חודש: אפריל2021

CATASTROPHE EN iSRAEL


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Israël : qui sont les victimes du drame du Mont Méron ?

Au moins 44 personnes ont perdu la vie dans des bousculades survenues au cours du pèlerinage de la fête juive de Lag Baomer, dans le nord de la Galilée.

Israël: 44 morts dans une bousculade géante lors d'un pèlerinage juif orthodoxe

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Correspondant à Jérusalem,

Les victimes de la tragédie du Mont Méron, qui a fait au moins 44 morts dans le nord de la Galilée vendredi 30 avril, sont des membres de la secte hassidique Toldot Aharan, basée principalement dans le quartier ultra-orthodoxe de Mea Shéarim, à Jérusalem. Ces haredim – littéralement les «Craignant Dieu» – vivent en vase clos. Ils se distinguent par leur degré particulier d'observance des pratiques religieuses. Ils sont dévots et antisionistes.

Ce mouvement hassidique fondé par le rabbin Aharon Roth en 1928 a mis en place de vastes barrières sociales et culturelles pour se protéger du laïcisme. Les vêtements, les coutumes et même la façon dont les hassidim passent leur temps libre sont soigneusement réglementés. La cohésion de leur entité est mise en avant plutôt que l'individu. Le sionisme et, donc, l'État israélien sont perçus comme une apostasie. Ce positionnement explique en partie les difficultés des forces de l'ordre pour encadrer le rassemblement. Selon des médias israéliens, environ 100.000 participaient à l'événement et 100.000 autres étaient attendus sur place ce vendredi pour les réjouissances.

Le pèlerinage a lieu chaque année à l'occasion de la fête juive de Lag Baomer autour du tombeau présumé de Rabbi Shimon Bar Yochaï, un talmudiste du IIe siècle auquel on attribue la rédaction du Zohar, ouvrage central de la mystique juive. Lag Baomer est en principe une fête joyeuse marquant le souvenir de la fin d'une épidémie dévastatrice parmi les élèves d'une école talmudique à cette époque. Les cérémonies comprennent des visites sur la tombe présumée du Rabbi Shimon Bar Yohai, et de grands feux sur le flanc de la montagne.

Les autorités avaient permis la présence de 10.000 personnes dans l'enceinte du tombeau mais elles ont été dépassées. 5.000 policiers avaient été mobilisés. Dans un communiqué, la police israélienne avait appelé les participants «à respecter les instructions afin que les célébrations se déroulent sans incidents». Jeudi après-midi, des participants avaient été arrêtés lors d'échauffourées avec les forces de l'ordre. Des vidéos ont montré des manifestants haredim lançant des insultes aux policiers les qualifiant de «nazis».

La crainte était alors que les célébrations traditionnelles ne se transforment en un cluster qui ferait reculer la lutte contre le Covid-19. «Quiconque se rend à Méron doit savoir qu'il risque d'être exposé à des personnes infectées par le coronavirus», avait déclaré un responsable de la santé à la radio nationale Kan. Une polémique avait vu le jour. Le gouvernement a été accusé de ne pas avoir réussi à trouver un accord sur la manière de gérer les célébrations car il redoutait de provoquer la colère des partis politiques ultra-orthodoxes en imposant des limitations strictes.

Le plus grand rassemblement organisé en Israël depuis la campagne de vaccination massive et réussie contre la Covid-19 et la régression significative de l'épidémie a finalement tourné au drame à la suite des bousculades. Le site était si densément peuplé que les sauveteurs disent avoir eu d'importantes difficultés pour évacuer les personnes prises au piège du Mont Méron.

un juge assesseur au Pôle social du TGI de Nancy a présenté sa démission pour protester contre la décision de la justice de confirmer l’irresponsabilité pénale du meurtrier de Sarah Halimi.


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Un juge assesseur au Pôle social du TGI de Nancy a présenté sa démission pour protester contre la décision de la justice de confirmer l’irresponsabilité pénale du meurtrier de Sarah Halimi.

“Quand le jugement a été rendu et que la cour de cassation a confirmé que Kobili Traoré, le meurtrier de Sarah Halimi, était rendu inaccessible à toute sanction pénale, ma première réaction en tant que juge a été de me dire «Je rêve !». Pour protester, j’ai décidé de démissionner de mes fonctions”, déclare au Figaro le juge Jack Broda.

“La justice ne doit pas être rendue par les experts. C’est pourquoi, je souhaite vivement un nouveau procès”, ajoute t-il.

“En tant que juif, évidemment cela m’a troublé : qu’est-ce que cette justice qui prend fait et cause pour ce qui semble être un assassinat antisémite ? Je veux pourtant continuer à croire en l’institution que j’ai servie pendant plus de 25 ans”, espère le juge.

La Rédaction Le Monde Juif .info | Photo : DR

Le BNVCA stupéfait devoir une Professeure de Sciences Po relayer la propagande mensongère et délictuelle de BDS

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66 rue Laugier                                                            30 avril 2021

Le
Président

Sammy
Ghozlan

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הוֹדָעָה רִשׁמִית

Le BNVCA stupéfait de
voir une Professeure de Sciences Po relayer la propagande mensongère et
délictuelle de BDS

 

Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme, BNVCA, a été
interpellé suite à une web conférence organisée le 23 avril par l’IHEDN –Jeunes portant sur
le « Conflit israélo-arabe, rétrospective et perspective ». C’est
dans le cadre de cette association qui forme les cadres et décideurs de demain
que nos requérants ont entendu Mme Elisabeth Marteu, Professeure à Sciences Po.
Une conférence qui s’inscrit sous l’égide de l’excellence, Sciences Po et
IHEDN, laissait présager le meilleur aux internautes qui furent choqués après
une longue analyse experte sur les données géopolitiques et notamment les
Accords d’Abraham, d’entendre parler de « l’intéressante approche de BDS
sur l’apartheid israélien ». Puis répondant à une question demandant de
mieux définir l’apartheid israélien, cette Professeure de Sciences Po répondit
« Je ne reprends que ce que dit BDS, il y aurait un apartheid
israélien ». Une triste réponse, qui marque l’abandon de la posture
universitaire.

Ainsi le BNVCA découvre
avec effroi comment se propage le virus mortel qui alimente la haine de l’Etat
hébreu au plus niveau de l’Etat, lors de formations qui reprennent, sans autre
examen, la propagande des BDS. Rappelons que BDS est poursuivi d’une part pour
ses appels au boycott un délit prévu et réprimé par notre législation, d’autre
part pour son incitation à la haine d’Israël liée à une propagande mensongère

Le BNVCA a saisi le Ministre de l’Education nationale
afin de l’alerter sur cette dérive malsaine, ainsi que l’Association
IHEDN-Jeunes et la direction de Sciences Po.

Le BNVCA demande des mesures concernant cette
Professeure qui n’a pas su respecter son devoir de neutralité et de réserve
  Nous demandons  un droit de réponse, c’est-à-dire l’accès à une
conférence de l’IHEDN-Jeunes afin de rétablir quelques faits. Une enceinte
universitaire de recherche et d’études doit pouvoir savoir se remettre en
cause, surtout face à une propagande qui incite à l’acte anti juif et a déjà
tué ici même en France au prétexte fallacieux de «venger les enfants palestiniens
»

Le BNVCA conteste les accusations d’apartheid et de crimes contre l’humanité, arsenal habituel de la propagande de l’organisationanti israélienne Human Rights Watch

66 rue Laugier                                                                             29 avril 2021  

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הוֹדָעָה רִשׁמִית

 

Interdiction territoire palestinien.jpgRammallah Lynchage 2000.jpgYom haatsmaout.jpg


(Photo1) Panneau signalant aux citoyens israéliens juifs qu’au-delà de ce panneau, la zone est sous contrôle de l’Autorité palestinienne et leur vie en danger.

 

(Photo 2) On se souvient de la liesse à Ramallah après le lynchage de deux chauffeurs de camion réserviste qui s’y étaient égarés. Lynchés torturés par des bourreaux en délire, ils furent éviscérés dans le bureau d’une station de police palestinienne à Ramallah ( oct. 2000)

 

(Photo 3) Yom Haatsmaout 2021, la personne (avec surlignage) est un Infirmier musulman qui alluma l’une des torches de cette Cérémonie

emblématique du Jour de l’Indépendance

 

Parce que, depuis 20 ans, l'incitation à la haine d'Israël est la source essentielle de l'antisémitisme qui a tué en Europe et particulièrement en France, au prétexte fallacieux invoqué par les terroristes ''qu'ils vengent les enfant palestiniens'', le BNVCA dénonce et condamne le procès fait une nouvelle fois à Israël pour « apartheid et crimes contre l’humanité » contre les palestiniens dans les « territoires occupés et à Jérusalem-Est ».

Le BNVCA est préoccupé par cette énième attaque partiale contre Israël, de nature à alimenter et exacerber la haine anti juive, celle-là même qui pousse à l’acte anti juif. Le tueur des enfants de l’école juive de de Toulouse et celui d’Hypercacher, tous deux empoisonnés par cette propagande toxique, ont déclaré « vouloir venger les enfants palestiniens »

Le dernier rapport de l’ONG Human Rights Watch connue pour son parti pris anti-israélien, accuse Israël. La ''prétendue étude'' à charge, se targue d’avoir interrogé le gouvernement israélien et notamment sur la comparaison des conditions de vie des palestiniens vivant dans les territoires occupés et en Israël avec celles concernant les israéliens juifs vivant dans les mêmes zones.

Aux fins d’éclairer l'opinion et tenter d’éviter que ce rapport spécial « fake news » mensonger et orienté ne pousse plus encore à la haine et l'agression des juifs, le BNVCA souhaite apporter les précisions suivantes

 

1.     Le terme de « Territoires occupés » auquel il est fait référence renvoie à la notion de « territoires disputés » qui ont fait, lors des Accords d’Oslo, l’objet d’une répartition en 3 zones en vue d’une coexistence israélo-palestinienne, mais que ces derniers ont toujours trahie par la multiplication d’attentats meurtriers à l’appel du Hamas et du Fatah.

 

2.     De quels juifs habitant dans les territoires disputés s’agit-il dans ce rapport qui dit faire une étude comparative, puisque les territoires sous contrôle palestinien sont vides de tout juif, Judenrein selon l’expression des nazis. Le récent achat, légal, de deux maisons par des propriétaires juifs dans la zone de Silwan (Jérusalem-Est) a d’ores et déjà donné lieu à des exactions et des actes de violence. Aucun israélien ne peut s’aventurer dans les zones sous contrôle palestinien, sans risquer d’être égorgé ou lynché, ceci effectivement ne porte pas le nom d’apartheid mais plutôt d’extermination. Contrairement, précisons-le, à la libre circulation sans risque de tout arabe israélien ou palestinien, sur tout le territoire national Israélien.

 

3.     La question des constructions sans permis préalables déposés par les propriétaires palestiniens se heurte comme dans tout Etat de droit à des oppositions et des jugements d’expulsion. On attend des membres de Human Rights Watch qu’ils viennent construire des maisons en Ile de France sans permis de construire. Ils pourront ainsi, lorsqu’ils seront expulsés, également crier à la discrimination et à l’apartheid contre la France.

 

4.     Human Rights Watch précise « sans justification sécuritaire légitime ». Ainsi, les attaques en tous genres : couteau, voitures-béliers, ballons explosifs, roquettes, etc… contre la population israélienne ne sont pas suffisamment significatives pour l’auteur du rapport. Il est néanmoins utile de rappeler que les attentats et le nombre de leurs victimes n’ont diminué que grâce aux mesures sécuritaires prises par l’Etat hébreu et notamment celle du mur. A  lire Human Rights Watch, Israël, pour éviter tout problème de discriminations liées aux portiques de sécurité et aux contrôles des check-points,  devrait donc laisser ses citoyens se faire égorger en silence.  La ville de Sderot, proche de Gaza et cible permanente de roquettes et d’attaques, a entrepris de construire un hôpital entièrement sécurisé comme un abri, « Miklat», afin de ne pas avoir à déplacer les malades, en cas d’attaques. Gaza, en revanche, a toujours choisi de construire des tunnels pour faire passer des roquettes et des armes et n’hésite pas à se servir des écoles et des hôpitaux comme boucliers pour ses activités de lancement de roquettes, c’est un choix.

 

 

5.     Si la notion de « crimes contre l’humanité » lorsqu’elle s’applique à Israël est d’interdire de lever la main sur un terroriste prêt à tuer, Human Rights Watch devrait attaquer la France qui vient d’abattre l’assaillant de la policière de Rambouillet

 

6.     Human Rights Watch, qui semble veiller aux droits humains des palestiniens y inclut-elle les rémunérations versées aux tueurs de juifs par Mahmoud Abbas? Le tueur d’Esther Horgen, franco-israélienne tuée à coups de pierre durant son jogging dominical, le tueur de la petite Hallel Yaffa Ariel tuée dans son sommeil à Kiriat Arba, constituent des sources de revenus mensuels pour eux ou leurs familles: des « salaires » leur sont versés selon une échelle en fonction du type d’attaques : meurtres, agressions ou autres, le salaire de l'immonde. Est-ce à cela que fait référence Human Rights Watch en parlant de droits des palestiniens ?

 

7.      Il n’est pas anodin que le responsable du rapport de Human Rights Watch , Omar Shakir, après une procédure judiciaire, ait été expulsé d’Israël en novembre 2019. On comprend son dépit d’avoir dû quitter Israël, qui arrive 12ème dans le classement mondial des pays où il fait bon vivre, après les pays nordiques toujours imbattables mais devant les Etats-Unis, la Belgique et la France. Parmi les indicateurs économiques et sociaux analysés : l’évolution du Produit intérieur brut par habitant, le système de santé et l’espérance de vie, la vaccination, la solidarité, l’aide sociale, le maintien des libertés et le niveau de corruption. La chaîne CNN a publié son classement annuel des « pays heureux où il fait bon vivre ». Le classement a été réalisé entre autres en collaboration entre le Center for Sustainable Development at Columbia University et University of British Columbia. 

8.   Avec 12 députés arabes dans la nouvelle Knesset dont certains refusèrent de prêter allégeance lors de la 1ère session, avec un Juge à la Cour Suprême, la plus haute instance judiciaire du pays, avec des commandants de police druzes, bédouins et musulmans, avec un pourcentage d’étudiants arabo-musulmans dans les universités israéliennes pouvant dépasser 30% des effectifs estudiantins et une population israélienne à 20% non-juive dont une très large majorité arabo-musulmane, parler d’apartheid israélien n'est qu'une vile propagande, mensongère et d’incitation à la haine.

 

 

Le BNVCA dénonce cette mascarade aux couleurs officielles d’un rapport international, qui, se moquant des victimes israéliennes et de la sécurité des citoyens israéliens, veut faire passer Israël, un Etat démocratique qui défend ses citoyens, pour un Etat hors-la-loi, fasciste et raciste. Que ceux qui n’ont rien à redire aux salaires versés aux tueurs de civils, de femmes et d’enfants israéliens se taisent.

Le BNVCA met en garde les médias qui, en relayant la propagande de cette ONG, attisent et exacerbent la haine anti Israël, une haine qui a déjà tué et trop tué, ici même en France. On ne peut combattre l’antisémitisme, si, en même temps, on se fait le porte-voix d’organisations qui promeuvent la haine d’Israël.

Fwd: ✅ Infolettre #34 du 29 avril 2021

Mon infolettre 

 

Mon infolettre électronique bimensuelle

Infolettre #34 / Jeudi 29 Avril 2021   

 

Chers amis,

 

La décision de la Cour de cassation de ne pas juger le meurtrier de Sarah Halimi a suscité une forte vague d'émotion. Plus de 25 000 personnes manifestaient à Paris, Place du Trocadéro (photo ci-dessous) et dans le reste de la France, le week-end dernier.

 

Sarah Halimi a été rouée de coups puis défenestrée mais son assassin ne sera jamais jugé car les juges considèrent que son voisin meurtrier, Kobilé Traoré, était sous l’emprise de bouffées délirantes liées à une consommation, pourtant volontaire, de cannabis.

 

La consommation de stupéfiants est considérée, dans de nombreux cas, comme une circonstance aggravante. Pourtant, dans cette affaire, les juges ont indiqué qu'il s'agissait plutôt d'une excuse.

 

La motivation antisémite de l'assassin, sans antécédent psychiatrique, mais au lourd casier judiciaire a pourtant été reconnue. Cependant, la famille de Sarah Halimi sera privée de procès et l’'impunité de son meurtrier définitivement acquise sous couvert d’une reconnaissance de l’irresponsabilité pénale.

 

Le gouvernement semble avoir entendu l’indignation du peuple français et pour répondre à la légitime incompréhension de beaucoup d’entre nous, le garde des Sceaux se dit ouvert à une évolution rapide de la loi.

 

Au Sénat, il y a déjà plusieurs mois, deux propositions de loi, l'une émanant de la sénatrice Union Centriste (UC) Nathalie Goulet et l'autre du sénateur Les Républicains (LR) Jean Sol ont été déposées. J’ai cosigné la seconde.

 

A la demande conjointe des présidents de groupes, Bruno Retailleau (LR) et Hervé Marseille (UC), l'examen de ces deux propositions de loi interviendra le 25 mai prochain et il faut espérer qu'une fois le texte adopté au Sénat, l'Assemblée Nationale sera en mesure de l'inscrire rapidement à son ordre du jour.

 

Ainsi, il ne sera plus possible, à l’avenir, pour les juges, de décider que le discernement n'existe pas lorsque le trouble résulte de l'absorption volontaire d'alcool ou de substance stupéfiante.

 

Souhaitons que cela permette également de répondre à l'injustice suscitée par la décision de la Cour d'appel de Paris et de la Cour de Cassation dans l'affaire de l'assassinat antisémite de Sarah Halimi.

 

Catherine Dumas

Image supprimée par l'expéditeur. Rassemblement, Place du Trocadéro, en mémoire de Sarah Halimi, dimanche 25 avril

Rassemblement, Place du Trocadéro, en mémoire de Sarah Halimi, dimanche 25 avril

 

 
Info 1

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Préconisations du Sénat pour une réouverture des lieux culturels

 

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 Info 2

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Thomas Pesquet fait rayonner la France ! 

 

 

 

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Info 3

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Vive inquiétude des organisateurs de mariage

 

 

 

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Info 4

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Faire renaître nos grands châteaux historiques…

 

 

 

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Info 5

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Festival International de la Photographie Culinaire

 

 

 

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Le BNVCA conteste et condamne les fausses accusations « d’apartheid et de crimes contre l’humanité » propagées par l’ONG Human Rights Watch, partisane et discriminatoire à l’égard d’Israël

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66 rue Laugier                                                                             27 avril 2021  

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סמי גוזלן

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הוֹדָעָה רִשׁמִית


 

Le BNVCA conteste et condamne les fausses accusations « d'apartheid et de crimes contre l'humanité » propagée par l'ONG Human Rights Watch, partisane et discriminatoire à l’égard d’Israël.  

Cette organisation, qui se tait quand les populations civiles d'Israël sont bombardées, terrorisées, assassinées, perd tout son crédit et corrompt sa réputation. On peut relever que l’auteur du rapport, Omar Shakir, Directeur de Human Rights Watch, a été expulsé d’Israël en novembre 2019 pour ses activités de soutien au boycott d’Israël. Il avait déjà été précédemment expulsé d’autres pays.

 

Cette ONG palestiniste se trompe et trompe l'opinion.

Elle est réputée être désormais dirigée par des activistes de BDS. BDS, qui dans chaque pays où il est actif,  alimente, par sa propagande, l'antisémitisme et pousse aux actes anti-juifs

Si la notion de « crimes contre l’humanité » s’applique à Israël lorsqu'un terroriste est neutralisé, alors Human Rights Watch devrait aussi attaquer la France, dont les policiers ont abattu l’assaillant qui a égorgé une policière devant le commissariat de police de Rambouillet.

 

Le BNVCA en appelle au bon sens et à la prudence des rédactions de tous les médias, presse écrite, parlée et télévisée, et leur demande de ne pas relayer la propagande de cette ONG, au risque d'attiser et d'exacerber cette haine contre l'état juif qui conduit aux meurtres de juifs partout dans le monde. On ne peut combattre l’antisémitisme, si, en même temps, on se fait le porte-voix d’organisations islamistes qui promeuvent la haine d’Israël.   

Fwd: SWC Demands Justice for Sarah Halimi in Rallies on 3 Continents

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No justice for French Jewry – no peace, no future for France

“We mourn the death of justice in France and the overwhelming indifference to the targeting of our grandmothers, parents, brothers, rabbi and children by Islamist thugs and violent anti-Semites. No justice for French Jewry – no peace, no future for France”
— Rabbi Abraham Cooper, SWC Associate Dean and Director of Global Social Action

“The memory of Sarah Halimi, Mireille Knoll and other victims of anti-Semitic hatred, lives on. We will examine every possible further legal instance”
— Dr. Shimon Samuels, CSW Director of International Affairs

sarah-halimi-zlThe Simon Wiesenthal Center stood with tens of thousands of Jews on three continents, in honor of Sarah Halimi’s memory and to demand justice for her brutal death, following the ruling of the highest French court that her killer could not stand trial. Sarah Halimi was beaten to death and thrown out her Paris apartment window in 2017.

 Paris rally for Sarah Halimi - 4  Paris rally for Sarah Halimi - 2

PARIS: Richard Odier, Centre Simon Wiesenthal President, joined with 25,000 people in Paris. CSW was one of the main organizations at the protest.

 

Los Angeles rally for Sarah Halimi_HarveyFarr Los Angeles rally for Sarah Halimi_HarveyFarr 

LOS ANGELES: Rabbi Abraham Cooper spoke at the rally in front of the French Consulate in Los Angeles, co-sponsored with BNVCA (National Bureau of Watchfulness Against Antisemitism).

תמונות: Harvey Farr
 — Watch Rabbi Abraham Cooper's speech here
 — Read Rabbi Abraham Cooper's speech here
 

 Tel Aviv rally for Sarah Halimi  Tel Aviv rally for Sarah Halimi

TEL AVIV: Dr. Shimon Samuels speaking in Tel Aviv in front of the French Embassy where, following the rally he met with France’s Ambassador to Israel, Eric Danon

 — Read Dr. Shimon Samuels' speech here
 

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Fwd: Discours de Shimon Samuels à l’occasion du rassemblement “Justice pour Sarah Halimi” – Tel Aviv, 25 avril


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Manifestation organisée par Sammy Gholzlan BNVCA
à Tel Aviv
devant l'ambassade de France
2000 personnes
Présence de Shimon Samuels Dtr Centre Shimon Wisenthal


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JUSTICE  POUR  SARAH  HALIMI
Tel Aviv, 25 avril 2021
Discours de Shimon Samuels, Directeur des relations internationales du Centre Simon Wiesenthal
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Le rassemblement devant l'Ambassade de France

En 1980, je suis venu à Paris avec le grandiose objectif de juguler l’antisémitisme. Je n’avais pas mesuré l’ampleur de la tâche.

 

Le 3 octobre de cette année-là, c’était la veille de Souccot (la fête des Tabernacles), je rendais visite à une journaliste israélienne, Tamar Golan. Elle accueillait chez elle Aliza Shagrir, l’épouse de feu le cinéaste Micha Shagrir. Aliza venait d’arriver d’Israël. Elle a demandé à son hôtesse si elle avait besoin de quelque chose pour le dîner. Tamar a suggéré quelques dattes, qu’elle pouvait se procurer chez un marchand de fruits à 300 mètres de là, en face de la synagogue Copernic. Nous sommes descendus dans la rue ensemble. Aliza a tourné rue Copernic, moi j’ai continué mon chemin tout droit. J’ai senti la déflagration de la bombe qui a tué Aliza.

 

Le lendemain, le Premier ministre Raymond Barre avait déclaré : « Cet attentat odieux qui voulait frapper les Israélites qui se rendaient à la synagogue et qui a frappé des Français innocents qui traversaient la rue Copernic. » En fait, l’une des victimes était un concierge portugais, une autre un fidèle de la synagogue, la troisième Aliza, la dernière un « Français innocent ».

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Shimon Samuels s'adressant aux nombreux manifestants

 

L’attaque terroriste de la synagogue Copernic a marqué le début de 73 fusillades et attentats à la bombe contre des cibles juives en Europe occidentale, dont 29 en France.

 

Cette vague de violence s’est achevée avec le massacre du restaurant Goldenberg, rue des Rosiers à Paris. Deux des trois meurtriers vivent depuis en Cisjordanie, le troisième en Norvège. Le Centre Wiesenthal avait demandé au Premier ministre de Norvège, Erna Solberg, l’extradition de ce dernier vers Paris pour qu’il y soit jugé. A l’heure actuelle nous ne sommes pas sûrs de l’état d’avancement du processus judiciaire. 

 

Pourquoi cette vague de terreur s’est-elle achevée en 1982 ?

 

En août de cette année-là, l’incursion d’Israël dans le sud du Liban pour détruire les camps d’entraînement des terroristes palestiniens a fait fuir les terroristes venus d’Europe, qui sont retournés chez eux. Comme ils avaient besoin d’argent, ils ont arrêté de cibler des Juifs pour s’attaquer à des banques et à des ambassades. Les autorités les ont réprimés. En France Action directe, en Italie les Brigades rouges et en Allemagne la bande à Baader ont été incarcérés.

 

Comme l’aurait dit Simon Wiesenthal, « Ce qui commence avec les Juifs ne finit jamais avec eux ».

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Shimon Samuels interviewé par la télévision israélienne i24TV

 

En novembre 2010, j’étais parti à Ottawa pour assister à la Coalition interparlementaire de lutte contre l’antisémitisme. Un suspect de l’attentat de Copernic, Hassan Diab, professeur de sociologie à l’université Carleton, se trouvait en procédure judiciaire à quelque six pâtés de maisons de là, pour une demande d’extradition qui devait le renvoyer à Paris. Le tribunal était rempli, principalement de femmes en hijabs et d’hommes en keffiehs… L’ambiance était plus celle d’un procès contre Israël.

 

Nous avons suivi cette longue procédure – qui, entre démocraties, dure normalement quelques semaines –, jusqu’à ce que Diab soit ramené en France, en 2014… En 2018, il a été remis en liberté : la Cour française a rejeté toutes les accusations, malgré une procédure d’appel.

 

Son passeport aurait été confisqué et il faisait l’objet d’une ordonnance d’interdiction de vol. Pourtant, sa disparition a pris fin lorsque des photos de lui avec sa famille à Ottawa ont été divulguées. Ceux qui devaient être au courant de son évasion, lorsqu’ils ont été approchés par notre Centre, se sont refusés à tout commentaire.

 

Résultat : après 41 ans d’attente, les familles des victimes et les blessés de Copernic ne peuvent toujours pas faire leur deuil. « Justice différée équivaut clairement à justice refusée. »

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Shimon et Graciela Samuels rencontrent l'Ambassadeur de France, Eric Danon, après la manifestation

 

La jurisprudence israélienne prévoit la « juridiction universelle ».

 

Cette procédure n’a été utilisée qu’une seule fois : en 1961, pour le procès Eichmann.

 

Dans les procédures où la violence antisémite est traitée de manière inadéquate – comme c’est le cas dans l’affaire Sarah Halimi –, nous étudions la possibilité que l’État d’Israël demande l’extradition des prévenus pour que les procès se déroulent à Jérusalem.

 

Cela pourrait être le début d’un nouveau mouvement : « Jewish Lives Matter » (JLM), « Les vies juives comptent ».

 

Merci.

Shimon Samuels

Pour contacter Shimon Samuels, écrivez à : [email protected]

Pour plus d'infos, visitez notre site : www.wiesenthal-europe.com

Le BNVCA appelle à manifester ce dimanche contre le fiasco judiciaire de l’affaire du Dr Sarah Halimi

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Le Président                                                                   22 avril 2021

סמי גוזלן 

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הוֹדָעָה רִשׁמִית

 

Manif LA.jpg



Le BNVCA, choqué par le fiasco judiciaire qui a mené à l’impunité du tueur dans le meurtre odieux et antisémite de Sarah Halimi, appelle à manifester à Paris, à Tel Aviv où le Président Sammy Ghozlan sera en tête de manifestation, à Los Angeles où le BNVCA sera également présent. A Los Angeles, le Centre Simon Wiesenthal américain et son Président seront aux côtés du BNVCA qui, là, sera représenté par Frankie Perez. 

Dans tant d'autres villes des manifestations sont prévues, notamment à

Marseille, Toulouse, Montpellier, Strasbourg, Bordeaux, Lille, Nice, Deauville, Eilat, New York, etc…


 SOYONS TOUS PRESENTS 

CE DIMANCHE 25 avril 2021 à 14h

(A Paris, Parvis du Trocadéro)

 

 

Le Bureau National de Vigilance contre l’Antisémitisme, le BNVCA, ne se résigne pas à  accepter l’impunité du tueur islamiste qui, en psalmodiant les sourates du Coran, a fracassé sa victime, Sarah Halimi, la juive, sa voisine qu’il insultait régulièrement.

Le BNVCA ne se résigne pas à la passivité des policiers, des hommes dédiés à protéger et à sauver, qui, là, à quelques mètres,  sont restés sourds aux cris de douleur de Sarah Halimi. Qui porte la terrible responsabilité de cette débâcle ?  

Le BNVCA ne se résigne pas à accepter une instruction bâclée qui a mis plus d’un an à reconnaître le caractère antisémite de ce meurtre d’une part et par ailleurs n'a pas procédé à une reconstitution et s'est refusée à toute rencontre avec les avocats. Comment l’expliquer ?

Le BNVCA ne se résigne pas à voir une Chambre de l’Instruction qui n'a même pas pris la peine d'établir de notes d’audience, rendant impossible de retrouver la  trace du revirement de l’un des experts qui, pour étayer la thèse de l’irresponsabilité, avait dans son rapport parlé de schizophrénie et qui revint sur sa déclaration en cours d'audience de la Chambre de l’Instruction, remettant en cause les fondements de tout son raisonnement. Aucune trace de ce revirement majeur, dont il ne fut tiré aucune conséquence. Pourquoi ?

Le BNVCA ne se résigne pas à ce fiasco judiciaire qui ébranle les fondements de notre société.

La perte de confiance dans l’institution judiciaire est un drame national.

Une fois de plus, les juifs sont aux avant-postes