Auteur : Sammy Ghozlan

Fwd: Courrier Naftali Bennett Englais

BANDEAU BNVCA.JPG

The President                                                                               Paris, July 27, 2021

Sammy
GHOZLAN

01
77 38 49 44

 

Mr. Naftali Bennett

Prime
Minister

State
of Israel

Our Ref: COE 2193

 

 

Mr. Prime Minister,

 

One thing is clear:
incitement to hatred against Israel is increasingly widespread in France, in
particular following the actions of radical pro-Palestinian organizations. It
is this hatred of Israel that feeds anti-Semitism and has prompted the killing
of Jews here in France under the pretext of “avenging Palestinian children”

My organization, like
many others in France and all over the world, is working to fight apartheid
accusations made day after day in the media and social networks against Israel

We are suing all B D S
activists

A new observation
emerges, bitter: our actions are neutralized, not to say ridiculed, by Israelis
or associations like B’Tselem who militate against Israel by calling it an
apartheid state racist and discriminatory.

For example, the
association LE BOYCOTT DE L'INTERIEUR “directed by Mr Michel Warschawski
is directly linked to the PFLP, which advocates for” a Palestinian state
from the sea to the Jordan ” like all the BDS associations in France

We find that the state
you are running does not act against these organizations that claim that Israel
discriminates and tortures the Palestinians.

Recently an article
published in the French press (Liberation of July 27, 2021) reported a
collective of 1000 personalities who called for the “repression of the
crime of apartheid in historic Palestine”.

We respect freedom of
expression, but this public freedom scrupulously observed in Israel annihilates
all the actions we take in the diaspora to restore the truth and fight against
this hatred of Israel which leads to the anti-Jewish act. This freedom granted
to Israeli organizations against their own state endangers the Jewish diaspora
in general, and in France in particular.

 

M. Prime Minister, I have
the honor to ask you to use your authority to put an end to the actions of the
Israelis who incite hatred of their country as if they became its worst
enemies.

Pending your response,
please believe in the expression of my best feelings and my cordial Shalom

 

 

Sammy Ghozlan

Garanti sans virus. www.avast.com

Fwd: Courrier M. Naftali Bennett

BANDEAU BNVCA.JPG

Le PrésidentParis, le 27 juillet 2021                                                                                         

Sammy GHOZLAN

01 77 38 49
44

                                                                                              

Monsieur Naftali Bennett

Premier Ministre  

Etat d’Israël

Nos Réf : COE 2193

 

 

Monsieur le
Premier Ministre

 

 

 

Un constat s’impose :
l'incitation à la haine d'Israël est de plus en plus répandue en France,
notamment suite aux actions des organisations pro palestiniennes radicales. C’’est
cette haine d’Israël qui nourrit l’antisémitisme et a poussé à tuer des juifs ici
en France sous le prétexte “de venger les enfants palestiniens “

Mon organisation,
comme beaucoup d'autres en France, en Europe et dans le monde, travaille à
combattre les accusations d'apartheid formulées jour après jour dans les médias
et les réseaux sociaux contre Israël.  

Nous poursuivons en
justice tous les activistes de B D S

Un nouveau constat s’impose,
amer : nos actions sont neutralisées, pour ne pas dire ridiculisées, par
des israéliens ou des associations comme B’Tselem qui militent contre Israël
en le qualifiant d'Etat Apartheid raciste et discriminatoire .

Par exemple, l'association
LE BOYCOTT DE L'INTERIEUR ” dirigée par Mr michel Warschawski est directement
liée au FPLP, qui prône « un état palestinien de la mer au Jourdain »,
ce que revendiquent précisément les associations BDS.

Nous constatons que
l'Etat que vous dirigez n'agit pas contre ces organisations qui prétendent qu'Israël
discrimine et torture les palestiniens

Récemment un article
paru dans la presse française (Libération du 27 juillet 2021) fait état d'un
collectif de 1000 personnalités qui appellent à la « répression du crime d’apartheid
en Palestine historique ».

Nous respectons la
liberté d'expression, mais cette liberté publique scrupuleusement observée en Israël
annihile toutes les actions que nous menons en diaspora pour rétablir la vérité
et lutter contre cette haine d'Israël qui conduit à l'acte antijuif. Cette
liberté accordée à des organisations israéliennes contre leur propre état met
en danger la diaspora juive en général, et en France, en particulier 

 

Monsieur le Premier
Ministre, j'ai l'honneur de vous demander d'user de votre autorité pour
mettre un terme aux agissement des israéliens incitateurs à la haine de leur
pays comme s’ils en devenaient les pires ennemis 

Dans l'attente de
votre réponse je vous prie de croire à l'expression de mes meilleurs sentiments
et mon cordial Shalom

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Live From The Field

Renvoi du Premier ministre, accusation de “coup d'État”, manifestations… Que se passe-t-il en Tunisie ?

//photos.lci.fr/images/613/344/[email protected]” class=”gmail-img-cmp__img gmail-no-lazyload” alt=”Des heurts ont éclaté lundi 26 juillet devant le Parlement tunisien après la suspension des travaux des députés et le limogeage du Premier ministre par le président Kaïs Saïed.” style=”margin: 0px; padding: 0px; box-sizing: border-box; border: none; outline: none; background: none; display: block; width: 840px; opacity: 1; transition: opacity 0.4s ease 0s;”>Des heurts ont éclaté lundi 26 juillet devant le Parlement tunisien après la suspension des travaux des députés et le limogeage du Premier ministre par le président Kaïs Saïed. − FETHI BELAID / AFP

CRISE POLITIQUE – Dimanche 25 juillet, le président Kaïs Saïed a limogé son premier ministre et suspendu les travaux du Parlement pour un mois. Une décision qui a provoqué des scènes de liesse dans les rues de Tunis.

Dimanche 25 juillet, des milliers de Tunisiens ont fait fi du couvre-feu pour célébrer la nouvelle. Peu avant dans la soirée, pendant une réunion d’urgence au palais Carthage, le président Kaïs Saïed s’arrogeait les pleins pouvoirs en limogeant son Premier ministre Hichem Mechichi et en suspendant les travaux du Parlement. “Selon la Constitution, j’ai pris des décisions que nécessite la situation afin de sauver la Tunisie, l’État et le peuple tunisien”, a annoncé le président en place depuis 2019, sur le compte Facebook de la présidence, en se fondant sur l’article 80 du texte. 

“Nous travaillons dans le cadre de la loi”

Celui-ci dispose qu’en cas de “péril imminent menaçant les institutions de la nation et la sécurité et l’indépendance du pays et entravant le fonctionnement régulier des pouvoirs publics, le Président de la République peut prendre les mesures nécessitées par cette situation exceptionnelle”. Le chef de l’État a justifié l’invocation de cet article par le fait que le pays traversait “les moments les plus délicats” de son histoire et a entrepris de rassurer sur ses intentions, se défendant de tout coup d’État : “Ce n’est ni une suspension de la Constitution ni une sortie de la légitimité constitutionnelle, nous travaillons dans le cadre de la loi”. Depuis, le président a limogé le ministre de la Défense Ibrahim Bartagi et la porte-parole du gouvernement Hasna Ben Slimane, également ministre de la Fonction publique et ministre de la Justice par intérim.

Concrètement, les activités du Parlement, avec lequel Kaïs Saïed entretient des rapports délicats depuis son élection, sont gelées pour une durée de 30 jours et l’immunité des députés levée. Il appartient désormais au président de désigner les membres de son nouveau gouvernement mais aussi de diriger le parquet afin de suivre toutes les affaires soulevées contre les députés. La mesure visant le Parlement s’est traduite quelques heures plus tard par l’armée empêchant son président Rached Ghannouchi d’accéder au siège du Parlement, ainsi que sa vice-présidente et des députés du parti Ennahdha. Le parti islamiste majoritaire à l’Assemblée a d’ailleurs rapidement dénoncé dans un communiqué “un coup d’État contre la révolution et contre la Constitution”. 

Un fort rebond épidémique

Voilà deux ans donc qu’Ennahdha, sous la houlette de son chef Rached Ghannouchi, et Kaïs Saïed mènent une lutte acharnée. Si le Premier ministre a été remercié dimanche soir, c’est notamment parce qu’il s’est rapproché d’Ennahdha depuis quelques mois. Il est arrivé par exemple à Rached Ghannouchi de se positionner sur le dossier libyen tandis que la diplomatie est une prérogative présidentielle. En effet, la Constitution adoptée en 2014 à la suite du Printemps arabe a mis en place un système parlementaire mixte dans le pays, n’octroyant au chef de l’État que la diplomatie et la sécurité comme pouvoirs. 

Ces conflits ouverts au sommet de l’État exaspèrent les citoyens, qui ont d’ailleurs manifesté dimanche avant l’annonce présidentielle pour réclamer la “dissolution du Parlement”. De plus, les Tunisiens paient un lourd tribut de l’épidémie. Avec près de 18.000 morts pour 12 millions d’habitants, le pays affiche l’un des pires taux de mortalité au monde et manque d’oxygène pour ses hôpitaux et ses malades. Et beaucoup reprochent au gouvernement son impréparation face à la crise, avec par exemple le limogeage du ministre de la Santé en plein pic épidémique.

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Au lendemain de l’annonce présidentielle, les tensions étaient vives dans la capitale. Des heurts ont ainsi éclaté aux abords du Parlement entre partisans de Rached Ghanouchi et Kaïs Saïed, qui se sont invectivés à coups de pierre avant d’être maitrisés par les forces de l’ordre.  Un sit in a aussi été organisé par le président du Parlement, imité par quelques députés. La publication d’un décret officiel du président est désormais attendue. Il doit nommer le remplaçant du Premier ministre et promulguer les mesures annoncées

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Fwd: «La détestation d’Israël et des Blancs vont désormais de pair»

https://www.lefigaro.fr/vox/monde/gilles-william-goldnadel-la-detestation-d-israel-et-des-blancs-vont-desormais-de-pair-20210726

Gilles-William Goldnadel: «La détestation d'Israël et des Blancs vont désormais de pair»

FIGAROVOX/CHRONIQUE –
Alors que la quatrième conférence de Durban se tiendra à New-York en septembre prochain, l'essayiste Gilles-William Goldnadel rappelle les idées qui ont présidé à sa création en 2001.

Par Gilles William Goldnadel

Publié il y a 1 minute

Gilles-William Goldnadel

Gilles-William Goldnadel AFP

Gilles-William Goldnadel est avocat et essayiste. Chaque semaine, il décrypte
l'actualité pour FigaroVox.


Les États-nations occidentaux ont bon dos et mauvaise presse. Les aréopages internationaux sont intouchables. L'idéologie anti-nationale et anti-occidentale veille au grain. Cracher sur la
France, sur la Pologne ou sur Israël et vous serez plébiscités.

Critiquer l'ONU ou les O.N.G. et vous serez vilipendés.

Il faudra me donner un exemple d'une action efficace de l'ONU ou de l'OMS ces dernières années. En revanche j'ai des contre-exemples à revendre.

C'est ainsi qu'il est en train de se commettre à l'ONU, dans l'ignorance des Français, une pitoyable cochonnerie. Il est en effet prévu le 21 septembre prochain à New York, l'organisation
de la quatrième conférence de Durban sous l'égide des Nations Unies. Le simple fait de prévoir la possibilité de la tenue d'une conférence qui porte le nom d'une conférence qui devrait être maudit tient tout simplement de l'infamie.

Attaques de membres d'associations juives en pleine rue, vente publique des protocoles des Sages de Sion, discours négationnistes, association de l'État juif au nazisme.

          Gilles-William Goldnadel

Ceux qui s'intéressent aux affaires du monde n'ont en effet pas oublier les événements qui se sont déroulés en septembre 2001 lors de la première conférence qui se déroula dans cette jolie
ville d'Afrique du Sud.

Attaques de membres d'associations juives en pleine rue, vente publique des protocoles des Sages de Sion, discours négationnistes, association de l'État juif au nazisme. Lors de la Conférence
proprement dite, une résolution fut votée, dite «Déclaration de Durban» qui considéra Israël comme un État raciste et qui fut le seul État condamné par l'assemblée.

On peut donc considérer qu'à Durban, la résolution onusienne de 1974 assimilant le sionisme au racisme et qui fut abrogée officiellement en 1994 fut à nouveau portée sur les fonts baptismaux
du Mal international.

À Durban II en 2009, le seul chef d'État présent, le président de la République islamique d'Iran Mahmoud Ahmadinejad, reprit la même antienne. Mais cette conférence fut boycottée par l'Australie,
l'Autriche, la Bulgarie, le Canada, la République tchèque, l'Allemagne, Israël, Italie, les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande et la Pologne, ainsi que par les trois membres permanents démocratiques du Conseil de Sécurité de l'ONU : les États-Unis, le Royaume-Uni…
et la France.

Durban IV a donc pour objectif officiel autant que criminel de parachever la délégitimation d'Israël et de valider de nombreuses formes d'antisémitisme

Gilles-William Goldnadel

 

Il se trouve qu'il s'est passé en catimini un événement aussi exceptionnel qu'écœurant: l'ONU a approuvé l'organisation
d'une quatrième conférence à New York en septembre 2021 en précisant que la conférence «
adoptera… une déclaration politique»
visant à «
la mise en œuvre complète et effective de la déclaration de Durban».
Tous les documents préparatoires en vue de cette conférence de Durban IV insistent sur cette «
mise en œuvre complète»
de la déclaration de Durban.

Durban IV a donc pour objectif officiel autant que criminel de parachever la délégitimation d'Israël et de valider de nombreuses formes d'antisémitisme, y compris la négation de la Shoah.

La conséquence inévitable autant que tragique d'un tel processus serait de décriminaliser et même de justifier les agressions israéliennes et antijuives (guerre conventionnelle, préparation
d'une guerre non conventionnelle, terrorisme, boycott) et de criminaliser les éventuelles ripostes, militaires ou politiques à ces agressions.

Dans le même temps, Durban IV accentue son militantisme «antiraciste» contre l'ensemble des pays occidentaux.

Les documents préparatoires insistent en effet sur une politique mondiale «de
réparation, de justice raciale et d'égalité pour les personnes d'origine africaine
». Et donc sur l'officialisation d'une «indemnisation»
de l'Afrique et du monde noir en général sur des critères raciaux en raison des «
crimes contre l'humanité»
de l'esclavage et la colonisation. Les Occidentaux blancs étant évidemment présumés les seuls dans l'histoire d'avoir commis de tels crimes ou à être ou avoir été coupables de racisme.

 

La détestation d'Israël et des blancs vont désormais de pair.

     Gilles-William Goldnadel

Cette politique, selon ces documents préparatoires, pourrait conduire éventuellement à des poursuites en justice. Cela revient à avaliser officiellement l'idéologie anti-Blanc, contraire à
la charte des Nations unies, à la Déclaration universelle des droits de l'homme, à la Déclaration européenne des droits de l'homme et aux traditions universalistes de la France.

Article après article, je montre depuis des années que la détestation d'Israël et des blancs vont désormais de pair.

Il se trouve que des pays tels que la République tchèque, l'Autriche, l'Australie, Canada, la Hongrie, Israël, les Pays-Bas, Royaume-Uni et les États-Unis et samedi l'Allemagne ont décidé
de ne pas participer à cette cochonnerie, alors que la participation de la France est toujours prévue.

Le président de la République va-t-il en conséquence cautionner l'antisémitisme et le racisme anti-Blanc en même temps qu'il les dénonce? Prier pour la France en même temps que participer
à une messe qui la maudit? Il pourrait s'en mordre les doigts.

Parallèlement, il est interdit de critiquer les sacro-saintes O.N.G. Défense de dire du mal de ces organisations comme SOS Méditerranée, liées indirectement à Georges Soros, milliardaire spéculateur
encensé, qu'il est interdit de brocarder sous peine d'être taxé d'antisémite tandis que ses associations assistées sont les complices objectives des passeurs de migrants illégaux. Gardez-vous de critiquer non plus Oxfam dont certains de ses membres sont pourtant
poursuivis pour viol pour avoir monnayé leurs faveurs sexuelles à de pauvres femmes haïtiennes contre de la nourriture. Attention de mettre en cause Amnesty International tellement encensée par la gauche médiatique qu'elle a adoubé cette association militante
pour faire partie d'un consortium de journalistes d'investigation censé être objectif et dont il serait malséant de ne pas accueillir sans vérifications ses conclusions comme l'expression d'une vérité indiscutable.

L'association révérée avait d'abord refusé de défendre Alexis Navalny, actuellement dans les geôles de Russie après avoir été empoisonné, sous le prétexte qu'il serait islamophobe.

Gilles-William Goldnadel

Étonnez-vous après cela que les médias aient mauvaise presse. On ne dira donc pas qu'Amnesty n'est que la caricature gauchisante de cette merveilleuse association qui n'avait d'autre but il
y a 20 ans que de faire sortir de prison les opposants politiques.

On ne dira donc pas que la présidente de sa branche française s'est abîmée dans les fakes en prétendant qu'Israël avait empoisonné Yasser Arafat, ce que même la veuve de ce dernier a entendu
démentir. De même a été occulté le fait que l'association révérée avait d'abord refusé de défendre Alexis Navalny, actuellement dans les geôles de Russie après avoir été empoisonné, sous le prétexte qu'il serait islamophobe.

Dans le monde de l'idéologie internationaliste, on n'écrase pas les vaches sacrées. On n'écrase que les États-nations détestables de l'Occident blanc détesté.

 

Live From The Field

Antisémitisme olympique…

Les JO de Tokyo n’ont pas encore commencé que déjà l’antisémitisme y fait son entrée. Le judoka algérien Fethi Nourine a déclaré forfait : il a refusé de rencontrer au premier tour le soudanais Mohamed Abdalrasool afin de ne pas  risquer de se retrouver au second tour face au judoka israélien Tohar Boutboul. « Hors de question de voir le drapeau d’Israël et de me salir la main » a déclaré le stupide judoka, rajoutant : « J’ai fourni beaucoup d’efforts pour me qualifier mais la cause palestinienne est par-dessus tout ». Il avait procédé de la même manière lors des championnats du monde de 2019.

Tohar Boutboul sera donc opposé au judoka soudanais pour le 1er tour dans la catégorie des -73kg.

Amar Ben Khalef, l’entraîneur du judoka algérien a déclaré que son équipe et Fethi Nourine « ont joué de malchance au tirage au sort en tombant sur le judoka israélien » mais il a estimé avoir pris la bonne décision « parce que l’Algérie refuse toute normalisation avec Israël ».

Le judoka algérien est susceptible d’être sanctionné.

Live From The Field

Passé un peu sous les radars ( en tous les cas pour nous), voilà un étonnant phénomène qui est un tube mondial avec des millions de vues, et qui met Jérusalem à l’honneur, mais qui est surtout une danse entrainante, partagée dans le monde entier et sous toutes les latitudes.

Pour ceux qui ne connaissent pas et qui vont découvrir:

La danse, l’original, la traduction en français.

REFRAIN]
Jerusalema, ikhaya lami
Ngilondoloze
Uhambe nami
Zungangishiyi lana
Jerusalema, ikhaya lami
Ngilondoloze
Uhambe nami
Zungangishiyi lana
Ndawo yami ayikho lana
Mbuso wami awukho lana
Ngilondoloze
Uhambe nami

Ndawo yami ayikho lana
Mbuso wami awukho lana
Ngilondoloze
Uhambe nami
Ngilondoloze
Ngilondoloze
Ngilondoloze
Zungangishiyi lana
Ngilondoloze
Ngilondoloze
Ngilondoloze
Zungangishiyi lana
Ndawo yami ayikho lana
Mbuso wami awukho lana
Ngilondoloze
Uhambe nami

[* Ndawo yami ayikho lana
Mbuso wami awukho lana
Ngilondoloze,
Uhambe nami ]
[REFRAIN*]
Ngilondoloze
Ngilondoloze
Ngilondoloze
Zungangishiyi lana
Ngilondoloze
Ngilondoloze
Ngilondoloze
Zungangishiyi lana
[REFRAIN*]

[REFRAIN]
Jerusalem est ma maison
Protège moi
Marche avec moi
Ne me laisse pas ici
Jerusalem est ma maison
Protège moi
Marche avec moi
Ne me laisse pas ici
Je n’ai pas ma place ici
Mon royaume n’est pas ici
Protège moi
Marche avec moi

Je n’ai pas ma place ici
Mon royaume n’est pas ici
Protège moi
Marche avec moi
Protège moi
Protège moi
Protège moi
Ne me laisse pas ici
Protège moi
Protège moi
Protège moi
Ne me laisse pas ici
Je n’ai pas ma place ici
Mon royaume n’est pas ici
Protège moi
Marche avec moi

[* Je n’ai pas ma place ici
Mon royaume n’est pas ici
Protège moi,
Marche avec moi ]
[REFRAIN*]
Protège moi
Protège moi
Protège moi
Ne me laisse pas ici
Protège moi
Protège moi
Protège moi
Ne me laisse pas ici
[REFRAIN*]

Fwd: La haine de soi de certains israéliens arme t’elle le terrorisme antijuif en diaspora

La haine de soi de certains israéliens arme t'elle le terrorisme antijuif en diaspora


 

Paris le 9 juillet 2021


 

Dès 2009, le BNVCA,  alerte au plus niveau les dirigeeants israéliens sur les risques liés aux  campagnes de
boycott

 

menées en France.

 

Dans les centres
commerciaux, les universités les cris « Boycott Israël
Apartheid »,« Israël tue les enfants

 

palestiniens » se
faisaient entendre .

 

De Netanyahou à Ehud Barak en
passant par des députés de la Knesset, tous avec un regard de compassion, ont fait

 

un petit
geste méprisant de la main : « Ce n’est rien, cela ne touche pas
notre économie ».

 

Où en sommes-nous dix ans plus tard ?

 

Combien de
morts tués par ceux qui veulent «  venger les enfants palestiniens »,
combien d’attaques par des

 

« déséquilibrés » remplis de haine d’Israël
et des juifs «  Un bon sioniste est un sioniste mort »écrivent
certains

 

.Aujourd’hui, le BNVCA voit avec colère des israéliens
inconscients,irresponsables,user de leur notoriété,pour  faire

 

eux-mêmes l’apologie du boycott et de la
haine d’Israël.

 

  Shlomo Sand dans son entreprise de négation du
peuple juif, les Netoure Karta proches des
pires ennemis

 

d’Israël.Et désormais des artistes, acteurs, des leaders d’opinion israéliens
n’hésitent pas à cracher sur Israël un

 

venin, précieusement recueilli par toutes
les officines pro Hamas.

 

 Celles ci s’en servent pour alimenter les campagnes
violentes de boycott destinées à attiser la haine d’Israël

 

espérant toucher des esprits « déséquilibrés »qui pourraient attaquer impunément des
juifs.

 

Ainsi, de Gideon Lévy, journaliste de Haaretz , idole des organisations anti israéliennes,qui pose à côté d’une stèle –

 

funéraire ?- où tous les noms des villes d’Israël
sont écrits en arabe,

 

du cinéaste Nadav Lapid qui promeut à Cannes l’image d’un 
« Israël juif, nationaliste et raciste » auréolant Ahed

 

Tamini et donnant du panache à  l'outrage qu'elle fait à un soldat de tsahal en le giflant 

 

 Et que dire de  Eran Kolirin,qui soutient le boycott des acteurs palestiniens de son film et déclare
sur Tsahal 

 

: «  Ils tuent la journée et chantent le soir ». Sans l'ombre d'un doute, la présence de films israéliens à Cannes

 

implique que ces films tapent à coup d'images  sur l'État juif.

 

 Ces films auraient ils été sélectionnés s'ils n'étaient anti israéliens. 

 

Et Richard Warshawsky, qui fonde son organisation '' Boycott de l'Intérieur'' en s'associatiant avec le mouvement

 

terroriste FPLP.  Et tous ceux qui intellectuels, artistes, professeurs, juristes,ex officiers, ont appelé au boycott du

 

Concours de l'Eurovision, peuvent agir sans crainte ,car comme me l'a précisé le Directeur des Affaires Stratégiques

 

que j'ai rencontré à Bné Brak, le Gouvernement, comme la Cour Suprême,  interdisent d'agir contre ces annemis de

 

l'Etat, au motif fallacieux du respect de  la liberté d'expression.

 

Eux se battent contre leur pays incitant à cette haine d'israel , et ce sont les juifs de diaspora qui en subissent les con

 séquences . Attentats antisémites meurtriers comme ceux commis en Argentine, en Belgique, en Allemagne, en Inde et aujourd'hui aux USA. Ne portent ils pas une grande part de responsabilité dans les crimes antijuifs perpétrés en diaspora en général et en France en particulier.
 Le BNVCA lutte sans relâche contre l'incitation à la haine d'israel qui pousse à l'acte antijuif mais notre combat est neutralisé par ces israéliens engagés contre leur pays,souvent pire que les pro palestiniens eux mêmes . Inconscients, et dans la logique même de ceux qui hurlent « Israël
casse-toi » ces nouveaux  « post-sionistes »
qui sont de véritables opposants à l’existence d’un état juif, le seul parmi
les Nations, devraient se souvenir du sort réservé à leurs parents et
grands-parents.
Par leurs discours, leurs films,leurs articles, leurs romans,anti israeliens justifiant l'idéologie des ennemis de l'Etat juif,  ils ont peut être,sans le savoir, condamné Ilan Halimi, DJ Sebastien Sellam, Myriam Monsonego, Jonathan, Aryeh et Gabriel Sandler, Yohann Cohen  Philippe Braham, Francois Michel Saada, Yoav Hattah  Ilan Halimi, Sarah Halimi, Mireille Knoll.le famille Pinto 
Dejà de nombreux correspondants du BNVCA  tendent à les  accuser  et tenir pour responsables de crimes à venir, ces pyromanes qui rajoutent de l’huile sur un feu antijuif devenu hors de  contrôle. 

Live From The Field

Le Parlement adopte définitivement le projet de loi étendant le passe sanitaire

Les députés ont mis fin au marathon parlementaire entamé mardi par un large vote, avec 156 voix pour, 60 contre, et 14 abstentions.

Le passe sanitaire anti-Covid a été adopté définitivement dans la nuit du dimanche 25 au lundi 26 juillet.

Le passe sanitaire anti-Covid a été adopté définitivement dans la nuit du dimanche 25 au lundi 26 juillet. Ludovic MARIN / AFP

Paris, Tokyo, Tahiti et partout la même angoisse : la nouvelle flambée de l'épidémie. Jusqu'à l'obsession. Avant de descendre sur le tarmac pour une cérémonie officielle un peu allégée à cause, justement, des mesures sanitaires, Emmanuel Macron, qui s'est vu remettre un collier de fleurs blanches, avait fait un test PCR et un test antigénique.

À peine arrivé, il a fustigé « l'irresponsabilité et l'égoïsme des non-vaccinés » et exhorté les Polynésiens, comme l'ensemble des Français, « à se faire vacciner ». Il a aussi immédiatement lancé une charge contre antivax et anti-passe sanitaire. « Je veux lancer un message très fort pour appeler chacune et chacun à se faire vacciner, parce qu'on le voit sous toutes les latitudes: quand on est vacciné, on est protégé et on ne diffuse quasiment plus, en tout cas beaucoup moins, le virus », a encore insisté le président devant les soignants du centre hospitalier de la Polynésie française. Et s'est félicité que la France se prépare à passer dans la soirée « le cap des 40 millions de primo-vaccinés ». Bien sûr, il est aussi revenu, sur la nouvelle journée de mobilisation des opposants au passe sanitaire et à la vaccination qui a rassemblé, samedi, plus de 160.000 personnes. « Chacune et chacun est libre de s'exprimer dans le calme, dans le respect de l'autre », a-t-il souligné. Mais « la liberté où je ne dois rien à personne n'existe pas » et celle-ci « repose sur un sens du devoir réciproque ».

Bras de fer

Enfin, Emmanuel Macron a demandé que le débat parlementaire « se fasse dans l'apaisement et l'efficacité ». Las, à 16.000 kilomètres de là, ce n'était pas vraiment le cas. Dans un Sénat certes studieux, les échanges se faisaient dans la douleur au sein de la commission mixte paritaire composée de 7 sénateurs et de 7 députés. Âprement discutés, les points de crispation ont été plus nombreux que prévu et la fumée blanche s'est fait attendre plus de trois longues heures autour de quatre questions. Le passe sanitaire en terrasses d'abord. Les sages de la Chambre haute n'en voulaient pas. Ils ont perdu. La mesure est maintenue. Second blocage : l'échéance de l'État d'urgence sanitaire voulu au 31 octobre par le Sénat et au 31 décembre pour la majorité. Résultat du duel : ce sera le 15 novembre. Même pas de deux sur le passe sanitaire des mineurs (de 12 à 17 ans) qui interviendra au 30 septembre.

En revanche, obligation vaccinale aussi pour les soignants. Quant aux établissements recevant du public qui n'appliqueraient pas les mesures, ils subiront des mises en demeure puis des fermetures administratives définitives. Un amendement gouvernemental de dernière minute a habilité de manière très encadrée les préfets à imposer le passe pour certains centres commerciaux, une mesure dont ne voulaient pas les sénateurs et qui avait disparu en commission mixte. Une chose est sûre en revanche, les employés des bars et restaurants non vaccinés ne pourront être licenciés. Enfin, les sanctions administratives seront privilégiées aux sanctions judiciaires. Dans la nuit, le texte a été définitivement adopté par l'Assemblée et par le Sénat. L'exécutif était soulagé ce dimanche mais une fois encore, le Sénat sort renforcé de ce bras de fer.

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Gaspard Koenig : «Le passe sanitaire est un risque énorme pour nos libertés»

 

Dans la foulée, le gouvernement saisira ce lundi le Conseil constitutionnel, dernier juge de paix avant la promulgation de la loi d'ici 7 à 8 jours qui sera suivie de la mise en œuvre des mesures. Le scénario d'une commission paritaire conclusive était privilégié par l'exécutif, car un désaccord aurait fait dérailler un calendrier parlementaire très contraint. Depuis le début, tout fut plus compliqué que prévu. Comme ils furent longs ces treize jours, entre l'allocution du président, le lundi 12 juillet à 20 heures, pour annoncer de nouvelles mesures censées juguler la reprise de l'épidémie de Covid-19, et la décision de dimanche soir : une opposition revigorée et combative, une majorité déchirée et, surtout, deux samedis de manifestations qui, pour l'exécutif, ne sont pas sans rappeler les pires journées de rassemblement des « gilets jaunes ».

Manifestement, le président avait un peu vite misé sur un rapide consensus qui n'est pas venu. Selon un sondage Ifop pour le JDD, 35% des Français affirment « soutenir » ou éprouver de la sympathie pour le mouvement. Au contraire, 49% des Français s'y disent opposés, 16% y sont indifférents. Autant dire que le dossier est loin d'être clos.

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Le Parlement adopte définitivement le projet de loi contre le séparatisme

Le texte contient une batterie de mesures sur la neutralité du service public, la lutte contre la haine en ligne et l’encadrement de l’instruction en famille.

Le Monde avec AFP

Publié le 23 juillet 2021 à 18h38 

Temps deLecture 3 min.

Via un ultime vote de l’Assemblée nationale, le Parlement a adopté définitivement vendredi 23 juillet le projet de loi controversé contre le séparatisme et sa batterie de mesures sur la neutralité du service public, la lutte contre la haine en ligne ou encore l’encadrement de l’instruction en famille.

Après sept mois d’allers et retours entre Palais-Bourbon et Sénat, le texte, intitulé « Respect des principes de la République » et présenté comme un remède à « l’OPA islamiste », a été validé par les députés par 49 voix pour, 19 contre et 5 abstentions. L’adoption avait été retardée de vingt-quatre heures en raison du nouveau projet de loi anti-Covid.

Dans un baroud d’honneur, le député de La France insoumise (LFI) Jean-Luc Mélenchon a défendu en vain une dernière motion de rejet préalable contre une « loi antirépublicaine » à « vocation antimusulmane », selon lui. Le texte est « de portée générale » et « ne traite pas des rapports avec une seule religion », a répondu le président de la commission spéciale, François de Rugy (La République en marche, LRM).

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Porté par le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, la loi adoptée contient une batterie de mesures sur la neutralité du service public, la lutte contre la haine en ligne, la protection des fonctionnaires et des enseignants, l’encadrement de l’instruction en famille, le contrôle renforcé des associations, une meilleure transparence des cultes et de leur financement, ou encore la lutte contre les certificats de virginité, la polygamie ou les mariages forcés.

Les députés LFI, communistes, socialistes et Les Républicains (LR) ont voté contre, pour des raisons différentes. Les députés du Parti socialiste, notamment, y voient un « rendez-vous manqué avec la République » et une marque de « défiance à l’égard des associations », quand la droite le résume à « une addition de mesurettes » sans « ambition » pour « faire reculer les islamistes ». Droite et gauche s’accordent cependant sur les risques pour la liberté d’association, qui motivent des recours respectifs auprès du Conseil constitutionnel.

Seuls les trois groupes du bloc majoritaire, LRM et ses partenaires MoDem et Agir, se sont prononcés pour. Isabelle Florennes (MoDem) a toutefois exprimé « quelques bémols », déplorant l’absence finale de mesures sur la neutralité au sein des bureaux de vote ou dans les universités. Le Rassemblement national (RN) s’est abstenu, comme les élus du groupe Libertés et territoires et également deux « marcheuses » de l’aile gauche, Sonia Krimi et Sandrine Mörch.

Cette adoption est intervenue après celle jeudi du projet de loi relatif à la prévention d’actes de terrorisme et au renseignement, qui prévoit la pérennisation dans le droit commun de dispositifs issus de l’état d’urgence expérimentés depuis 2017 via la loi « sécurité intérieure et lutte contre le terrorisme ».

« Emballement sécuritaire »

Pour le gouvernement, les deux textes régaliens représentent une double lame face à la « menace ». Des nouvelles « lois liberticides » qui participent à « l’emballement sécuritaire », dénoncent avec force les défenseurs des libertés publiques.

Au Palais-Bourbon, la majorité a recentré un texte fortement droitisé par le Sénat avec des mesures contre le port du voile ou renforçant la « neutralité » à l’université. Les sénateurs avaient également assoupli les règles de l’instruction à domicile. L’ultime échange à la Haute Assemblée, dominée par l’opposition de droite, s’est soldé mardi par l’adoption d’une motion de rejet des rapporteuses Jacqueline Eustache-Brinio (LR) et Dominique Vérien (centriste), par 205 voix contre 115.

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Les rapporteuses ont regretté que « la majorité des députés n’entende pas trouver avec le Sénat le moyen de progresser sur les sujets graves que sont la neutralité de l’Etat, la laïcité et le vivre-ensemble ». Rapporteur général du projet de la loi à l’Assemblée, Florent Boudié (LRM) avait lui dénoncé « l’obsession pathologique » des sénateurs sur la question sensible du voile.

Le projet de loi s’attaque par petites touches aux équilibres de la loi de 1905, aux libertés de culte, d’association et d’enseignement. Société civile, associations, certains cultes : les mécontentements se sont multipliés sans jamais s’agréger. Et les aléas de la crise sanitaire ont relégué au second plan les débats.

Pour son adoption définitive, le texte est encore éclipsé par le passe sanitaire et l’explosion de contaminations liées au variant Delta. Le projet de loi a cependant fait l’objet de vives attaques de la part de certains dirigeants et mouvements islamistes à travers le monde, en particulier la Turquie de Recep Tayyip Erdogan, provoquant au milieu d’autres frictions géopolitiques des mois de tensions entre Paris et Ankara.

Le Monde avec AFP

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