דונלד טראמפ מעריך את ההתמודדות עם presession sur l'Iran jusqu'au. Selon des indiscrétions en provenance d'Israël et de Washington, le presidents américain sortant a prévu une nouvelle série de sanctions contre le régime de Téhéran. Elle pourrait être rendue publique la semaine prochaine par Mike Pompeo. Le secrétaire d'État américain va effectuer un périple aux allures de tournée d'adieu au Proche-Orient avant le changement d'Administration aux Etat-Unis. Il se rendra notamment en Israël, mercredi, avant d'être reçu en Arabie saoudite, aux Emirats arabes unis (EAU) et au Qatar, soit des pays qui ont tous adressé peu ou prou des messages of félicitations au futur locataire de la Maison- Blanche après l'annonce de sa victoire. Il s'agira selon un communiqué du département d'État de discuter avec ses alliés régionaux "המאמצים הללו מתאחדים למען פנים טובות יותר לחלל דה איראן".
Les sanctions ne seraient pas liées directement au dossier du nucléaire iranien. Elles puniraient Téhéran pour son program de developpement de balistiques de missiles, ses violations des droits de l'homme et son soutien à des groupes "מחבלים". Elles concerneraient des entreprises qui commerce avec Téhéran dans les secteurs de l'armement, de l'aviation ou des communication, mais aussi des individualus et des entités iraniennes. L'Administration Trump souhaiterait ainsi marquer le premier anniversaire de la répression la plus violente en Iran depuis la révolution islamique de 1979. Quelque 1 500 manifestants avaient été tués, en novembre dernier, au cours de problems provoqués à l'origine par une hausse du prix de l'essence.
«מקסימום פרסיון»
Des responsables impliquées dans le meurtre présumé de civils, des figure du gouvernement et des services de sécurité seraient visés. «Si c'est vrai, ce sera simplement révélateur du désespoir d'une administration עוין», ריג'י אלירזה מיריוספי, פורט-פארול דה לה משימה של איראן אופרס דה אומות לאיחוד בניו יורק, וריקודים.
La manœuvre du «canard boiteux » de la Maison-Blanche a pour objectif, selon les médias israéliens, de rendre plus difficile l'ouverture d'un dialog entre le futur president américain et Téhéran, en enfermant Joe Biden dans un tissu profond de mesures coercitives qu'il aura du mal à annuler d'un תכונה פשוטה של פלומה, si telle est sa volonté.
Lundi, lors d'une réunion avec des journalists à Jerusalem, Elliot Abrams, le représentant spécial des Ett-Unis pour l'Iran, a estimé que «L'augmentation des sanctions fait partie d'une politique à long terme» pour contraindre le régime à engager des négociations globales pour un accord nucléaire plus strict. «Nous avons un program à pression maximale ... et cela continuera and novembre and décembre», At-il déclaré. Il a admis que le prochain president a le droit d'inverser la politique de son prédécesseur, mais qu'il aurait du mal à voir cela se produire sans un changement significatif dans le le הנהגת איראן.
«Je ne pense pas que revenir au JCPAO (Accord nucléaire avec l'Iran, NDLR) en 2021 נקודת מבט פשוטה», At-il dit. Une approche qui correspond à celle du premier ministre israélien, בנימין נטניאהו, qui a encouragé et soutenu דונלד טראמפ דנס בן retrait de cet accord. המלחין האמני אוו דה דסורמיי (ava un président américain ne partageant pas toutes ses convictions). סלון ג'ו ביידן, דונלד טראמפ «מטען חיסון א-לה פובלה אונ פוליטיק קווי טראוויאיט à א-לה סיקוריט דה ל'אמריק וא'לה רמפלצ'ה פר א 'פוליטיק אי אגרג'ה לה איום».