin de découvrir les manquements ou/ et erreurs ayant abouti à la tragédie qu’on sait.

Pourquoi le réquisitoire introductif du Procureur de la République ne fut-il pas dirigé contre X pour non-assistance à personne en danger afin de faire la lumière sur les motifs de la non-intervention des services de Police ?

Pourquoi Le Parquet de Paris n’a-t-il pas ouvert une information distincte pour non-assistance à péril afin de faire la lumière sur ce dysfonctionnement ?

Danielle Khayat nous rejoignait dans ce papier en émettant l’hypothèse de savoir si c’était … la crainte d’émeutes urbaines par ceux qui avaient transformé certains quartiers en territoires perdus de la République qui donna le tempo des réponses à apporter aux légitimes interrogations du peuple français. Ce que nous avons souvent traduit par la peur de faire sortir la Rue arabe, peur sue de tous en ces temps d’Elections, peur qui aujourd’hui encore guide d’évidence tous nos dirigeants, acculés à une forme de soumission dont le pays paye chaque jour son écot.

D’autres question suivront :

La question suivante demandera soit rompu le silence sur l’état de Kobili Traoré entre son interpellation le 4 avril 2017 après son forfait et son transfert à l’hôpital Paul Guiraud de Villejuif le 16 mai suivant.

En effet, les pièces du dossier attestent que Kobili Traoré, qui a réintégré l’appartement des Diarra après son forfait, n’a opposé aucune résistance à son interpellation par les Forces de l’Ordre. On sait que ça n’est qu’une fois arrivé dans les locaux de Police qu’il fut transféré au service psychiatrique de la Préfecture de Police puis à l’hôpital St Maurice, avant d’intégrer l’Unité pour Malades Difficiles de l’hôpital Paul Guiraud de Villejuif. On sait, parce que la chose est notée ainsi. On s’étonne toutefois que ne figure, dans le scellé contenant son dossier médical, lequel servira de base aux rapports d’expertise des Docteurs Bensussan, Meyer-Buisan et Rouillon, aucune trace d’un compte-rendu dudit comportement. On s’étonne encore avec les experts de n’avoir vu figurer au dossier aucune constatation faite par les médecins qui ont examiné Traoré à son arrivée dans les locaux de Police puis au service psychiatrique de la Préfecture de Police : le scellé en effet ne contient que les documents consécutifs à l’entrée du tueur à Unité pour Malades Difficiles Henri Colin sise à Villejuif.

Ainsi, rien entre le 4 avril 2017, date d’une interpellation qui s’est opérée dans le calme et le 16 mai.

Une autre question consistera à demander encore une fois pourquoi il a fallu attendre le 20 septembre 2017 pour que fût actée comme par forceps la circonstance aggravante liée à la religion de la victime, en dépit de tous les témoignages déposés en ce sens.

Enfin, the last but non the least, nous demandons que soient interrogés les méthodes de travail inédites de la Juge Anne Ihuellou : du refus de requalification en assassinat à celui d’acter la notion de Barbarie que nul ne saurait contester au vu du rapport d’autopsie, nous listerons les manquements successifs qui firent que ne furent investigués ni la Mosquée Omar qui dut répondre d’accointances salafistes, ni le téléphone et l’ordinateur de Traoré, ni son activité sur les réseaux sociaux : Michel Gad Wolkowicz faisait note de son trouble lorsqu’il sut que le tueur usait du pseudo Fofana Boubacar[8] alias Bébé …

Nous voulons encore savoir, une fois re-discutée la question de l’abolition du discernement de Traoré, pourquoi La Cour de Cassation qui refusa, le 13 février 2018, d’acter la prise de stupéfiant comme facteur déresponsabilisant Nessim Z., l’auteur d’une tentative d’assassinat, en jugea cette fois-ci autrement.

Pour info: Nommé, le 14 juin 2017, après une chute en vélo qui l’immobilisa quelques semaines, Préfet de la région Île-de-France et Préfet de Paris, Michel Cadot sera promu le 22 juillet 2020 Délégué interministériel aux Jeux olympiques et paralympiques 2024, et Délégué interministériel aux grands événements sportifs, à compter du 17 août suivant.


Danielle Khayat est Magistrat en retraite et écrit sur MABATIM.INFO


[1] https://www.vie-publique.fr/

[2] https://mabatim.info/2020/01/13/affaire-sarah-halimi-autopsie-dun-deni/

[3] Michel Cadot avait dû faire face aux attaques du 13 novembre 2015, perpétrées contre les terrasses des bars et restaurants du Xe arrondissement, la salle de concerts du Bataclan (XIe) et à proximité du Stade de France, à Saint-Denis.

[4][4] Du 2 juin 2014 au 28 août 2017

[5] Ibidem

[6] Ibid.

[7] Ibid.

[8]  Le Gang des barbares, qui œuvra à la lente mise à mort d’Ilan Halimi, était dirigé par Youssouf Fofana

Fwd:



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AFFAIRE SARAH HALIMI : POLÉMIQUE AUTOUR DE LA CRÉATION D'UNE PAGE DE SOUTIEN À KOBILI TRAORÉ

Par Valentine Leboeuf –

 Mis à jour le 03/05/2021 à 08:53Publié le 03/05/2021 à 08:50
 https://www.cnews.fr/videos/france/2021-05-03/affaire-sarah-halimi-polemique-autour-de-la-creation-dune-page-de-soutien

 Un groupe Facebook nommé «Comité de soutien à Kobili Traoré» est apparu le 26 avril dernier, suscitant l’indignation de nombreux internautes ainsi que de la communauté juive. Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme (BNVCA) devrait déposer une plainte auprès du procureur de la République de Paris.

Une page Facebook qui crée la polémique : c'est plus exactement un groupe apparu il y a une semaine, en soutien à Kobili Traoré, le meurtrier présumé de Sarah Halimi. On peut y lire ceci : «il faut défendre ce citoyen français persécuté par un groupe qui souhaite lyncher ce jeune homme».

Le groupe a été supprimé mais les représentants de la communauté juive ont annoncé qu'ils porteraient plainte aujourd'hui. «Il n’est pas possible dans une démocratie de pouvoir soutenir vertement et ouvertement des criminels après ce crime odieux», a ainsi fait savoir Franck Serfati, l'avocat du BNVCA.

Pour rappel, cette femme de confession juive avait été rouée de coups et défenestrée en avril 2017. Et son meurtrier, Kobili Traoré, a été récemment déclaré pénalement irresponsable. Si cette décision de justice est déjà particulièrement difficile à accepter pour les membres de la communauté juive, l'annonce de la création d'un groupe de soutien au meurtrier est pour eux tout simplement insupportable.

«Je trouve cela scandaleux. La justice dans cette affaire nous a volé la vérité, il n’est pas innoncent mais irresponsable», a de son côté témoigné Sammy Ghozlan, le président du BNVCA. Le groupe Facebook réunissait 34 membres. Une fois la plainte déposée, c'est le parquet de Paris qui se saisira de l'affaire

Halte aux fake News de Reuters. Le BNVCA inquiet pour l’agence Reuters en proie à une bouffée délirante de désinformation

66 rue Laugier                                                                                4 mai 2021  

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公报

Halte aux fake News de Reuters. Le BNVCA inquiet pour l’agence Reuters en proie à une bouffée délirante de désinformation

 

 

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme, BNVCA, conteste le titre partial de l’article diffusé le 3 mai 2021 par l’Agence Reuters basée à Ramallah, concernant l’attaque au couteau perpétrée par une femme palestinienne de 60 ans qui, blessée par des soldats, a succombé plus tard à ses blessures. Le titre « Violences en Cisjordanie, une palestinienne tuée, deux Israéliens blessés » omet l’essentiel. La palestinienne tuée voulait commettre un attentat, les deux israéliens blessés ont été victimes d’un autre attentat au carrefour de Tapoua’h. Dans les deux événements cités, ce sont des palestiniens à l’origine des attaques, Reuters ignore délibérément la légitime défense des victimes juives israéliennes.  Quant à l’étrange attaque de cette femme, la question posée est de savoir si elle a voulu assurer des revenus à sa famille. En effet, il est officiellement admis et patent que tout assaillant palestinien touche un            «salaire »  de l’Autorité palestinienne aux frais des contribuables européens et français. Bien sûr, si cette femme palestinienne avait pu tuer un soldat, le salaire eût été plus élevé. Sa famille doit le regretter. De plus, faire passer l'agresseur pour la victime semble être le nouveau tour de passe-passe abject, celui qui permet l'immonde : la création d'un groupe de soutien à Kobili Traoré, le tueur islamiste, donc antisémite, de Sarah Halimi, torturée, fracassée, défenestrée, en est le modèle.

 

Les reporters de Reuters ne devraient pas se croire obligés de maquiller

la vérité au motif qu’il émettent de Ramallah. Le BNVCA refuse ces biais d’informations qui, toujours mettent Israël en accusation sans rendre compte des circonstances ni des motivations pécuniaires recherchées. 

Le BNVCA soucieux de faire baisser le niveau de haine vouée à l’état juif, haine qui pousse à l’acte antijuif, signale ces faits au ministère français de tutelle de de la presse ainsi qu’à la direction de Reuters. Nous leur demandons de remédier à ce fléau de la désinformation systémique qui engendre la violence.