Month: October 2021

Le BNVCA constate la forte hausse des agressions antisémites Nouvelle agression antisémite de deux jeunes étudiants à Lyon

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66 rue Laugier 75017 PARIS                                                24 octobre 2021

Le Président

Sammy GHOZLAN 

01 77 38 49 44

 

BNVCA  06 63 88 30 29

 

COMMUNIQUE

Le BNVCA constate la forte hausse des agressions antisémites

Nouvelle agression antisémite de deux jeunes étudiants à Lyon

 

 

Le BNVCA a enregistré une nouvelle agression :
samedi soir vers 22h30, deux jeunes amis étudiants sortant du cinéma à proximité du  Centre commercial Carré de Soie, entre Villeurbanne et Vaulx-en-Velin, dans
la métropole de Lyon, se sont fait agresser par quatre individus. Les deux
jeunes garçons ne portaient aucun signe d’identification spécifique et ont
décrit leurs agresseurs comme vraisemblablement d’origine nord-africaine. Pendant que l’un d’entre
eux faisait le guet, les trois autres se précipitent sur eux en leur criant 
« c’est vous les sales juifs/feujs » , les tabassent, leur prennent
leurs portables, en retirent les puces et les contraignent à leur donner leur
code de Carte bleue. Etudiants, leurs comptes sont peu alimentés et les
individus ne peuvent rien retirer.  Les
étudiants à peine âgés de 18 ans ont 3 jours d’ ITT avec traumatisme crânien et
des marques de strangulation. Une plainte a déjà été déposée, la vidéo
surveillance devrait permettre d’identifier les agresseurs qui n’étaient pas
cagoulés.

Le père de l’une des victimes
mentionne une agression un « home jacking violent » quelques jours
plus tôt dans la famille proche et que leur maison a également été cambriolée il
y a plusieurs mois, par des individus dont l’un à peine majeur comptabilisait
déjà 27 cambriolages, pratiquement exclusivement de maisons juives.

Dans une intervention récente le
Grand Rabbin de Lyon mentionnait la hausse de l’antisémitisme et des familles
qui quittaient certains quartiers et villes du grand Lyon

Le BNVCA charge son Conseil, Me
Franck Serfati, de se constituer partie civile et de déposer plainte auprès du
Procureur de la République de Lyon

Sarah Cattan. La Police avait bien les clés: Sarah Halimi aurait pu être sauvée

Tribune Juive
dimanche 24 octobre 2021

Sarah Cattan. La Police avait bien les clés: Sarah Halimi aurait pu être sauvée

Et Si Les Assises devenaient … envisageables

Et Si Meyer Habib renversait la Table

Et Si la mascarade qui priva Sarah Halimi de procès était dévoilée

Aujourd’hui Tout paraît possible

L’affaire Sarah Halimi est certes judiciairement classée, Pourtant des Députés, menés par le décidément courageux Meyer Habib, ont emporté  grâce à une determination impressionnante que se tînt une Enquête parlementaire, laquelle les aiderait à comprendre le déroulement du drame.

Ladite mission parlementaire se tient depuis le 13 septembre et devra rendre ses conclusions en janvier.

Son but? Etablir et vérifier si, dans l’Affaire Sarah Halimi, les éventuels dysfonctionnements de l’ensemble de la chaîne pénale auraient pu être évités. Si “Oui”, Pourquoi ne le furent-ils pas.


Nous étions, nous, Français, Nous, Français juifs, Nous, qui nous étions intéressés de près à cette farce, circonspects. Non que la volonté du Député Habib fît doute. Mais les Professionnels du Droit n’avaient de cesse de nous répéter à raison que, sauf exception, la chose ne changerait rien à la décision qui avait fait de l’abolition du discernement de  Traoré un élément empêchant sa comparution en quelque procès.

Nous ne sommes pas un troisième ou un quatrième niveau de juridiction, n’eut de  cesse de rappeler Meyer Habib, Président de la Commission, tandis que DidierParis, Rapporteur et ancien magistrat, redisait que nul n’était là pour refaire l’enquête.

Refaire l’enquête? Mais … l’enquête avait-elle jamais eu lieu… Chacun en son fotr intérieur sait que NON.

Pas une enquête digne de ce nom en tout cas.

Pas une enquête due à la mémoire de la victime. Due à ses enfants.


La liste des auditionnés nous tint en alerte: Les Parties civiles et leurs avocats. L’avocat de Kobili Traore. Les services de police sur place la nuit du drame. Le Procureur de Paris de l’époque, François Molins.  Les 7 Experts. Des responsables religieux. Rien n’était négligé.

Les lieux devaient enfin être investigués.

Bref: le job de la Juge en charge allait être fait. Ce job qu’elle n’avait… pas fait. Ou qu’elle avait étrangement fait. Seule en son Cabinet. Ou obéissant à quelle injonction? Ou encore… les deux?

Le fait que lesdites auditions fussent publiques et accessibles à tout un chacun nous rassura aussi.

Tout était transparent.


Comment se faisait-il que l’information judiciaire fût  ouverte sous la qualification de meurtre et non d’assassinatdemanda obstinément Maïtre Nathanaël Majster, illustration de l’intégrité, de la détermination, Posant avec le calme et la courtoisie requises les questions qui pouvaient fâcher.

Quelles étaient les méthodes de la Juge Anne Ihouellou, inédites et questionnantes au possible.

Il semble que C’est bien l’audition Mercredi 29 septembre de Maître Nathanaël Majster qui ait laissé planer un malaise certain. Ancien magistrat du Parquet, il avait eu accès au dossier et avait décortiqué la procédure.

Il questionna sur l’impasse faite à l’hypothèse d’une éventuelle infiltration de terrorisme islamiste: des ablutions faites par notre Traoré à sa fréquentation de la Mosquée Omar connue pour ses accointances salafistes en passant par les incantations venues rythmer le lynchage de Sarah Halimi, il rappela combien c’étaient là des séquences classiques pour ceux qui s’apprêtaient à rejoindre le créateur.

Nous voulons décrypter le mécanisme qui a conduit à ne pasreconnaître la préméditation alors qu’il pourrait y avoir eu des éléments préparatoires au meurtre, affirma pour sa part Didier Paris.


Tout est en train d’être mis sur la table. Jusqu’aux expertises et en passant par les taux de substance active du tueur ce jour-là, attestées qu’elles avaient été par les analyses toxicologiques.

Passer d’un balcon à l’autre, fût-on expert en courses poursuites avec la police, était-il compatible avec une bouffée délirante sous l’emprise de stupéfiants.

Pourquoi TRaoré a-t-il été mis en examen si tardivement…

Pourquoi tant de mois pour que fût actée la circonstance aggravante de forfait commis par antisémitisme. Circonstance vécue comme une aumône accordée pour faire taire ces obstinés…

Il serait presque plaisant, ne serait-ce la situation, de se souvenir au passage de la précipitation des Représentants de la Communauté juive à affirmer par communiqué que la mort de Sarah Halimi n’était pas un meurtre antisémite. La Commission, elle, le fit. Et s’étonna.


Ce matin, Meyer Habib porte à la connaissance de la France … “la suite”, via sa page Facebook.

COMMISSION SARAH HALIMI: AUDITION DE ME FRANCIS SZPINER ET DE LA FAMILLE DIARRA: PLUSIEURS CONTRADICTIONS RELEVÉES. LA POLICE AVAIT LES CLÉS.

La commission d’enquête a repris ses travaux avec l’audition de Me Francis SZPINER, avocat des enfants de Sarah HALIMI et de sa sœur.

Deux points très importants:

1. Pour Me SZPINER, la justice a été dessaisie au profit d’une expertise biaisée.

2. Le Dr. ZAGURY, sommité dans son domaine et reconnu de tous, a déclaré lors de son expertise que assassin était apte à être renvoyé devant une Cour d’Assises! Selon Me SZPINER, cette expertise n’a pas convenu à la juge – pour des raisons qu’il ne commente pas. La juge a décidé alors de nommer Bensussan, ennemi intime notoire du Dr ZAGURY semble-t-il, et qui a ainsi invalidé la première expertise.

Vous pouvez retrouver le replay de l’audition de Me Szpiner en cliquant sur ce lien :

https://videos.assemblee-nationale.fr/video.11341625_616edb6976f17.dysfonctionnements-de-la-justice-et-de-la-police-dans-l-affaire-dite-sarah-halimi–me-francis-szpi-19-octobre-2021?timecode=825480

La commission a ensuite auditionné M. Thiéman DIARRA (père) et Mlle. Soumpo DIARRA (fille), locataires de l’appartement par lequel Kobili TRAORE est entré pour se rendre chez Sarah HALIMI.

A leur demande, l’audition s’est déroulée à huis clos. Ayant accepté l’exigence de William Attal et de sa famille lors de leur audition la semaine dernière, il était normal d’accepter la leur. Dans les deux cas, je le regrette.

Quelques éléments ressortis de l’audition:

1. La famille Diarra confirme que Kobili Traore n’a jamais été ni violent ni menaçant à leur égard.

2. Thiéman Diarra confirme avoir jeté à la police son trousseau de clés comportant un vigik ET deux clés dont celle du domicile des Diarra. Les policiers sont rentrés chez les Diarra (à 5h35) sans fracturer la porte. Ils sont donc rentrés avec les clés!!!

3. Le matin, avant de déposer ses nièces et neveux chez les DIARRA, la mère de Traore rappelle que son fils Kobili avait un sac plastique blanc dans les mains. Les Diarra déclarent ne pas avoir de souvenir de ce sac blanc, ni qu’il ait déposé des affaires chez eux.

4. Thiéman Diarra affirme que Kobili Traoré est arrivé chez lui avec des chaussures aux pieds, alors que lors de son audition il déclarait qu’il était pieds nus, chaussures à la main.

5. A la question de savoir comment plusieurs affaires (qui appartenaient à Kobili Traore et qu’il ne porte pas lorsqu’il a frappé chez eux) ont été retrouvées chez eux (paire de baskets Nike, caleçon, tee-shirt, veste et une serviette ne leur appartenant pas), nous n’avons pas eu de réponse.

6. Malgré le fait que plusieurs voisins ont été réveillés par les hurlements de la malheureuse Sarah Halimi qui ont duré une quinzaine de minutes, la famille Diarra déclare ne pas avoir entendu le moindre cri de Sarah Halimi. Elle déclare aussi n’avoir entendu ni les sirènes de police, ni la police taper à sa porte.

7. La famille a par contre entendu clairement le début de la Fatiha récitée par Kobili Traoré (Allah u akbar, bismillah).

8. Soumpo Diarra a reconnu qu’il ne s’agissait pas d’une séquestration mais qu’ils se sont eux-mêmes barricadés dans leur chambre.

9. Il déclare peu connaître Kobili Traoré, qui l’appelait « tonton », mais reconnaît que ce n’était pas la première fois que celui-ci venait chez eux.

10.  Les Diarra ont confirmé que c’était la première fois que Kobili Traore amenait ses nièces et neveux chez eux.

11. La famille est restée barricadée dans la chambre mais Soumpo reconnaît avoir été chercher le petit resté dans une autre chambre, sans jamais entendre les cris de Sarah Halimi, ni la police.

12. A la question Pourquoi ouvre-t-on a quelqu’un que l’on connaît à peine à 4h du matin, nous n’avons pas de réponse, si ce n’est que la famille Diarra pensait que Kobili était « poursuivi ».

13.  A la question de savoir ce qu’il s’était passé entre le moment où Kobili est revenu dans leur appartement après le meurtre vers 4h45 et le moment où la police intervient à 5h35, les Diarra disent ne pas avoir de souvenirs. Ils n’ont pas parlé à Kobili durant ce laps de temps.


Commentaire du Député Habib

A ce stade, je garde mes commentaires et conclusions et accélère les auditions.

PS : Pour suivre les travaux de notre commission, lire les comptes rendus et consulter l’agenda, cliquez sur ce lien :

https://www2.assemblee-nationale.fr/15/autres-commissions/commissions-d-enquete/commission-d-enquete-sur-les-eventuels-dysfonctionnements-de-la-justice-et-de-la-police-dans-l-affaire-dite-sarah-halimi/(block)/96312

Fwd: LIRELA VIDEO DAYLIMOTION ANASSE Anasse Kazib, candidat à la Présidentielle, explique pourquoi il n’y aura jamais de drapeau Français à ses meetings : “C’est avec ce drapeau qu’on a collaboré avec les nazis, c’est avec de drapeau là qu’on a fait la colonisation”

Anasse Kazib, candidat à la Présidentielle, explique pourquoi il n'y aura jamais de drapeau Français à ses meetings : “C'est avec ce drapeau qu'on a collaboré avec les nazis, c'est avec de drapeau là qu'on a fait la colonisation”


LIRE LA VIDEO 

DAILYMOTION “ANASSE” EN CLIQUANT SUR LE LIEN SUIVANT








Anasse Kazib, qui est candidat à la Présidentielle et qui affirme avoir déjà plus de 100 promesses de signatures a expliqué hier soir dans “Touche pas à mon poste” sur C8 pourquoi il refusait de voir un seul drapeau Français dans ses meetings et pourquoi il refusait également que soit chanté la Marseillaise.
Des propos qui avaient déjà provoqué la polémique sur les réseaux sociaux et qu'il a maintenu hier soir sur el plateau en donnant une explication :

“Vous ne verrez jamais de drapeau Français chez nous ! Jamais ! On ne porte pas le drapeau Français car, même si il est issu de la révolution, il est entaché par l'impérialisme français. C'est avec ce drapeau qu'on a collaboré avec les nazis, c'est avec de drapeau là qu'on a fait la colonisation. Moi je suis français, je suis petit-fils de tirailleur marocain et il faut le respecter. Il s'est battu pour la France. Mon père est un travailleur marocain qui est venu ici pour bâtir ce pays. Moi aussi je travaille, je travaille à la SNCF et j'ai le droit de dire que ma France à moi, ce n'est pas la France de Papon, c'est pas la France de Pétain non plus 

Absence de drapeaux français : le candidat communiste Anasse Kazib juge que cet emblème “a été entaché”.

Le cheminot et syndicaliste s’était vanté de ne pas voir un seul drapeau français lors de son meeting de campagne le 20 octobre dernier. 

« T’en verras jamais », avait-il assuré en parlant de drapeaux tricolores. Sur le plateau de Touche pas à mon poste sur C8, vendredi 22 octobre, Anasse Kazib est revenu sur ce qui fait polémique depuis quelques jours. Le candidat à l’élection présidentielle de 2022 a tenu un meeting le 20 octobre à Paris. Au lendemain de l’événement, il n’a pas hésité à se féliciter sur Twitter de ne pas avoir vu un seul drapeau français lors de son meeting – organisé par le mouvement communiste Révolution Permanente dont il fait partie. Avant d’affirmer qu’il n’y en aura « jamais » en sa présence.

« Entaché » par le nazisme et la colonisation

Dans l’émission TPMP, Anasse Kazib a dû expliquer pourquoi il fustigeait l’un des emblèmes de la République française. Pour lui, le drapeau bleu-blanc-rouge, « même s’il est issu de la Révolution », aurait été « entaché », notamment « par l’impérialisme français ». Le syndicaliste et cheminot a développé : « C’est avec ce drapeau-là qu’on a collaboré avec les nazis » ou encore « qu’on a colonisé des pays », selon lui.

  





Turquie : le président Erdogan ordonne l’expulsion de dix ambassadeurs, dont celui de la France, après leur soutien à l’opposant Osman Kavala

FRANCE INFOTurquie : le président Erdogan ordonne l'expulsion de dix ambassadeurs, dont celui de la France, après leur soutien à l'opposant Osman Kavala

Ces ambassadeurs “doivent connaître et comprendre la Turquie”, a affirmé Recep Tayyip Erdogan en les accusant “d'indécence”.

Article rédigé par

France Télévisions
Publié le 23/10/2021 17:00Mis à jour le 23/10/2021 19:21
 Temps de lecture : 1 min.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan, le 21 octobre 2021 à Istanbul. (MURAT KULA / ANADOLU AGENCY)Le président turc Recep Tayyip Erdogan, le 21 octobre 2021 à Istanbul. (MURAT KULA / ANADOLU AGENCY)

Le tension montre entre la France et la Turquie. Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a ordonné, samedi 23 octobre, l'expulsion, “au plus vite”, des dix ambassadeurs dont ceux de France, d'Allemagne et des Etats-Unis, qui ont réclamé la libération de l'opposant Osman Kavala.

“J'ai ordonné à notre ministre des Affaires étrangères de régler au plus vite la déclaration de ces dix ambassadeurs comme persona non grata“, a affirmé le chef de l'Etat lors d'un déplacement dans le centre de la Turquie, sans toutefois donner une date précise. Ces ambassadeurs “doivent connaître et comprendre la Turquie”, a affirmé Recep Tayyip Erdogan en les accusant “d'indécence”. “Ils devront quitter” le pays “s'ils ne le connaissent plus”, a-t-il ajouté.

Osman Kavala, bête noire du régime turc

Dans un communiqué publié lundi soir, le Canada, la France, la Finlande, le Danemark, l'Allemagne, les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande, la Norvège, la Suède et les Etats-Unis ont appelé à un “règlement juste et rapide de l'affaire” Osman Kavala, homme d'affaires et mécène turc devenu une bête noire du régime, emprisonné depuis quatre ans sans jugement. Cet opposant de 64 ans, figure majeure de la société civile, est accusé depuis 2013 par le régime du président Erdogan de chercher à déstabiliser la Turquie.

Le chef de l'Etat turc avait menacé jeudi d'expulser ces ambassadeurs, sans cependant prendre de mesures concrètes dans ce sens. La Turquie avait convoqué mardi les ambassadeurs de ces dix pays, jugeant “inacceptable” leur appel en faveur de la libération d'Osman Kavala.

Le Monde En classant six ONG parmi les « organisations terroristes », Israël frappe au cœur la société civile palestinienne L’Etat hébreu enjoint aux bailleurs européens de six organisations de défense des droits humains de cesser de les financer. Par Louis Imbert(Jérusalem, correspondant) Publié hier à 17h47, mis à jour à 05h41 Temps deLecture 4 min. Partage Partager sur Facebook Envoyer par e-mail Partager sur Messenger Plus d’options Article réservé aux abonnés Le ministre de la défense israélien, Benny Gantz, à Tel-Aviv, en novembre 2019. Le ministre de la défense israélien, Benny Gantz, à Tel-Aviv, en novembre 2019. JACK GUEZ / AFP Israël a porté un coup inédit à la société civile palestinienne et à ses bailleurs internationaux, vendredi 22 octobre, en classant six organisations de défense des droits humains ayant pignon sur rue parmi les « organisations terroristes ». Cet ordre a été signé par le ministre de la défense, Benny Gant

LE MONDE
  • En classant six ONG parmi les « organisations terroristes », Israël frappe au cœur la société civile palestinienne

    L’Etat hébreu enjoint aux bailleurs européens de six organisations de défense des droits humains de cesser de les financer.

    Par Louis Imbert(Jérusalem, correspondant)

    Publié hier à 17h47, mis à jour à 05h41 

    Temps deLecture 4 min.

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    Article réservé aux abonnés

    Le ministre de la défense israélien, Benny Gantz, à Tel-Aviv, en novembre 2019.Le ministre de la défense israélien, Benny Gantz, à Tel-Aviv, en novembre 2019. 

    Israël a porté un coup inédit à la société civile palestinienne et à ses bailleurs internationaux, vendredi 22 octobre, en classant six organisations de défense des droits humains ayant pignon sur rue parmi les « organisations terroristes ». Cet ordre a été signé par le ministre de la défense, Benny Gantz, lequel s’était illustré en août en devenant le premier membre du gouvernement israélien depuis une petite décennie à rencontrer le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, à Ramallah. Depuis lors, Israël n’a cessé d’affirmer qu’il entendait renforcer l’Autorité palestinienne et les territoires occupés, notamment au moyen de mesures économiques, en excluant cependant toute négociation politique avec les Palestiniens.

    Lire aussi  Article réservé à nos abonnés A Gaza, dans le labyrinthe de la reconstruction

    Or ces six ONG jouent un rôle éminemment politique, en contrepoids d’une Autorité palestinienne en bout de course. Il s’agit d’Al-Haq, active dans la dénonciation de l’occupation des territoires par l’armée en place depuis 1967, et des violences perpétrées par les colons israéliens ; d’Addameer, qui défend les prisonniers en Israël ; la puissante Union des comités du travail agricole ; le centre de recherche et de développement Bisan ; Defense for Children Palestine ; et l’Union des comités des femmes palestiniennes. Lundi 18 octobre, Israël avait déjà annoncé la révocation de l’attribution de statut de résident de Jérusalem au Franco-Palestinien Salah Hamouri, l’un des principaux avocats d’Addameer. Classer les six ONG parmi les « organisations terroristes » autorise Israël à fermer leurs bureaux, à saisir leurs biens et à arrêter puis emprisonner leurs employés.

    Israël argue que ces organisations sont liées au Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), mouvement issu du nationalisme arabe et du marxisme, pionnier de la résistance palestinienne, qui fut un temps la faction la plus active après le Fatah. Il demeure considéré comme une organisation terroriste par Israël et par l’Union européenne. Historiquement, nombre de mouvements de la société civile se sont développés en lien avec les factions, qui bénéficiait donc d’un réseau au sein de la population.

    Hausse des violences commises par les colons

    Israël affirme que ces groupes emploient aujourd’hui des membres du FPLP et lui redistribuent des fonds. En mai, le renseignement intérieur israélien avait déjà accusé des ONG en Cisjordanie d’avoir détourné des fonds de plusieurs pays européens – dont la Suisse, l’Allemagne, la Belgique, l’Espagne et la Grande-Bretagne – au profit du FPLP. Israël ne s’est cependant pas estimé tenu d’en apporter la preuve, relevait vendredi l’avocat israélien Michael Sfard. Sur la même ligne que les organisations Human Rights Watch et Amnesty International, celui-ci dénonce « une déclaration de guerre contre toute la communauté des [défenseurs] des droits humains ».

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L’Etat hébreu enjoint aux bailleurs européens de six organisations de défense des droits humains de cesser de les financer.

Par Louis Imbert(Jérusalem, correspondant)

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BENNY GANTZ MINISTRE DE LA DEFENSE

Israël a porté un coup inédit à la société civile palestinienne et à ses bailleurs internationaux, vendredi 22 octobre, en classant six organisations de défense des droits humains ayant pignon sur rue parmi les « organisations terroristes ». Cet ordre a été signé par le ministre de la défense, Benny Gantz, lequel s’était illustré en août en devenant le premier membre du gouvernement israélien depuis une petite décennie à rencontrer le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, à Ramallah. Depuis lors, Israël n’a cessé d’affirmer qu’il entendait renforcer l’Autorité palestinienne et les territoires occupés, notamment au moyen de mesures économiques, en excluant cependant toute négociation politique avec les Palestiniens.

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Or ces six ONG jouent un rôle éminemment politique, en contrepoids d’une Autorité palestinienne en bout de course. Il s’agit d’Al-Haq, active dans la dénonciation de l’occupation des territoires par l’armée en place depuis 1967, et des violences perpétrées par les colons israéliens ; d’Addameer, qui défend les prisonniers en Israël ; la puissante Union des comités du travail agricole ; le centre de recherche et de développement Bisan ; Defense for Children Palestine ; et l’Union des comités des femmes palestiniennes. Lundi 18 octobre, Israël avait déjà annoncé la révocation de l’attribution de statut de résident de Jérusalem au Franco-Palestinien Salah Hamouri, l’un des principaux avocats d’Addameer. Classer les six ONG parmi les « organisations terroristes » autorise Israël à fermer leurs bureaux, à saisir leurs biens et à arrêter puis emprisonner leurs employés.

Israël argue que ces organisations sont liées au Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), mouvement issu du nationalisme arabe et du marxisme, pionnier de la résistance palestinienne, qui fut un temps la faction la plus active après le Fatah. Il demeure considéré comme une organisation terroriste par Israël et par l’Union européenne. Historiquement, nombre de mouvements de la société civile se sont développés en lien avec les factions, qui bénéficiait donc d’un réseau au sein de la population.

Hausse des violences commises par les colons

Israël affirme que ces groupes emploient aujourd’hui des membres du FPLP et lui redistribuent des fonds. En mai, le renseignement intérieur israélien avait déjà accusé des ONG en Cisjordanie d’avoir détourné des fonds de plusieurs pays européens – dont la Suisse, l’Allemagne, la Belgique, l’Espagne et la Grande-Bretagne – au profit du FPLP. Israël ne s’est cependant pas estimé tenu d’en apporter la preuve, relevait vendredi l’avocat israélien Michael Sfard. Sur la même ligne que les organisations Human Rights Watch et Amnesty International, celui-ci dénonce « une déclaration de guerre contre toute la communauté des [défenseurs] des droits humains ».

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Fwd: Wiesenthal Centre’s 19th Year Chasing Hate from the Frankfurt Book Fair

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F O R   I M M E D I A T E   R E L E A S E

Wiesenthal Centre’s 19th Year Chasing Hate from the Frankfurt Book Fair

 

Paris, 23 October

 

Our 2021 “Worst Offender Awardee” goes to Syria and “Runner-Up” to Qatar for recidivist antisemitic conspiracy theory titles in their catalogues…

 

The Simon Wiesenthal Centre is, for the 19th year, the only non-governmental organization to monitor texts of hate and violence on the stands of problematic publishers at the Frankfurt Buchmesse (FBM) – “The Olympics of Book Fairs”.

 

A hybrid Fair this year due to the Pandemic, almost 2,000 publishers, including electronic participation, represented some 70 countries, bent on sales contracts.

The Centre's Director for International Relations, Dr.Shimon Samuels, anounced at the Book Fair's closure that, “Our 2021 'Worst Offender Awardee' goes to Syria and 'Runner-Up' to Qatar for recidivist antisemitic conspiracy theory titles in their catalogues”.

 


Syria is represented by its own stand, but also through Qatar and Egypt.

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Dar Al Awam (Syria), via Qatar

1 – The Nature of Jews in the Quran, by Nabil Khalid El Agha

(Jews despise and plot against Muslims, Jewish religious texts are corrupt)

A detailed synopsis of the book from Qatar's Al-Watan newspaper
https://www.al-watan.com/news-details/id/50368 Doha-Al-Watan

https://www.al-watan.com/news-de

 

Writer Nabil Khaled Al-Agha says that the Jews conspired with the forces of arrogance. and his message in his book “Nature of the Jews in the Noble Qur’an,” published by Darnoor Houran Damascus and Dar Al-Ulum, he sees that studying Jewish nature through the Holy Qur’an is a necessity for us, Arabs and Muslims.
The book includes five chapters in which the author reviews definitions, the behavior of the Jews through Surat Yusuf and why the Jews plot against Islam and Muslims, and the Qur’an refutation of the allegations of the Jews, and their questioning of the prophecy of the Prophet Muhammad “peace be upon him,” and why God was angry with the Jews and expelled them from His mercy.
In his introduction to the book, the writer Ismail Al-Smadi reviewed the role of the Jewish religion in shaping the Jewish personality and the Jewish personality in the European Christian perception, the legendary dimensions of the personality, Jewish history, anti-social personality and other phobia, and why Jews persecute the Palestinian people. Al-Agha reviews terminology: The People of the Book, the polytheists, the hypocrites, atheists, the rabbinic, the Wailing Wall, Al-Buraq Wall, and Nebuchadnezzar.
He states that the Zionist: is one who believes in the Zionist belief “either in its settlement form or away from its settlement form.” Therefore, there is a deep difference between the Zionist and the Jew, and between them on the one hand and the Israeli on the other, as the most famous researcher Abdel Wahab Al-Masiri says in the Encyclopedia of Jews, Judaism, and Zionism. “The Israeli is a citizen of the Zionist state, and he is different from the “Israeli” or a member of the “Israel Group” who are the Hebrews as a religious group, and not all Israelis are Zionists, just as all Zionists are not necessarily Israelis, and there is no synonym between “Israeli” and “Jewish” » In fact, there are many Israelis who reject the Jewish faith, says El-Messiri.
The writer says, “Judaism” is the oldest of the monotheistic religions, and the Jews firmly believe in the oneness of God, and it was mentioned in the Book of Deuteronomy: “Hear, O Israel, that the Lord our God is one.” Judaism is the religion of Moses, peace and blessings be upon him, for the children of Israel who are of Hebrew origin, and about 14 million people in the world belong to this religion of different origins. The Jewish religion was not spared from confusion, interpretation, and distortion due to the disturbance of the Jews themselves in their lives, livelihood and behavior, and this disturbance prompted them to adhere to the Jewish religion, which was founded on the fact that God is capable of everything and the creator of everything and is free from any defect, and that he created “Israel” from his offspring. Abraham, peace and blessings be upon him, in order to form his chosen people, and he sent down his law to Moses to lead these people to their fulfillment, according to their claim. The Jews also believe that God made a covenant with Abraham by blessing him and his descendants because they worshiped him and remained faithful to his worship, and that that covenant was renewed with Isaac and Jacob, who is also known as Israel, and his sons were named after him, the Children of Israel or the Israelites, and God later revealed to the Children of Israel through Moses, peace be upon him, the commandments Ten and laws that show them how to live their lives and build their society.. The Jews call themselves “God’s Chosen People,” meaning the one chosen by God – they claim – to perform certain duties and bear special responsibilities such as establishing a just society and worshiping the one God. At the same time, it places them accountable for their sins and shortcomings. The rabbis of the Jews “singular rabbi, a title held by a Jewish clergyman” imposed many rules, laws and prohibitions on their followers that are difficult to transcend, with the aim of reminding the Jews of their separation and distinction from other human beings, which led to the mockery of others, and deepening the character of isolation from them.
The writer notes what he called the false sense of superiority, and says: The Jews claim that they depend in their legislation, worship and behavior on what came in the Torah that God Almighty revealed to His Prophet Moses, peace and blessings be upon him. Ten times, and the origin of this word has differed, some of them refer to it as an Arabic origin, and some of them refer to it as a Hebrew origin. Those who referred it to an Arabic origin – including Ibn Manzur and Al-Zamakhshari – believe that the Torah means brightness and light, as the Holy Quran described it in Surat Al Imran: “Indeed, We sent down the Torah in which there is guidance and light. » (Surat Al-Maida, verse 44). It clears up the darkness of misguidance and manifests the truth and the light as a metaphor for eloquence and truth.

And under the title “The Trapped Torah,” he says: The scholars have agreed that the original copy of the Torah, that is, the one that was revealed to Moses, peace and blessings be upon him, as well as the copies of the Old Testament were lost from the hands of the soldiers of Bakhtawar, and when Antiochus, the king of the Franks, opened Jerusalem (Al Kuds) burned all copies The Old Testament ordered the killing of everyone who had a copy of it. The Jews found it an appropriate opportunity to write the Torah again. They deformed the Torah of Moses into a horrible deformation and wrote it again, and filled it with lies that archaeological discoveries began to expose day after day and discredit most of what the Torah came in.
The Holy Qur’an, which falsehood does not come to it from before it or from behind it, confirmed that the deviant Jews had extended their sinful hands to the original Torah, so they altered and distorted for what their demons wanted…


2  The Day of Wrath, by Safar bin Abdul-Rahman al-Hawali

In the year 2000, al-Hawali wrote a treatise on the Second Intifada, entitled “The Day of Wrath”. He argued that the Biblical prophecies used by Christian fundamentalists to support the state of Israel actually predict its destruction.


3  Is Judaism a Heavenly Religion?, by Abdul Majeed Hamo

 Babylon and the distortion of the Torah, by Abdul Majeed Hamo

5 Babylon and the distortion of the Torah volume 2,  by Abdul Majeed Hamo

The Canaanites and the Distorted Torah, by Abdul Majeed Hamo

 The Message in Sabbatai Zevi and Abdullah ibn Saba, by Ahmed Mahmoud Al-Shorbaji

 

Dar Al Awan and Dar Ghar Hira publishers are at both the Syrian stand in Hall 4.1 stand H40 and abutting Egyptian publishers in Hall 4.1 stand G47.

 

The Abraham Accords have, so far, cleansed the shelves of the United Arab Emirates, Bahrain, Morocco stands.

 

By the same token, Syria, Egypt (though at peace with Israel), Lebanon, Iraq etc… have regular displays of antisemitica.

 

Our findings have led to the Frankfurt Book Fair blacklisting of recidivist publishers of hate.

 

We will continue to monitor the shelves as hate mongering contravenes the contractual obligations of publishers towards the Fair.

 

“We hope to see the day that the Fair will be declared hate-free,” concluded Samuels.

For
further information, contact Shimon Samuels
at
[email protected]

Or
read more on

wiesenthal-europe.com

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“For
evil to flourish, it only requires good men to do
nothing.”
(Simon
Wiesenthal, 1908-2005)

Fwd: LIRELA VIDEO DAYLIMOTION ANASSE Anasse Kazib, candidat à la Présidentielle, explique pourquoi il n’y aura jamais de drapeau Français à ses meetings : “C’est avec ce drapeau qu’on a collaboré avec les nazis, c’est avec de drapeau là qu’on a fait la colonisation”

LIRE LA VIDEO 

DAILYMOTION ANASSE

Anasse Kazib, candidat à la Présidentielle, explique pourquoi il n'y aura jamais de drapeau Français à ses meetings : “C'est avec ce drapeau qu'on a collaboré avec les nazis, c'est avec de drapeau là qu'on a fait la colonisation”

Anasse Kazib, qui est candidat à la Présidentielle et qui affirme avoir déjà plus de 100 promesses de signatures a expliqué hier soir dans “Touche pas à mon poste” sur C8 pourquoi il refusait de voir un seul drapeau Français dans ses meetings et pourquoi il refusait également que soit chanté la Marseillaise.
Des propos qui avaient déjà provoqué la polémique sur les réseaux sociaux et qu'il a maintenu hier soir sur el plateau en donnant une explication :

“Vous ne verrez jamais de drapeau Français chez nous ! Jamais ! On ne porte pas le drapeau Français car, même si il est issu de la révolution, il est entaché par l'impérialisme français. C'est avec ce drapeau qu'on a collaboré avec les nazis, c'est avec de drapeau là qu'on a fait la colonisation. Moi je suis français, je suis petit-fils de tirailleur marocain et il faut le respecter. Il s'est battu pour la France. Mon père est un travailleur marocain qui est venu ici pour bâtir ce pays. Moi aussi je travaille, je travaille à la SNCF et j'ai le droit de dire que ma France à moi, ce n'est pas la France de Papon, c'est pas la France de Pétain non plus !”

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Anasse Kazib, candidat à la Présidentielle, explique pourquoi il n'y aura jamais de drapeau Français à ses meetings : “C'est avec ce drapeau qu'on a collaboré avec les nazis, c'est avec de drapeau là qu'on a fait la colonisation”

Anasse Kazib, qui est candidat à la Présidentielle et qui affirme avoir déjà plus de 100 promesses de signatures a expliqué hier soir dans “Touche pas à mon poste” sur C8 pourquoi il refusait de voir un seul drapeau Français dans ses meetings et pourquoi il refusait également que soit chanté la Marseillaise.
Des propos qui avaient déjà provoqué la polémique sur les réseaux sociaux et qu'il a maintenu hier soir sur el plateau en donnant une explication :

“Vous ne verrez jamais de drapeau Français chez nous ! Jamais ! On ne porte pas le drapeau Français car, même si il est issu de la révolution, il est entaché par l'impérialisme français. C'est avec ce drapeau qu'on a collaboré avec les nazis, c'est avec de drapeau là qu'on a fait la colonisation. Moi je suis français, je suis petit-fils de tirailleur marocain et il faut le respecter. Il s'est battu pour la France. Mon père est un travailleur marocain qui est venu ici pour bâtir ce pays. Moi aussi je travaille, je travaille à la SNCF et j'ai le droit de dire que ma France à moi, ce n'est pas la France de Papon, c'est pas la France de Pétain non plus !”

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Anasse Kazib, qui est candidat à la Présidentielle et qui affirme avoir déjà plus de 100 promesses de signatures a expliqué hier soir dans “Touche pas à mon poste” sur C8 pourquoi il refusait de voir un seul drapeau Français dans ses meetings et pourquoi il refusait également que soit chanté la Marseillaise.
Des propos qui avaient déjà provoqué la polémique sur les réseaux sociaux et qu'il a maintenu hier soir sur el plateau en donnant une explication :

“Vous ne verrez jamais de drapeau Français chez nous ! Jamais ! On ne porte pas le drapeau Français car, même si il est issu de la révolution, il est entaché par l'impérialisme français. C'est avec ce drapeau qu'on a collaboré avec les nazis, c'est avec de drapeau là qu'on a fait la colonisation. Moi je suis français, je suis petit-fils de tirailleur marocain et il faut le respecter. Il s'est battu pour la France. Mon père est un travailleur marocain qui est venu ici pour bâtir ce pays. Moi aussi je travaille, je travaille à la SNCF et j'ai le droit de dire que ma France à moi, ce n'est pas la France de Papon, c'est pas la France de Pétain non plus !”

Candidat à l’élection, il exclut le drapeau français de ses meetings

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Candidat à l’élection, il exclut le drapeau français de ses meetings

Absence de drapeaux français : le candidat communiste Anasse Kazib juge que cet emblème “a été entaché”.

Le cheminot et syndicaliste s’était vanté de ne pas voir un seul drapeau français lors de son meeting de campagne le 20 octobre dernier. 

« T’en verras jamais », avait-il assuré en parlant de drapeaux tricolores. Sur le plateau de Touche pas à mon poste sur C8, vendredi 22 octobre, Anasse Kazib est revenu sur ce qui fait polémique depuis quelques jours. Le candidat à l’élection présidentielle de 2022 a tenu un meeting le 20 octobre à Paris. Au lendemain de l’événement, il n’a pas hésité à se féliciter sur Twitter de ne pas avoir vu un seul drapeau français lors de son meeting – organisé par le mouvement communiste Révolution Permanente dont il fait partie. Avant d’affirmer qu’il n’y en aura « jamais » en sa présence.

« Entaché » par le nazisme et la colonisation

Dans l’émission TPMP, Anasse Kazib a dû expliquer pourquoi il fustigeait l’un des emblèmes de la République française. Pour lui, le drapeau bleu-blanc-rouge, « même s’il est issu de la Révolution », aurait été « entaché », notamment « par l’impérialisme français ». Le syndicaliste et cheminot a développé : « C’est avec ce drapeau-là qu’on a collaboré avec les nazis » ou encore « qu’on a colonisé des pays », selon lui.

Absence de drapeaux français : le candidat communiste Anasse Kazib juge que cet emblème “a été entaché”.

Le cheminot et syndicaliste s’était vanté de ne pas voir un seul drapeau français lors de son meeting de campagne le 20 octobre dernier. 

« T’en verras jamais », avait-il assuré en parlant de drapeaux tricolores. Sur le plateau de Touche pas à mon poste sur C8, vendredi 22 octobre, Anasse Kazib est revenu sur ce qui fait polémique depuis quelques jours. Le candidat à l’élection présidentielle de 2022 a tenu un meeting le 20 octobre à Paris. Au lendemain de l’événement, il n’a pas hésité à se féliciter sur Twitter de ne pas avoir vu un seul drapeau français lors de son meeting – organisé par le mouvement communiste Révolution Permanente dont il fait partie. Avant d’affirmer qu’il n’y en aura « jamais » en sa présence.

« Entaché » par le nazisme et la colonisation

Dans l’émission TPMP, Anasse Kazib a dû expliquer pourquoi il fustigeait l’un des emblèmes de la République française. Pour lui, le drapeau bleu-blanc-rouge, « même s’il est issu de la Révolution », aurait été « entaché », notamment « par l’impérialisme français ». Le syndicaliste et cheminot a développé : « C’est avec ce drapeau-là qu’on a collaboré avec les nazis » ou encore « qu’on a colonisé des pays », selon lui.

Anasse Kazib a par ailleurs présenté sa candidature « révolutionnaire », comme étant celle « des travailleurs et des quartiers populaires ». Toujours sur le plateau de TPMP, il a expliqué représenter « le camp des exploités et des opprimés » et non pas celui « des gens issus du patronat, ou de la droite libérale, ou des gens qui sont racistes et xénophobes ». D’après le syndicaliste, « ils peuvent aller voter pour leur candidat ».

Qui est ce Annass Kazib ?

Au passage : Kazab en arabe veut dire menteur.

Anasse Kazib, né en 1987 à Sarcelles, est un syndicaliste  cheminot  et militant  marxiste  français. 

Délégué syndical de SUD Rail à la gare du Bourget, il devient une figure du mouvement cheminot en 2018, année où il intègre Les Grandes Gueules de RMC. Il est membre du Courant communiste révolutionnaire (dit « Révolution permanente »), une branche du Nouveau Parti anticapitaliste de 2017 à 2021. Il est candidat déclaré à l’élection présidentielle de 2022.

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