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Le BNVCA demande un droit de réponse suite à un article infâme du Monde.fr, daté du 10 août 2021

66 rue Laugier – 75017                                                                Le    11 août 2021

Le Président

Sammy GHOZLAN

01 77 38 49 44

 

COMUNICATO

Le BNVCA demande un droit de réponse suite à un article infâme du Monde.fr, daté du 10 août 2021

 

 

Le BNVCA a lu avec consternation le tissu de désinformations qui a fait l’objet d’un article du Monde.fr en date du 10 août intitulé« Ils veulent aller vite, nous expulser, détruire les maisons » : dans la Ville sainte, la bataille pour Jérusalem-Est ». Alors que l’été se déroule dans une grisaille rythmée par des orages antisémites, depuis la floraison d’étoiles jaunes plus scandaleuses les unes que les autres jusqu’au contrôle des QR code des pass sanitaires par…Tsahal ( Panamza !), le Monde choisit de donner la parole aux éternelles victimes du monde , éternelles depuis 1948, les palestiniens et leurs illégitimes revendications. Le Monde aurait pu choisir de parler de la dernière enquête de l’ONG  InterSociety qui comptabilise 3 462 chrétiens tués depuis le 1er janvier, mais selon la formule bien connue Outre Atlantique «  No Jews, no news ». Seuls, les palestiniens ont le grand avantage de mettre en accusation Israël et les juifs, une thématique au succès incontesté depuis des siècles. Comme le dit la Croix  dans son article du 9 août 2021 «  Persécutions des chrétiens en Afrique : l’indifférence » avec des victimes chrétiennes, des bourreaux musulmans, «  qui s’intéresse au Nigéria ? ». 

 

Quelques points uniquement sur le titre qui veut faire pleurer dans les chaumières

« Ils » veulent aller vite. Ce « Ils «  renvoie à l’image quotidiennement propagée des soldats de Tsahal sanguinaires, tortionnaires et bien sûr génocidaires. Tsahal, la seule armée au monde à prévenir les habitants des immeubles où se cachent des sites de terroristes, avant qu’ils ne soient bombardés. Tsahal qui a emprisonné un soldat parce qu’il avait tiré sur un terroriste déjà à terre. Tsahal qui a aidé à l’accouchement d’une femme palestinienne il y a quelques jours. Bref, un «  ils » qui avance dans des chaussures qui ne lui appartiennent pas. Tsahal accusé d’un « génocide » qui permet à la population d’être multipliée par 8 en 70 ans. Mensonges, propagande et médias.

« Aller vite » Dix ans, aller vite ?  En effet, voilà dix ans que les ayant-droits des maisons dont il est question se battent devant les tribunaux israéliens pour faire reconnaître leurs droits de propriété et finalement y sont parvenus. Car le quartier dit de Sheikh Jarrah est en fait le quartier de Shimon HaTsaddik, Simon le Sage. Simon II le Juste est un grand prêtre d'Israël du IIIe siècle av. J.-C. Il est mentionné chez Flavius Josèphe comme dans la littérature rabbinique et dans le Nouveau Testament ( Source Wikipedia). Dans le Wikipedia anglais on trouve les précisions suivantes : « En 1876, la communauté juive achète le site et les terres environnantes pour 15 000 francs. Sous la direction du grand rabbin de Jérusalem, Shmuel Salant, la construction de logements dans la zone autour de la tombe a commencé en 1891. En 1948, vingt familles juives vivaient dans le quartier. Après la guerre israélo-arabe de 1948, la propriété est tombée du côté jordanien de la Ligne verte et des familles palestiniennes ont emménagé dans les maisons ».  Selon des documents ottomans présentés par l'organisation représentant les intérêts des propriétaires juifs, des terres y ont été achetées par des fiducies juives à des propriétaires terriens arabes dans les années 1870 et établissent un quartier à proximité de la tombe de Simon le Juste, mais la Jordanie y a installé, avec l’appui des Nations Unies, vingt-huit familles arabes ayant fui l’État d’Israël, en 1948.

Ce sont les descendants des familles juives qui viennent reprendre possession de leur patrimoine.  Un premier arrêt avait été rendu en 1974 en faveur des droits des descendants des Juifs expulsés mais la population arabe de Jérusalem, s’appuyant sur diverses résolutions de l’ONU, refuse cet état de faits. Or la Cour suprême d'Israël confirme en fin 2020 et début 2021 les verdicts antérieurs mais les familles palestiniennes — soutenues par diverses organisations de gauche dont l’Institut de Jérusalem pour la recherche politique, B'Tselem et Human Rights Watch — ont fait appel de cette décision. Il convient de préciser que la Cour Suprême dans sa grande sagesse avait proposé aux habitants actuels de continuer à vivre là jusqu’à leur décès dans les maisons qu’ils occupaient, moyennant un loyer. Les habitants de ces maisons, ce qui s’appellerait  ici des squatters, ont refusé : du fait de leurs droits imprescriptibles de victimes d’Israël, ils revendiquent le droit d’habiter ces maisons, sans aucun droit de propriété, et sans loyer. Le lundi 10 mai devait être le jour fixé pour l’expulsion légale. Le résultat fut la pluie de missiles envoyés sur Israël. L’opération de mai 2021 ne s’appelle pas «  Gardien des Murs » par pur hasard.   

Le BNVCA s'interroge sur la réaction de la rédactrice de cet article si un jour elle venait à tomber sur de tels squatters qui auraient  occupé la maison de ses parents ou de ses grands-parents  en lui déniant tout droit. Le BNVCA y consacrerait alors  un article, scandalisé, bien sûr.

La ville sainte

Citée des centaines de fois dans  les Textes du Judaïsme, Jérusalem est absente du Coran, si ce n’est dans le fameux rêve du Prophète. D’ailleurs Jérusalem n’était pas au cœur des préoccupations du monde arabe où la Mecque occupait de très loin la place prépondérante. Le narratif palestinien dans sa soif de conquérir «  la Palestine de la mer au Jourdain », c’est-à-dire sans Israël et sans juifs, a instrumentalisé Jérusalem pour la mettre au cœur du conflit. Le vote, en octobre 2016, de la honte de l’Unesco , qui appelait la place devant le Mur des Lamentations,  Al Buraq en a été le point culminant, peut-être la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

Jérusalem Est  À l’issue de la Guerre des Six Jours, Israël a rétabli sa souveraineté sur l'intégralité de Jérusalem, et déclare la ville sa « capitale une et indivisible ». Le tram de Jérusalem traverse tous les quartiers de la ville et la procédure entreprise par des organisations arabes  pour l’interdire a échoué.

Bref, inutile de lire l’article qui donne la parole à des squatters antisémites qui remettent en cause le droit de la propriété universellement reconnue, le droit d’Israël et aux juifs d’avoir un pays sur leur Terre Promise et d’avoir pour capitale Yerushalayim, capitale une et indivisible, où se trouvent non seulement le Kotel, le Mont du Temple, la Cité de David mais aussi l’ambassade des Etats-Unis.

Le BNVCA attend  l’article sur les 3 462 Chrétiens tués ou sur le sort des millions de réfugiés que compte chaque année le  monde, réfugiés politiques et climatiques, qui ne bénéficient d’aucune attention des médias, ni d’aucun organisme dédié tel que l’Unrwa et ses milliards de dollars et qui n’auront jamais un quelconque droit au retour. 


Sammy Ghozlan                                                     Evelyne Gougenheim

Le BNVCA accuse Libération d’avoir adopté la rhétorique des faussaires de l’histoire, les affidés BDS

66 rue Laugier – 75017                                                          Le    9 août 2021

Le Président

Sammy GHOZLAN 

01 77 38 49 44

 

 

COMUNICATO

Le BNVCA accuse Libération d’avoir adopté la rhétorique des faussaires de l’histoire, les affidés BDS

 

Linoy Ashram.jpg

                       ( source M. F. , Linoy Ashram : Photo 1 en uniforme de Tsahal, photo 2 Tokyo)

 

Le BNVCA accuse Libération d’avoir complètement adopté la rhétorique des faussaires de l’histoire, les affidés BDS. En effet, trois jours après avoir publié la honteuse tribune appelant au « démantèlement » de l’Etat juif pour cause « d’apartheid », Libération dans un Tweet du 30 juillet,  épouse en secondes noces scabreuses les thèses fumeuses de BDS sur le «  blanchiment d’Israël par le sport » dans une formule plus subtile : le soft power. Au prétexte que l’équipe de base-ball d’Israël aurait été constituée par la recherche de joueurs américains juifs – et heureux de retrouver leurs racines -, Libé annonce dans son titre la volonté d’Israël d’instrumentaliser le sport en tant que soft power pour améliorer son image. Si l’entraîneur de l’équipe israélienne déclarait : « L’image d’Israël est tellement écornée à l’international, que cela peut être utile d’avoir des ambassadeurs partout» montrant un lien entre le sport et l’image d’Israël, la même logique ne prévaut-elle pour chaque pays ? Les équipes de France, par exemple, ne sont-elles constituées que de joueurs nés à Montluçon ou dans l'hexagone ?

 

Seul Israël se voit dénier le droit de constituer son équipe et de participer aux compétitions internationales. Comme seul est dénié à Israël le droit d’exister en tant qu’Etat juif et démocratique, dont 20% de la population est arabe avec des représentants élus.  Mais il y a 57 pays arabes recensés par la Coopération islamique, sans, pour la plupart d'entre eux,  aucune minorité représentée. Rappelons à Libération que les juifs traversant par mégarde les territoires sous contrôle palestinien sont menacés de mort et que, bien sûr, il n’y a pas un juif vivant à Gaza. Cette charge contre Israêl peut être liée à la nomination du directeur de Libération, ancien de Haaretz, et capable de virulence dans la haine de soi et de son propre pays. Que Libération se relise : l’apartheid se trouve là, dans la véritable haine de ceux qui revendiquent « une Palestine historique (!) de la mer au Jourdain », une palestine qui n’a jamais existé. Sauf sous mandat britannique, mais c’était« la Palestine mandataire », avec un drapeau arborant l’Etoile de David. Et qui n’existera jamais. En attisant la haine d’Israël qui pousse à l’acte anti-juif, Libération participe de la déferlante d’antisémitisme actuel et, à ce titre, est responsable et coupable.

 

Le BNVCA demande à Libération un droit de réponse et déclare que l’offre promotionnelle à 1€, pour 3 mois d'abonnement, c'est encore beaucoup trop cher pour lire de telles insanités.

 

Enfin le BNVCA souhaite à Libération de faire une première page sur la médaillée d’or de gymnastique artistique, la sublime  Linoy Ashram qui porte l’image d’Israël au firmament  (voir photo ci-dessus). Si elle porte aussi l’uniforme de Tsahal, l’armée de Défense d’Israël, c’est parce que, comme tous les israéliens et israéliennes de son âge, Linoy Ashram sert son pays pour le défendre contre ceux qui chaque jour tentent de poignarder, violer, attaquer et tuer des juifs israéliens.   

Le BNVCA dénonce l’article du Point qui verse des larmes pour les palestiniens incommodés par les gaz lacrymogènes et décrète dans la foulée la Cisjordanie terre palestinienne.

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66 rue Laugier 75017 PARIGI                                                                         Le 26 juillet 2021

 

Le Président

Sammy GHOZLAN 

01 77 38 49 44

 

 

 

COMUNICATO

Le BNVCA dénonce l’article du Point qui verse des larmes pour les palestiniens incommodés par les gaz lacrymogènes et décrète dans la foulée la Cisjordanie terre palestinienne.

 

Le BNVCA dénonce l’article du Point qui témoigne d’une compassion

extrême pour les palestiniens victimes de gaz lacrymogènes sans mentionner les pierres qu’ils jettent pour tuer et les milliers de pneus brûlés aux fumées noires destinées à intoxiquer les populations civiles israéliennes.

                Le BNVCA s’étonne qu’à l’heure où la recrudescence de l’antisémitisme est visible, à l’heure où chaque jour de nouvelles instrumentalisations des symboles de la Shoah viennent heurter le devoir de mémoire, un article publié le 23 juillet par le Point développe la souffrance des palestiniens « victimes de gaz lacrymogènes ». Pas un mot de l’enfer que vivent les populations civiles israéliennes : des pierres jetées à l’aveugle sur des bus, des voitures ou des bébés, pas un mot des milliers de pneus brûlés, 80 000 pneus !, avec leurs fumées hautement toxiques. Le Point y avait consacré un article parlant d’un ton badin de ces pneus brûlés jours après jour par des jeunes désœuvrés. Il est vrai que l’article du 23 juillet se termine par une condamnation sans appel. En effet, ignorant que l’appellation officielle est celle de « territoires disputés » qui doivent faire l’objet de négociations de paix, l’article désigne ces territoires comme suit : « la Cisjordanie est un territoire palestinien occupé depuis 1967 » illégalement par Israël. Nous ne ferons pas l’affront de rappeler que les villes autour de l’avant-poste d’Eviatar s’appellent Hébron ou Beit El, ni que cette région s’appelle les Monts de Judée. Trop compliqué aussi de rappeler que si ce lieu a été choisi c’est à la mémoire du jeune père de cinq enfants Eviatar Borovsky poignardé par un palestinien alors qu’il attendait l’autobus. De surcroît, l’Etat hébreu a suspendu l’installation des nouveaux habitants d'Eviatar à une décision de justice et les habitants se sont retirés, conformément au respect dû à la loi d’un état démocratique. Nous ne rappellerons pas non plus que la Palestine portait le nom de Palestine mandataire sous mandat britannique, que ceux qui qui détenaient un passeport palestinien étaient aussi des juifs comme Golda Meïr et que le drapeau de la Palestine mandataire porte une belle étoile de David.  Inutile de remonter à la Bible, ou à Chateaubriand ou à l’une des centaines de traces archéologiques, il suffit de prendre en compte ce que furent les accords de San Remo, puis la Déclaration Balfour et le vote des Nations Unies ainsi que tous les rapports de l’ONU pourtant si peu favorables à l’Etat juif, rappelant le caractère non définitif des frontières d’Israël.

On aurait attendu que le journaliste rapporte des faits et non pas ses états d’âme, mais manifestement, le Point, reprenant un communiqué de l’AFP, se range aux côtés de l’adjoint au maire de Beita, M. Moussa Hamayel comme le Board de Ben & Jerry décidant de se ranger aux injonctions de boycott, ou le judoka algérien qui a déclaré forfait pour ne pas risquer des serrer la main au judoka israélien, le Point a trempé sa plume dans une encre aux couleurs de l’antisionisme et de l’antisémitisme.

Le BNVCA demande un droit de réponse et saisit le CSA.

Le BNVCA dénonce les faux sportifs et vrais antisémites, comme le judoka algérien qui annonce se retirer des JO pour éviter le risque de serrer la main du judoka israélien Tohar Butbul, qualifié au 2ème tour

66 rue Laugier 75017 PARIGI                                                                             Le 23  juillet 2021

 

Le Président

Sammy GHOZLAN 

01 77 38 49 44

 

 

 

COMUNICATO

 

 

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( Source photo Reuters/ Marko Djurica) 


Le BNVCA ne s’étonne plus des déclarations de quelques soi-disant sportifs se retirant des JO terrorisés par le risque de serrer la main d’un adversaire israélien. Le sport qui abat les frontières ne les concerne pas, eux, c’est à dire ceux qui ont peur de prononcer le mot Israël et préfèrent dire « entité sioniste », effrayés qu’ils sont par la force et l’éternité du mot Israël.

Le BNVCA souhaite au judoka algérien, mais aussi au Conseil d’administration de Ben & Jerry et aux boycotteurs de tous acabits que, prenant acte des Accords d’Abraham signés par Israël avec le Maroc, les EAU, le Soudan et Bahreïn, ces pleutres reprennent l’entraînement de leurs neurones.   

A ceux qui s’égosillent à crier Apartheid, incapables de voir l’apartheid ailleurs qu’en Israël, le BNVCA rappelle que, désormais, Israël compte dans la coalition gouvernementale le parti islamiste Ra’am, que 20% de la population israélienne n’est pas juive, et que la nièce d’Ismaël Anyeh à l’heure où les missiles pleuvaient sur Israël se faisait soigner dans un hôpital israélien. M. le judoka algérien, qui va se faire soigner en Algérie ?

Le BNVCA conseille, en plus de l’échauffement de leurs neurones, un contrôle ophtalmologique à ces misérables aveuglés par un mal indécrottable : l’antisémitisme.

Le BNVCA souhaite à tous les sportifs et particulièrement aux 90 sportifs de la délégation israélienne de très bons Jeux Olympiques, sous le signe de la fraternité et de la loyauté. 

Le BNVCA salue le communiqué des évêques de France condamnant l’utilisation « comme un jouet » de l’étoile jaune, notamment par les anti-vaccins

BANDEAU BNVCA.JPG66 rue Laugier 75017 PARIGI                                                                         Le 23  juillet 2021

 

Le Président

Sammy GHOZLAN 

01 77 38 49 44

 

 

 

COMUNICATO

 

 

Le BNVCA salue le communiqué des évêques de France condamnant l’utilisation « comme un jouet » de l’étoile jaune, notamment par les anti-vaccins

« Des réfractaires à la vaccination ont fait usage de l'étoile jaune…La Shoah représente une horreur absolue à partir de laquelle nos conduites politiques doivent être jugées et non devenir un jouet au bénéfice de n'importe quelle cause ». Le BNVCA qui, à plusieurs reprises, a dénoncé et même déposé plainte contre ceux qui utilisent l’étoile jaune comme un gadget, se félicite de cette prise de position ferme.

En précisant « Ne confondons jamais la liberté de voyager et celle d'exister », les évêques de France mettent en exergue la différence essentielle entre l’étoile jaune imposée aux juifs qui n’avaient pas le choix, et le port d’une étoile jaune par des personnes qui refusent par choix délibéré de se faire vacciner ou sont réticents au pass santaire. Vouloir faire un parallèle entre l’étoile jaune imposée et subie par les juifs et l’étoile jaune revendiquée pour exprimer son refus d’un vaccin, qui a pour but de préserver la vie, est non seulement un dangereux contresens mais un véritable négationnisme. L’étoile jaune n’était pas un choix pour les juifs. L’étoile jaune voulait dire infâmie, exclusion et mort. L’étoile jaune des « non vaccinés » est le privilège de ceux qui font le choix de laisser les autres se faire vacciner mais viendront hurler, en cas de nouveau confinement, leur double lâcheté.

Le BNVCA remercie les évêques de France qui permettent à tous les citoyens de confession juive de se sentir moins seuls face au déferlement abject de détournement et de banalisation de la Shoah

Le BNVCA dépose plainte contre la société Spreadshirt qui a commercialisé un T-Shirt avec une étoile jaune

66 rue Laugier 75017 PARIGI                                                                         Le 22  juillet 2021

 

Le Président

Sammy GHOZLAN 

01 77 38 49 44

 

 

 

COMUNICATO

 

 

T-Shirt.jpg

 

Le BNVCA dépose plainte contre la société Spreadshirt qui a commercialisé un T-Shirt avec une étoile jaune –  semblable à celle de l’exclusion puis de la condamnation à mort des juifs par les nazis – mais là  portant la mention « Non vacciné ».

Survenant à quelques heures de l’émotion et de la colère de M. Szwarc, rescapé de la Shoah, qui témoignait ce dimanche lors de la Cérémonie du Vel d’Hiv en s’élevant de toutes ses dernières forces de l’indigne récupération de ce symbole de la Shoah, la société a déclaré être intervenue auprès de son partenaire qui commercialisait le T-Shirt de l’immonde.

Reprenant le trop connu discours de l’irresponsabilité, Spreadshirt a déclaré avoir supprimé le « design » et rompu son contrat avec son partenaire chez qui ils ont déclaré avoir trouvé « d’autres violations de leurs standards »

 Le BNVCA demande à Spreadshirt de lui transmettre le nom de ce partenaire, car il ne suffit pas d’arrêter momentanément cette diffusion, mais de dissuader

Spreadshirt, grande plate-forme de commercialisation, dans la présentation de son site, met un accent particulier sur la Responsabilité et déclare « Nous travaillons dans le respect de l’environnement et des droits de l’Homme ». Soit cette déclaration est mensongère, soit Spreadshirt n’assure aucun contrôle et ne peut donc présenter comme l’une de ses valeurs : la responsabilité. Dans les deux cas Spreadshirt aura à répondre de cette atteinte à la dignité de ceux pour qui porter l’étoile jaune était une infâmie et une condamnation à mort.

Le BNVCA charge son conseil, Me Franck Serfati, de déposer plainte contre Spreadshirt

Le BNVCA écœuré par les amalgames : un centre de vaccination tagué de croix gammées à St Paul- Lès-Dax

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66 rue Laugier 75017 PARIS                                                                             Le 22  juillet 2021

 

Le Président

Sammy GHOZLAN 

01 77 38 49 44

 

 

 

COMUNICATO

Le BNVCA écœuré par les amalgames : un centre de
vaccination tagué de croix gammées à St Paul- Lès-Dax

 

 

 

Le BNVCA constate avec effroi et écœurement
la déferlante de messages, insultes, tags et produits qui amalgament sans
scrupule vaccins, étoiles jaunes croix gammées etc…Ce lundi 21 juillet le
centre de vaccination de St Paul –lès-Dax a été retrouvé couvert de croix
gammées « mal dessinées » est-il précisé. Bien ou mal dessinées, ces croix
gammées sont le signe scandaleux de la banalisation de la Shoah, de la période
nazie. De surcroît, l’étoile jaune et croix gammées utilisées de façon
irresponsable viennent renforcer le climat ambiant qui voit la recrudescence
d’un antisémitisme tous azimuts. Reprenant le schéma moyenâgeux des rumeurs qui
ont mené aux persécutions de juifs, un complotisme délirant ne peut s’empêcher
de lier épidémie, vaccination et juifs.

Le BNVCA appelle à la vigilance des
médias et des plateformes des réseaux sociaux pour veiller à un minimum de
respect de ce qui fut la tragédie du XXème siècle.

Le
BNVCA charge son conseil Me Franck Serfati de déposer plainte 

Le BNVCA dénonce le nouvel accès d’antisémitisme et de négationnisme virulent, comparant les « sans vaccins » aux juifs portant l’étoile jaune

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66 rue Laugier 75017 PARIS                                                                        Le 15 juillet 2021

 

Le Président

Sammy GHOZLAN 

01 77 38 49 44

 

 

 

COMUNICATO

Le BNVCA dénonce le nouvel accès d’antisémitisme et de
négationnisme virulent, comparant les « sans vaccins » aux juifs
portant l’étoile jaune.

Capture étoile sans vaccin.JPG

 

Capture.JPG

Capture croix gammée seringues.JPG

Le BNVCA dénonce la nouvelle campagne nauséabonde
qui se répand sur la toile. Au prétexte de « mesures discriminatoires »
à l'encontre de ceux qui ont choisi de ne pas se faire vacciner, la
surenchère de l’ignominie se dispute à l’étalage d’un mépris malsain et
dangereux de l’histoire.

Instrumentalisation
de l’étoile jaune, détournement de sordides images de croix gammées ou de
l’entrée d’Auschwitz, le refus des anti-vaccins au nom de “la liberté de
contaminer les autres” a donné lieu à des débordements insupportables.
Comme si l’enjeu d’éviter une nouvelle vague de contaminations avec sa
cohorte de décès mais aussi ses nouvelles conséquences économiques, ne
justifiait pas les mesures annoncées et déjà appliquées dans nombre de pays.
Comme si ce douzième vaccin était insupportable. Car, du tétanos au BCG et
autres, chaque français a déjà été vacciné une dizaine de fois, sans hurler à
la mort mais en remerciant de pouvoir ainsi éviter le pire.  

Le BNVCA
dénonce ces atteintes à la vérité, à l’histoire, à la démocratie.

Le BNVCA
charge son Conseil, Me Franck Serfati de déposer plainte contre tous les minables
qui, de l’extrême-droite à l’extrême gauche, se retrouvent toujours lorsqu’il
s’agit d’antisémitisme.  

Le BNVCA déplore qu’il n’y
ait toujours pas le moindre vaccin contre l'absurdité ou l'imbécilité et
l’antisémitisme, ces maladies issues de la même souche et qui font des
ravages, depuis la nuit des temps.

Le BNVCA demande au Garde
des Sceaux de demander à tous les Procureurs de la République des Parquets de
France, d'engager d’initiative et systématiquement l'action publique contre les
auteurs de ces comparaisons insupportables et incitatives à la haine, notamment
sur FB ou autres réseaux sociaux.

Le BNVCA dénonce l’incitation à la haine et les appels au meurtre de « sionistes » par un dénommé Amine Gérard Royet et a déposé plainte contre lui

66, Rue Laugier – 75 017                                                                                              9 juillet  2021

Le Président

Sammy Ghozlan

01 77 38 49 44

 

COMUNICATO

Le BNVCA dénonce l’incitation à la haine et les appels au meurtre de « sionistes » par un dénommé Amine Gérard Royet et a déposé plainte contre lui

Capture Amine R Bon sioniste mort.JPG

Le BNVCA dénonce l’incitation à la haine et les appels au meurtre de « sionistes » par un dénommé Amine Gérard Royet, par ailleurs auteur de « L’islam, religion de tolérance et de paix ». Cet individu qui jouit d’une certaine notoriété voit ses immondes publications partagées des dizaines de fois. Participant au climat de détestation sans limite d’Israël et des juifs, comme les boycotteurs et autres Soral ou Dieudonné, Amine Gérard Royet promeut la vindicte contre Israël désigné comme pays nazi et, bien sûr, paria des Nations.

Amine Gérard Royet, est l’un des milliers de minables petits rouages qui alimentent, jour après jour, la volonté de délégitimer Israël et les « sionistes » c'est-à-dire les juifs qui refusent de se cacher, en tentant de semer la peur. Le peuple juif qui a traversé toutes les persécutions et même la Shoah se moque de ces vilaines morsures de serpents. En revanche la France, terre d’accueil et de fraternité, ne saurait s’en accommoder. Le BNVCA a procédé au signalement de cet individu aux services concernés.

 

Le BNVCA a demandé la clôture de son compte et a chargé son Conseil Me Serfati de déposer plainte à l’encontre dudit individu. 

Le BNVCA salue le sursaut des organisations internationales qui viennent de prendre des décisions, enfin empreintes de lucidité

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66, Rue Laugier – 75 017                                                                                             
9 juillet
 2021

Le Président

Sammy Ghozlan

01 77 38 49 44

COMUNICATO

Le
BNVCA salue le sursaut des organisations internationales qui viennent de
prendre des décisions, enfin empreintes
de lucidité

 

 

Le BNVCA salue la décision de
l’ONU qui, pour la première fois, associe l’antisémitisme, et d’autres formes
de haine, au terrorisme. Dans son rapport sur la Stratégie mondiale contre le Terrorisme
adopté ce mercredi, il est mentionné que les groupes terroristes sont «
inspirés par le racisme, le néonazisme, l’antisémitisme, l’islamophobie ou l’intolérance
antimusulmane, le suprémacisme racial, l’ultranationalisme, la xénophobie, l’intolérance
liée à l’orientation sexuelle ou à l’idéologie du genre et la misogynie ».
L’Ambassadeur d’Israël auprès des Nations Unies M. Gilad Erdan s’est félicité
de cette reconnaissance de la recrudescence des messages haineux qui inclut une
condamnation explicite de l’antisémitisme.

Par ailleurs, l’UE qui vient
de sortir un dossier accablant sur les manuels scolaires financés par l’UNRWA, appelle
à la suspension de  financements pour ces
livres qui prêchent l’antisémitisme, l’incitation et la glorification du
terrorisme. La dégradation de la situation actuelle ne peut être déconnectée de
dizaines d’années d’intoxication à la haine. Le BNVCA espère que les mesures de
changement nécessaire seront prises dans les plus brefs délais.

 

Enfin le Parlement Européen
examine la possibilité de poursuites contre le régime iranien et notamment contre
le Président Raïssi accusé de de crimes contre l’humanité. Amnesty International
a appelé en juin 2021 à l’ouverture d’une enquête pour crimes contre l’humanité
à son encontre, en soulignant que l’accession à la présidence de celui qui
faisait partie de « la commission de la mort »avec l’exécution de
milliers de dissidents, est un exemple terrible d’impunité.

Le BNVCA salue ce changement,
même tardif, qui va permettre de réorienter les accusations jusqu’à ce jour
exclusivement portées contre Israël.