
Wiesenthal Centre Presentation to Municipal Youth at International Bootcamp
Pollica, Italy, 21 July
The Wiesenthal Centre Director for International Relations, Dr. Shimon Samuels, spoke at the “Building DiverCity” youth Bootcamp in Pollica, Italy, focusing on the role of the Jews in building and supporting urban societies.
This pilot project Bootcamp was composed of municipal youth from ICCAR (UNESCO’s International Coalition of Inclusive and Sustainable Cities) and its largest counterpart ECCAR (European Coalition of Cities Against Racism). The latter now counts 162 member municipalities and is partnered with the Simon Wiesenthal Centre’s European office (SWC-Europe), in particular concerning antisemitism.
The event's keywords were “Glocalization” (a neologism marrying global and local, i.e. international youth and experts focusing on how to promote change from a local municipal perspective) and “Convivium” (a latin term indicating a feast welcoming dialogue among diverse groups). It was co-sponsored by UNESCO and hosted by the Future Food Institute, based in Bologna and in Pollica, a small town in Southern Italy, home to the “Mediterranean diet”.
The workshop on antisemitism was opened by the President of both ICCAR and ECCAR, Benedetto Zacchiroli, who spoke of the organizations’ close relationship with the Wiesenthal Centre.
Samuels described antisemitism as “a drop of mercury in the palm of the hand… when the environment is cool and stable it remains small and flat, when heated and hostile, it bulges according to the prevalent fever.”
“Throughout history, Jews and Gentiles have together shaped cities, from ancient Babylon and Alexandria to today’s Paris or New York.”
“Over the centuries, Jewish communities were persecuted or expelled – from Cordoba, Baghdad, Aden or Tripoli – finding refuge in other towns, often secluded in ghettos – Warsaw, Rome or Prague, among others – or again subject to pogroms, until they could find more welcoming cities.”
Samuels added, “Even today, Diaspora Jews find themselves making decisions, if to remain in one city or move on to another more tolerant towards diversity. This has been the case of a thriving and integrated community in Sarcelles, a northern Paris suburb, that has progressively escaped from harassment to the safer and and more densely Jewish areas of central Paris. There are similar examples in many European countries.”
“Our mentor, Simon Wiesenthal, would have said, ‘what starts with the Jews is a barometer, an early warning system’…”
“May the participants in this bootcamp return to their municipalities eager and prepared to protect all from hate and violence. We look forward to watching each of you rise to become an effective and open-minded mayor of your city,” stated Samuels.
Click on Youtube link to view speech with powerpoint presentation:
Il y a 80 ans jour pour jour, l'horreur. La France commémore les 80 ans de la rafle du Vél d’Hiv. A cette occasion, Emmanuel Macron doit prononcer ce dimanche “un discours offensif” contre l’antisémitisme. Un mal “très préoccupant” qui “rode encore et parfois de manière insidieuse” a déclaré un conseiller de l’Elysée. Et pour cause, en 2021, 589 actes antisémites ont été recensés en France.
Selon une étude relayée par l’association juive européenne, la France est le pays d’Europe dans lequel la communauté juive se sent le moins en sécurité, en dépit des actions menées par l’Etat. 64% de la population française estime que l’antisémitisme est un sentiment répandu en France. Un sentiment partagé par 85% des Français de confession ou de culture juive. Mais ce ne sont pas les chiffres les plus inquiétants : 68% des Français de confession ou de culture juive déclarent qu’ils ont déjà subi des propos antisémites et 20% affirment avoir été déjà victimes d’une agression physique à cause de leur religion.
Depuis la loi Gayssot adoptée en 1990, les sanctions contre les auteurs d’actes et de propos racistes ou antisémites ont été durcies. L’injure publique est punie d’une amende de 12.000 euros. Et si la justice retient son caractère raciste ou antisémite, la sanction peut aller jusqu'à un an de prison et 45.000 euros d'amende. En cas de profanation d'un cimetière, l'auteur encourt jusqu'à 3 ans de prison et 45.000 euros d'amende. Enfin, pour avoir tagué une croix gammée, la peine est plus lourde et peut aller jusqu'à 5 ans de prison assortie là encore de 45 000 euros d'amende.
Pour l'historien Serge Klarsfeld, invité de la Matinale week-end de RMC, “il y a des lois suffisantes.” Le problème, selon lui, ce sont “les partis extrêmes” qui doivent redevenir “des partis républicains et acceptent la loi Gayssot et cessent d'être antisémites et rompent avec leur passé antisémite.” Dans “partis extrême” il exclut “LFI et le RN (qui) ne sont pas antisémites.
“Ils sont anti-israéliens. En cela, ils nous choquent. Mais ils ne sont pas ouvertement antisémites. Par exemple, la gauche de Mélenchon est une gauche républicaine”, explique le président de l'association des fils et filles de déportés de France.
Malgré tout, l'historien considère que la situation est loin d'être la même que dans les années 30. “Le nazisme était une idéologie impitoyable, raciste, une obsession, une idée fixe, une volonté d'hégémonie mondiale et de détruction totale des juifs. Ça n'a rien à voir avec l'antisémitisme d'aujourd'hui. Il faut se rapporter au passé, comparer mais prendre compte qu'aujourd'hui ce n'est pas la même situation qu'hier.”
Le problème de l'antisémitisme en France, n'est pas seulement un problème français ou européen mais bien international. En 2021, les actes antisémites ont atteint un niveau record avec plus de 10 incidents par jour dans le monde. Et près de 50% de ses actes se sont produits en Europe. En cause, la pandémie de Covid qui aurait “ravivé” les discours antisémites et donné lieu à “de nouveaux mythes et théories du complot blâmant les juifs” pour la crise sanitaire.
“L'antisémitisme se nourrit de l'extrêmisme. L'antisémitisme une maladie millénaire. A chaque fois qu'il y a des mécontenements sociaux, politique, dans le monde, l'antisémitisme séculaire renaît avec le thème du complotisme, traditionnel, que les juifs dirigent le monde et que si le monde ne va pas bien, c'est à cause des juifs”, explique Serge Klarsfeld.
En Europe, 9 juifs sur 10 estiment que l’antisémitisme a augmenté dans leur pays et les trois quarts d’entre eux évitent de porter un symbole religieux en public. Face à cette inquiétante hausse de l’antisémitisme, la commission européenne a dévoilé en octobre dernier sa première stratégie visant à lutter contre ce fléau. Plus que des sanctions, la commission a présenté une stratégie en 3 axes: faire de la prévention contre l’antisémitisme, protéger et soutenir la vie juive et enfin promouvoir l’étude et la mémoire de la Shoah.
66 rue Laugier – 75017 17 juillet2022
Le Président
Sammy Ghozlan
01 77 38 49 44
HOTLINE 0663883929
COMMUNIQUE DE PRESSE
Mr Bensimon rappelle que le Maire de Garges à érigé une stèle en face de la Synagogue à cette occasion et a répondu favorablement de ce fait à la demande du Président Bensimon qui condamne tous les génocides tous les racismes, mais insiste à juste titre pour que ce jour particulier soit réservé à l’antisémistisme de la Rafle du Vel d’Hiv qui il y a 80 ans a visé les juifs parce que juifs.
Mr Bensimon , se dit scandalisé d’une commémoration qui se déroulerait à Sarcelles avec la participation de personnages ayant reçu en grande pompe l’antisémite notoire Corbyn , congédié depuis du Parti Travailliste anglais , ou Clémentine AUTAIN qui haut et fort qualifie Israël d’assassin et appelle au boycott de l’Etat juif,
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Le Président
Sammy Ghozlan
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COMMUNIQUE DE PRESSE
Le
Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme soutient l'initiative du Président de la Communauté Juive de Garges ,Mr Alain Bensimon, son comité, et les membres de sa communauté
qui ont décidé de déposer une gerbe ce jour de commemoration de la Rafle du Vel d'Hiv à 10 en marge de la cérémonie officielle prévueà Sarcelles à 15 h,
Scandalisés, Ils expliquent leur attitude en raison de leur refus de participer à une cérémonie organisée par le Maire qui veut leur imposer une commémoration appelée “journée
des génocides”, en infraction avec la loi , les reglements officiels, et les instructions préfectorales et ministerielles
Comme l'exprime justement le Président Bensimon Alain, la communauté juive condamne tous les génocides, tous les racismes, mais ce jour particulier est réservé à l'antisémitismet la rafle
du Vel d'Hiv qui il y a 80 ans a visé les juifs parce que juifs et seulement les juifs.
Ils explique également leur refus de participer à la commémoration organisée par le maire, car ils ne veulent pas cautionner “la présence de personnages, qui fraient et reçoivent en
grande pompe l'antisémite notoire Corbyn ou ceux qui àSarcelles accueillent Clémentine Autain,qui haut et fort qualifie Israel d'assassin, et appelle au boycott de l'Etat juif”
Contrairement aux autres années je n’assisterai pas aux cérémonies de Sarcelles et de Garges où mon ami Alain Bensimon, président de la communauté juive de la ville m’a invité.
Je ne veux pas cautionner les faits, que les maires de ces deux villes ont ouvertement appelé à voter pour un candidat de la France insoumise aux dernières élections municipales. Je rappelle que ce parti soutient
le mouvement BDS qui appelle au boycott d´Israël.
Que ce parti comme le Parti socialiste a refusé de voter a l’Assemblée nationale la nouvelle définition de l’antisémitisme incluant la haine d’Israël.
Enfin, qu’il participe régulièrement à des manifestations ou le cri « À mort Israël » est scandé.
Pour couronner le tout, durant la campagne des législatives ses candidats ont reçu avec les honneur Corbyn l’antisémite.
Quant au maire de Sarcelles, il a été porté en triomphe par Nabil Koskossy qui en juillet 2014 a organisé une manifestation qui a fini au cri de « mort au juif » et à l’attaque de la synagogue de notre ville.
Toutes ces raisons font que je me rendrai en dehors des cérémonies officielles sur les différents monuments. J’attend par ailleurs avec beaucoup d’intérêt la position du nouveau député sur tous ces sujets et
si il cautionne toutes ces positions.
Par contre, la photo suivante avec Nabil Koskossy parle d’elle même et ne me rend pas optimiste”
Le BNVCA s'attend à une diversion de l'antisémitisme organisée par des nouveaux élus , constituant des nouveaux conseils municipaux, fidèles à une idéologie hostile à la communauté
juive en général et à Israel en particullier
Nous restons vigilants et très attentifs aux dérives républicaines ,nous les dénoncerons, et les poursuivrons devant les tribunaux administratifs, et pénaux
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Le Majalla est un magazine d’actualité qui met l’accent sur le monde arabe pour son lectorat international. Nous publions en ligne en anglais, arabe et persan. Le magazine est également disponible dans une édition imprimée mensuelle en arabe et une édition numérique bimensuelle en anglais. Depuis que le magazine a été publié pour la première fois en 1980 depuis son siège social à Londres, The Majalla est considéré comme l’un des principaux magazines d’affaires politiques du monde arabe. En tant que membre de la Saudi Research and Publishing Company, nous nous engageons à être à la hauteur de notre nom en fournissant à nos lecteurs un journalisme précis et objectif.
Dans un long article, le magazine parle de Tsahal en des termes aptes à contrecarrer toute la propagande mensongère habituellement relayée contre l’>Armée de Défense du Peuple d’Israël. Des droits des minorités aux droits des femmes, qui parfois se cumulent, un tel portrait de Tsahal était simplement inimaginable il y a quelques années encore dans un média à lectorat arabe.
Une armée unique
L’armée israélienne est unique parmi les armées du monde car elle est une armée de conscrits. Depuis sa création, le service militaire obligatoire s’applique aux hommes et aux femmes juifs. Aujourd’hui, c’est l’une des institutions les plus importantes et les plus influentes de la société israélienne en raison de son influence sur l’économie, la culture et la scène politique du pays. Mais un changement notable à ne pas négliger est que l’armée israélienne a beaucoup changé au cours des décennies qui ont suivi sa naissance. Aujourd’hui, Tsahal représente toute la nation, « l’armée du peuple », dans laquelle juifs israéliens, druzes, musulmans, arabes, bédouins et chrétiens sont tous frères d’armes.
Druzes – Le plus haut taux d’enrôlement de Tsahal dans tout Israël, supérieur à celui des juifs !
Les Druzes, une minorité arabophone d’environ 150 000 personnes, soit environ 2 % de la population d’Israël, vivent principalement dans les régions du nord de la Galilée, du Carmel et des hauteurs du Golan. En 1956, les dirigeants druzes ont signé une « alliance de sang » avec le gouvernement israélien, enrôlant la communauté dans l’armée israélienne, ce qui en fait la seule minorité non juive en service, bien que les femmes druzes en soient exemptées. Depuis, servir dans l’armée israélienne fait partie de l’identité druze et est une source de fierté, d’amour et de loyauté envers Israël. En fait, plus de 80 % des hommes druzes s’enrôlent dans l’armée israélienne, le pourcentage d’enrôlement le plus élevé de toutes les communautés et de tous les secteurs de la société israélienne, y compris les juifs israéliens.
Récits et témoignages
Twfiq de Qalansum, dans le nord d’Israël, a déclaré à Al Majalla : « J’étais jeune quand je me suis enrôlé, je cherchais une vraie carrière et Tsahal offre tellement d’opportunités de développement. Au début de mon service, j’étais attaché à un bataillon dans lequel la plupart des gars ne savaient pas grand-chose sur les Druzes, leur culture et leur histoire. Et ici, j’ai eu l’occasion de leur parler de ma communauté. Je vois Israël comme notre patrie, c’est un petit État au Moyen-Orient, et nous sommes tous obligés de le défendre. Défendre Israël a été la principale raison pour laquelle j’ai rejoint Tsahal et y suis resté pendant 25 ans. Tout citoyen druze que vous croiserez vous dira qu’il est fièrement patriote et partagera avec vous l’amour qu’il porte à cette terre. Pendant mon service, je n’ai jamais été traité différemment de mes camarades juifs israéliens. Au contraire, Tsahal est l’une des rares institutions où tout le monde est traité tout à fait équitablement. La plupart des équipes de Tsahal sont composées d’un mélange de juifs, de musulmans, de chrétiens et de bédouins. Nous étions tous égaux et la progression de carrière était basée sur le potentiel et les mérites de chacun et non sur le fait qu’il soit juif ou non.
Grandir avec deux drapeaux, un droit reconnu
Le Dr Anan Wahabi a servi dans l’armée pendant 30 ans. Aujourd’hui, entre autres, il enseigne à l’Institut international de lutte contre le terrorisme à Herzliya. Il dit : « L’IDF, pour moi sur le plan personnel, a été l’institution qui m’a sorti de mon village et m’a aidé à progresser sur l’échelle de ma carrière et à devenir la personne que je suis aujourd’hui. Je suis de la génération des années soixante, ma génération grandit avec deux drapeaux : le drapeau druze et celui d’Israël, ils font tous deux partie de mon identité et je suis fier de les agiter tous les deux. Dites-moi, où au Moyen-Orient y a-t-il une minorité dans l’armée nationale qui est autorisée à être fière de son appartenance ethnique et à agiter son drapeau ? Le drapeau israélien est mon drapeau et j’ai combattu dans de nombreuses guerres pour défendre ce que représente ce drapeau.
La société arabe en Israël
En 1957, le gouvernement israélien a désigné les Druzes comme une communauté ethnique distincte des musulmans et des chrétiens palestiniens qui vivent à l’intérieur d’Israël. Les citoyens arabes d’Israël, également connus sous le nom d’Arabes israéliens, parmi lesquels se trouvent ceux qui se disent citoyens palestiniens d’Israël, sont les descendants des 160 000 Palestiniens qui sont restés dans leurs villes et villages après que l’État d’Israël a déclaré son indépendance en 1948. Les citoyens arabes d’Israël Israël représente un cinquième de la population totale et ils forment l’écrasante majorité des 20% de non-juifs d’Israël. Israël a une population d’environ 10 millions d’habitants – dont 74,3% s’identifient comme juifs, suivis par les musulmans environ 17,9%, les chrétiens 1,9%, les druzes environ 2% et certaines autres religions moins de 4%, par exemple les adeptes de la foi bahaïe.
Les mêmes droits que les Israéliens juifs
Comme les Druzes et les autres minorités vivant en Israël, ils possèdent les mêmes droits que les Israéliens juifs en vertu de la loi. Les Arabes israéliens sont intégrés dans la main-d’œuvre israélienne et représentés dans tous les secteurs de la société, y compris les échelons politiques les plus élevés et dans les Forces de défense israéliennes. Malgré le fait que la loi israélienne n’oblige pas les Arabes musulmans, chrétiens ou bédouins d’Israël à rejoindre les FDI, ces dernières années ont vu une augmentation nette et régulière de jeunes hommes et femmes de la société arabe d’Israël rejoignant les FDI en grand nombre par rapport à un une décennie auparavant.
Président Isaac Herzog « Vous êtes notre véritable fierté. Je vous salue »
Les personnes avec lesquelles Al Majalla s’est entretenu ont exprimé que leur sentiment d’appartenance et de loyauté envers l’État d’Israël les a poussés à rejoindre Tsahal. « Pourquoi ai-je décidé de m’enrôler ? » demande le sergent Sami Heib, un Bédouin de 20 ans qui travaille avec Tsahal depuis deux ans : « Parce que c’est ma patrie, je fais partie de ce pays et je veux y contribuer. Il a poursuivi en disant que « de nombreux membres de ma famille servent déjà dans l’armée israélienne et mes parents soutiennent ma décision et sont très fiers de moi ». Il a dit à Al Majalla que Tsahal l’a fait se sentir chez lui, « le fait que je sois issu d’un groupe minoritaire est probablement la raison pour laquelle Tsahal me traite plus spécialement, parce qu’ils veulent que je sente que j’appartiens ici ». Cette année, le 5 mai 2022, le président Isaac Herzog a organisé la cérémonie annuelle du jour de l’indépendance dans sa résidence officielle. Parmi les invités VIP figuraient le Premier ministre Naftali Bennett, le ministre de la Défense Benny Gantz et le chef d’état-major de Tsahal Aviv Kochavi. La cérémonie avait pour but d’honorer et de remettre des « Commendations of Excellence Service » à 120 soldats et officiers de Tsahal provenant d’un ensemble diversifié d’unités de l’armée. Aux 120 soldats et officiers, le président Herzog a déclaré : « Vous êtes notre véritable fierté. Je vous salue. J’ai lu vos histoires. J’ai été touché par vos histoires. Vraiment, par chacun et chacune. Vous êtes ici grâce à qui vous êtes, et grâce à qui nous sommes — grâce à vous ! Merci beaucoup! Je vous adresse la même gratitude, chers parents et familles. Nous sommes fiers de vos enfants et nous sommes ravis avec vous.
Les officiers arabes honorés
Un certain nombre d’officiers arabes israéliens figuraient parmi ceux qui ont reçu des « Commendations of Excellence Service ». L’un d’eux est Anas Safedi, « J’ai été élevé dans les valeurs islamiques, et ces valeurs m’ont appris que la loyauté envers sa patrie est sacrée et une obligation. C’est pourquoi je porte mon arme pour défendre Israël.
Ella Waweya et rendre possible l’impossible
L’histoire d’Ella est extraordinaire – elle est née en 1989 dans la ville arabe israélienne de Qalansawe, à quelques kilomètres de la ville de Netanya. Elle a rejoint Tsahal en 2013 et a terminé sa formation de soldat exemplaire et a participé à de nombreuses opérations. En 2015, elle a reçu la médaille exceptionnelle du président. En septembre 2021, Ella a été promue au grade de major dans les Forces de défense israéliennes et est devenue la première femme arabo-musulmane à atteindre ce grade. Al Majalla a rencontré Ella dans la ville de Tel-Aviv. La première chose que l’on remarque, c’est à quel point elle est fière de sa multi-identité de femme, arabe, israélienne et musulmane, et porte fièrement son grade dans l’armée. Il n’aurait pas été facile pour une jeune fille arabe d’aller à l’encontre des normes des attentes familiales et sociétales de ce que les femmes peuvent et ne peuvent pas faire, et en plus de rejoindre une armée qui est souvent dépeinte de manière extrêmement négative dans les médias et les cercles arabes. Elle nous raconte : « Pendant les 18 premiers mois, j’ai gardé le secret que j’avais rejoint l’armée, mais pendant un congé dans les foyers un week-end, ma mère est entrée dans ma chambre sans frapper et a trouvé mon uniforme de Tsahal. Elle a regardé l’uniforme, a tourné son regard vers moi et s’est mise à pleurer, mais doucement pour que personne ne l’entende. Finalement, quand on a appris dans sa ville natale qu’elle travaillait pour Tsahal, Ella devait faire l’objet de réactions négatives, certaines personnes choisissant de s’éloigner d’elle. Mais cette femme courageuse et confiante a tout pris à bras le corps.
Il a fallu près d’un an et demi au père d’Ella pour lui pardonner d’avoir rejoint Tsahal. Mais finalement, il a accepté son choix et il disait fièrement aux gens que sa fille était dans l’armée. Malheureusement, son père est décédé du coronavirus avant d’avoir la chance de voir sa fille devenir la première femme arabe major de Tsahal. Sa mère a assisté à la cérémonie quand Ella a obtenu le bar de son major. « Je suis fier d’elle, bien sûr. Ma fille, Dieu soit loué, n’a rien fait de mal… elle s’est construite de ses propres mains », a déclaré sa mère. Aujourd’hui, Ella est la directrice adjointe du département des communications arabes de Tsahal, son public cible est les centaines de millions d’arabophones au Moyen-Orient et dans le monde. Pour les internautes arabes sur les réseaux sociaux, elle est connue sous le nom de « Capitaine Ella », le visage et la voix des Forces de défense israéliennes. Depuis fin 2019, Ella ne se retient plus de dire au monde entier qu’elle travaille pour Tsahal : « Le drapeau israélien me donne un sentiment d’excitation, d’appartenance et d’amour », dit-elle fièrement.
Le chemin de l’égalité passe par Tsahal
Il y a des milliers de personnes comme Ella, des officiers et des soldats qui sont fiers de travailler pour Tsahal. Il y a trois décennies, il était presque impossible pour un Arabe israélien d’envisager même de s’enrôler. Une décennie plus tard, beaucoup de ces Arabes israéliens qui ont rejoint l’armée avaient peur de révéler publiquement leur service dans les FDI. Cependant, les temps ont changé et de nombreux jeunes Arabes israéliens se voient désormais plus largement et sont fiers de dire « Je suis un Arabe et un Israélien ». « Que recherchent les gens ? Egalité entre un arabe et un juif, un bédouin, un druze et un chrétien. Le chemin vers l’égalité passe par l’armée israélienne, le ministère de la Défense et la police. C’est comme ça que ça commence », a déclaré Ella. Récemment, la police israélienne a publié son rapport de recrutement et il a montré que plus de 20% des nouveaux enrôlés dans la police israélienne au cours de l’année écoulée sont des musulmans et des bédouins.
L’IDF et son approche de recrutement bien structurée
Les statistiques fournies par un « haut responsable de Tsahal de la direction de la main-d’œuvre » à Al Majalla montrent que le nombre de recrues arabes israéliennes a augmenté ces dernières années. Ce haut fonctionnaire (non autorisé à révéler son nom) dit diriger une unité chargée de l’inclusion des minorités et des différentes populations dans l’IDF. Il dit que «notre unité ne s’occupe pas seulement du recrutement, mais est également responsable de la liaison entre l’armée et les groupes minoritaires qui y servent. Nous veillons à ce que chaque recrue soit accompagnée en termes de bien-être et bénéficie de la même progression professionnelle que tout autre nouvel entrant. L’unité est divisée en quatre sous-sections/divisions, chaque section s’occupant des enrôlés des groupes minoritaires arabes d’Israël : les Bédouins du Sud ; Bédouins du Nord ; et, les chrétiens et les musulmans vivant dans les villages et les villes. Il dit que « notre mission est d’enrôler autant d’Arabes israéliens que possible ».
La pandémie a changé la perception de Tsahal
Il dit qu’au cours des dernières années, Tsahal a vu une forte augmentation du nombre d’Arabes israéliens se portant volontaires pour servir dans Tsahal. Mais il explique que les chiffres sont plus élevés dans certaines sous-divisions que dans d’autres. Au sein du secteur chrétien, Tsahal parvient chaque année à recruter entre 130 et 150 soldats ; Bédouins du Sud environ 150 par an ; Bédouins du Nord entre 300-350. En ce qui concerne les « autres » musulmans, il dit « il est assez difficile d’établir un chiffre exact, car comme les Bédouins, ils sont aussi musulmans. Mais grâce à nos contacts avec les écoles et les centres communautaires, nous recrutons environ 40 à 100 soldats de diverses villes et villages musulmans. Cependant, il souligne que les chiffres ne sont pas exacts à 100% car à certaines périodes, le nombre de nouvelles recrues est moyen et à d’autres périodes, il augmente fortement. L’une de ces périodes a connu une recrudescence monumentale lors de l’épidémie de coronavirus. La crise du coronavirus a joué un rôle important pour aider Tsahal à gagner plus de recrues et l’armée devait être perçue différemment par le public arabe en Israël. Il explique pourquoi « pendant la pandémie, des soldats de Tsahal ont été déployés pour livrer de la nourriture et des médicaments aux personnes âgées et malades. Ils ont participé aux campagnes de sensibilisation au coronavirus et ont ensuite aidé à mettre en place des centres de vaccination, etc. Les efforts de Tsahal ont été grandement appréciés par les citoyens musulmans vivant dans ces villages et ces villes. Vous pouvez dire que le facteur peur a été brisé, car les gens ont pu voir de leurs propres yeux à quel point Tsahal travaillait sans relâche pour s’occuper de tous les habitants d’Israël.
Le Nord d’Israël , des communautés ouvertes et formées
Lorsqu’on lui a demandé pourquoi le recrutement par Tsahal de Bédouins dans le nord était beaucoup plus efficace par rapport aux campagnes de recrutement de chrétiens ou de musulmans israéliens, il explique « que les gens qui vivent dans le nord d’Israël sont plus habitués ou ouverts à Tsahal. Vous voyez, chaque famille aurait soit un fils, un frère, un mari, un oncle, un parent ou un voisin qui sert déjà dans l’IDF. Il ajoute « que les villes et villages bédouins du nord sont modernes et que le nombre de personnes dans l’enseignement supérieur est supérieur à celui du sud (région du Néguev). Nous obtenons donc des volontaires qui sont éduqués et souhaitent poursuivre une carrière dans l’armée israélienne ou utiliser l’armée israélienne comme une voie pour obtenir plus tard un emploi avec d’autres agences d’application de la loi, comme la police des frontières. Les jeunes bédouins du sud ne sont pas aussi ouverts d’esprit que ceux que nous voyons du nord. Environ 75% des soldats bédouins de Tsahal viennent du nord. Le faible taux de recrues du Sud pourrait également être lié aux tensions ponctuelles entre les autorités et le gouvernement, par exemple, des agrandissements illégaux de bâtiments qui se traduisent souvent par un ordre gouvernemental de démolition, de criminalité et d’augmentation de la force politique. des islamistes radicaux entre autres facteurs.
Une vaste campagne de recrutement
L’armée estime que l’augmentation significative du nombre de musulmans enrôlés (qui est principalement parmi la population bédouine) est liée à une vaste campagne de recrutement et à des invitations personnelles qui ont été envoyées à des milliers de jeunes pour s’enrôler dans l’armée. Le « haut responsable de Tsahal de la direction de la main-d’œuvre » dit également « que les temps ont changé, les jeunes Arabes israéliens sont plus conscients de ce qu’est Tsahal et de ce qu’elle peut leur offrir en termes d’opportunités de carrière au sein de l’armée elle-même ou de formation post-armée ». la vie. Les gens veulent rejoindre l’armée pour améliorer leur situation et en même temps ils veulent contribuer et renforcer la sécurité de leur pays, Israël. Tsahal et le ministère de la Défense prévoient d’organiser prochainement une grande campagne de recrutement, en envoyant des milliers de lettres d’invitation aux jeunes membres de la communauté bédouine, en les adressant également via Instagram et diverses plateformes de médias sociaux au lieu des avis de recrutement standard dans les centres communautaires. Dans le même temps, les réservistes bédouins participeront à des activités supplémentaires faisant partie de la campagne.
Moins de départs prématurés également
Outre l’augmentation du nombre d’Arabes israéliens qui ont été enrôlés dans l’armée israélienne, le nombre de soldats arabes israéliens qui ont quitté le service prématurément a diminué de 7 %. En 2019, le taux d’abandon était de 30 %, contre 23 % en 2021. L’objectif de Tsahal pour l’année à venir est de ramener ce nombre à 20 %. En outre, au cours de l’année écoulée, il y a également eu une diminution de 10 % du temps pendant lequel les soldats musulmans ont été absents de leur service sans autorisation. Les responsables de Tsahal estiment que toutes les statistiques indiquent une forte motivation à continuer à servir.
« Rompre l’occupation »
L’enrôlement est encore controversé dans certaines communautés arabes en Israël et certains ont exprimé leur colère et leurs inquiétudes. Ils prétendent entre autres que l’enrôlement d’Arabes israéliens est une « motivation politique » et que Tsahal vise à diviser les Arabes d’Israël. L’un de ces détracteurs des campagnes d’enrôlement est la députée Hanin Zoabie, membre arabe israélien de la Knesset. Elle affirme qu' »Israël recherche des gens pour servir dans l’armée qui sont pauvres et n’ont pas de travail ». Zoabie a poursuivi en disant : « Quatre-vingt-dix pour cent des Arabes qui servent dans l’armée israélienne n’ont pas l’égalité avec les Israéliens. Israël n’a pas besoin d’eux pour protéger sa sécurité, c’est une question politique – d’abord diviser pour régner. Al Majalla a demandé à M. Hassan Kaabia de commenter l’affirmation de MK Zoabie. Kaabia est un Arabe israélien et un ancien lieutenant-colonel qui a servi dans Tsahal pendant plus de deux décennies. Il travaille actuellement comme porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères. Voici ce qu’il avait à dire : « L’armée israélienne est la seule institution où il n’y a pas de discrimination et où il y a une égalité et une inclusion totales. Il n’est pas vrai qu’ils s’y joignent à cause de facteurs économiques. La majorité des Arabes israéliens qui rejoignent l’armée le font pour une raison et c’est qu’ils veulent faire partie de l’État. Ils veulent s’intégrer dans la société civile et aussi avoir de meilleures opportunités de carrière, car la plupart des entreprises préfèrent les candidats qui ont fait leur service militaire. Kaabia ajoute que « Zoabi a un agenda politique qui fait que certains ne veulent pas être intégrés dans la société israélienne. Mais c’est bien pour elle de travailler au Parlement et de recevoir un salaire très élevé du gouvernement d’Israël, qui paie également sa voiture, son bureau, etc.
Une plateforme pour nous connecter à notre patrie, Israël
Le fils de M. Kaabia, le capitaine Asaf, a décidé de suivre les traces de son père et a rejoint Tsahal il y a quelques années. L’argument de la députée Zoabi selon lequel seuls les « hommes pauvres sans emploi » deviennent encore plus minces si l’on considère que Mohammed Zoabi, son très proche parent, a rejoint l’armée israélienne. Al Majalla a également demandé au « haut fonctionnaire de Tsahal de la direction de la main-d’œuvre » de commenter le député Zoabi. Sa réponse « écoutez, je dis que nous ne tenons pas un bâton et ne forçons pas les gens à nous rejoindre. Nous avons suffisamment de soldats dans l’IDF qui sont plus que capables de protéger Israël. Israël est pour tous les Israéliens – juifs, musulmans, bédouins, chrétiens, druzes, etc. L’IDF est là pour servir tout le peuple d’Israël. Nous voyons l’IDF comme une maison, une famille où chacun devrait se sentir accueilli et inclus. Israël est une société multiconfessionnelle et culturelle avec de nombreuses minorités. L’armée israélienne peut être une excellente plate-forme pour nous connecter tous à notre patrie, Israël.
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66 Rue Laugier – 75017 13 juillet 2022
La Secrétaire Générale
Evelyne Gougenheim
BNVCA 0663883029
COMMUNIQUE
Le BNVCA dénonce mais n’est pas surpris par la criminalité et le climat de terreur qui règne à Aulnay/ Bois et malheureusement dans d’autres communes
Le BNVCA n’est pas surpris par la violence que font régner à Aulnay/Bois des groupes, des clans, des bandes des gens qui ont choisi de vivre du système comme des prédateurs.
Menaces de mort contre des policiers, menaces de viols, demande de libération du terroriste George Ibrahim Abdellah , ou encore de Abdeslam, pas de limite à ces nouveaux hors – la – loi. Il est vrai que l’attitude de certains nouveaux élus laissent augurer du pire.
Il y a quelques années, le Président du BNVCA, Sammy Ghozlan, avait été nommé à la tête de ce Commissariat de police de la Cite des 3000 déjà rongée par la drogue, les armes, la violence. Pour rappel, quelques éléments des actions qui ont conduit à une baisse de la criminalité en 6 mois pour arriver à Taux Zéro
Sa méthode n'a pas été suivie,et aujourd’hui tout est à reprendre
Il prouvait déjà à J.L MÉLENCHON que la police ne tue pas
Vous trouverez en PJ un dossier presse étayant et illustrant l’action de Sammy Ghozlan dans les cités diverses de Pantin, Aulnay, .
dont un tract émanant de la mairie d'Aulnay annonçant sa nomination en qualité de chef du commissariat de police de la Cité “des 3000 »