Month: March 2021

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Coronavirus: Pfizer/BioNTech annoncent une efficacité “de 100%” de leur vaccin chez les 12-15 ans

AFP

31 mars 2021, 13:02

clock 1 min

PfizerOlivier Fitoussi/Flash90Pfizer

Ils espèrent que la vaccination des 12-15 ans débutera avant la prochaine rentrée scolaire

Le vaccin Pfizer/BioNTech contre le Covid-19 est efficace à 100% chez les adolescents âgés de 12 à 15 ans, selon les résultats d'un essai clinique, ont annoncé mercredi les deux laboratoires qui espèrent que la vaccination de cette tranche d'âge débutera avant la prochaine rentrée scolaire.

Les essais de phase 3 menés sur 2.260 adolescents aux Etats-Unis “ont démontré une efficacité de 100% et des réponses d'anticorps robustes”, ont déclaré les entreprises dans un communiqué, ajoutant qu'elles allaient demander aux régulateurs l'approbation du vaccin pour les adolescent et espéraient une possible mise en oeuvre “avant la prochaine rentrée scolaire”.


Le BNVCA rappelle : 1er avril 1933 – Boykott des produits juifs. Le BNVCA alerte : Mars 2021 – Boycott des produits israéliens

BANDEAU BNVCA.JPG

66 rue
Laugier 75017 PARIS

Le Président

Sammy
GHOZLAN

01 77 38 49
44

 

 

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Le BNVCA rappelle : 1er avril 1933 – Boykott des produits juifs

Le BNVCA alerte : Mars 2021 – Boycott des produits israéliens

 

Le BNVCA rappelle que l’appel au boycott des commerçants juifs fut la première grande manifestation antisémite organisée par le nouveau Chancelier allemand, Adolf Hitler. Mais déjà, dès 1931, les membres de la SA empêchent les clients d’accéder aux magasins juifs, brisent les vitrines et menacent leurs exploitants. C’est bien la même opération illégale d’incitation à la haine qui sévit ici et maintenant en France, menée par des officines aux financements opaques.

Le BNVCA appelle à  la dissolution de Capjo-Europalestine, du Collectif Palestine Vaincra avec leur fonds de commerce : la haine d’Israël et des juifs. 

Michel Jonasz. Je sais qu’être Juif, ça peut être dangereux – Tribune Juive

Michel Jonasz. Je sais qu’être Juif, ça peut être dangereux

Moi, je suis né à Drancy en 1947. Enfant, le dimanche, chez mes grands-parents paternels, on parle beaucoup de la guerre et de la déportation. Je saisis des bribes de conversation et je reconstitue le puzzle. J’ai l’impression d’avoir toujours su ce qui s’était passé. Je n’ai pas la sensation que l’on ait cherché à me cacher quoi que ce soit.

Je me souviens d’un jour, à l’école où un petit garçon me dit: «J’aime pas les Juifs!» Je réponds: «Ah bon! Moi j’en connais un, il est très gentil!»

Je n’ose pas lui avouer que je suis Juif. Je sais que c’est être différent, très particulier. Que ça peut aussi être dangereux, même si au fond de moi j’en éprouve une certaine fierté.

Durant mon enfance, j’entends souvent ma mère répéter: «Pourquoi suis-je encore vivante, pourquoi suis-je encore là?»

Il y quelques années, je me suis rendu à Auschwitz avec le train de la mémoire. J’y avais emmené ma mère qui voulait voir l’endroit où sa famille avait été décimée. J’ai également retrouvé une photo de famille prise en Hongrie en 1921. On y voit mes grands-parents maternels entourés de leurs enfants, parmi lesquels maman à l’âge de 4 ans. C’est la photo qui est projetée sur grand écran à la fin de mon spectacle et qui figure également, désormais, sur le buffet de la salle à manger de ma mère.
En regardant cette photo, elle continue à me répéter: «Dire que je suis la seule survivante! Hitler a tué toute ma famille…» Je lui demande: «Pourquoi tu parles toujours de ça?» Elle me répond: «Pour ne pas oublier.» A 93 ans, avec une précision inouïe, elle continue à parler de la Hongrie, de sa maison, de son père qui chantait à la synagogue et qui avait une voix admirable.
C’est comme si mes ancêtres n’avaient jamais existé: le néant absolu
Les 6 millions de Juifs assassinés pendant la guerre m’ont toujours bouleversé. Pour moi, ils ne représentent pas un chiffre abstrait, mais une vie plus une autre plus une autre. Chaque vie vaut la peine d’être racontée. Celle de mon grand-père Abraham en est une parmi les autres. J’ai fait des recherches très poussées pour retrouver la trace d’Abraham, de Rosele, de Bella et d’Isaac. D’eux, il ne reste rien nulle part. Aucun nom sur un registre, aucun document, le néant absolu. C’est comme s’ils n’avaient jamais existé. Comme s’ils n’avaient jamais été autre chose que cette fumée s’échappant des crématoires.

https://youtu.be/D8CJjhP-18o

Leur consacrer un spectacle ( Les fantômes de la rue Papillon) leur vie, leurs rires et leurs larmes, c’était leur redonner un peu de vie. Ma façon toute personnelle de leur rendre hommage.
© Michel Jonasz


Pour rappel: Cette pièce fut écrite et mise en scène par Dominique Coubes, assisté de Manon Elezaar.

Avec Michel Jonasz, Eddy Moniot et la participation amicale de Judith Magre

Direction artistique de Nathalie Vierne, Lumières de Frederick Doln, Son de Maxime Richelme, Vidéos d’Antoine Manichon

Merci à M. L.M. qui m’a rappelé cette pièce en l’évoquant sur son mur Facebook

Fwd: «Les propos d’Audrey Pulvar sont une nouvelle preuve du racisme de la gauche dite antiraciste»

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/les-propos-d-audrey-pulvar-sont-une-nouvelle-preuve-du-racisme-de-la-gauche-dite-antiraciste-20210328

« Les propos d’Audrey Pulvar sont une nouvelle preuve du racisme de la gauche dite antiraciste»

FIGAROVOX/CHRONIQUE – Lors d’un entretien sur BFMTV, Audrey Pulvar, adjointe de la maire de Paris, a déclaré que lors des réunions entre victimes, les «blancs» devraient se taire et rester des spectateurs
silencieux. L’avocat Gilles-William Goldnadel, réagit à ces déclarations.

Par Gilles William Goldnadel

Publié hier à 19:02, mis à jour il y a 1 heure

 

Gilles-William Goldnadel. JOEL
SAGET/AFP

Gilles-William Goldnadel est avocat et essayiste. Chaque semaine, il décrypte
l’actualité pour FigaroVox.


Paradoxe ou symptôme de la folie du temps, on demande à présent au blanc de se taire précisément au moment où il se décide enfin à parler.

C’est ainsi que, dernier avatar de la séquence insensée sur les réunions racisées, Audrey
Pulvar, adjointe de la maire de Paris, a fait une méchante sortie
.

Interrogée sur BFM après les laborieux aveux de la présidente de l’UNEF, l’adjointe à l’agriculture a cultivé le mauvais
grain qui germe: elle n’est pas pour interdire le blanc, elle veut bien le tolérer, mais à la condition qu’il la boucle: «
Que des personnes
discriminées pour les mêmes raisons et de la même façon sentent la nécessité de se réunir entre elles pour discuter, ça ne me choque pas profondément… S’il se trouve que vient à cet atelier une femme blanche, un homme blanc, il n’est pas question de la ou
le jeter dehors. En revanche, on peut lui demander de se taire, d’être spectateur ou spectatrice silencieux
».

Bref, la tolérance dans l’intolérance.

Comme je l’indiquais dans une précédente chronique, mon imagination est impuissante à décrire la réaction intellectuelle ou médiatique si, par une hypothèse hardie, j’entreprenais de réunir
des blancs en souffrance en interdisant à tout noir de pénétrer ou en lui intimant à lui seul le silence.

On comprend bien ce qui se trame derrière ces nouvelles divagations, c’est toujours pour le blanc le devoir de pénitence.

On comprend bien ce qui se trame derrière ces nouvelles divagations, dans cette variation dans la discrimination, c’est toujours pour le blanc le devoir de pénitence. Par l’absence ou par
le silence.

La nouveauté, habite, comme je l’annonçais, dans le fait que désormais le beauf blanc se rebiffe.

C’est ainsi que les réunions où il était interdit de cité universitaire, et qui ont déclenché l’orage médiatique que l’on sait, étaient connues depuis longtemps (je les avais signalées dans
ces colonnes) et n’avaient jusque-là suscité qu’une coupable indifférence.

Sans doute ici encore suivons-nous servilement la vilaine pente américaine où, comme l’a signalé le sociologue de gauche d’outre-Atlantique Mark Lilla, le blanc, à force d’être montré du doigt,
a retrouvé, hélas, une conscience chromatique oubliée.

«Moi aussi, je souffre donc je suis»,
prévenais-je, il y a dix ans dans mes 
Réflexions sur la Question Blanche (éditions
Gawsevitch janvier 2011).

Il n’est donc pas fortuit, qu’à la suite de la dernière saillie de l’adjointe à la mairie de Paris, une grande partie du monde politique soit sortie de sa torpeur antique.

Unmute

CTIVER LE SON

À l’exclusion notable , sans surprise ni espoirs, de M. Mélenchon et de Mme Autain qui ont complimenté l’adjointe de Mme
Hidalgo, la présidente les Républicains d’île-de-France, Valérie Pécresse a déclaré: «
dans ma région, aucun habitant ne doit être discriminé
pour la couleur de sa peau. Il n’y a pas de racisme
 «acceptable»! «On
ne peut pas être enjoint de parler ou de se taire en fonction de sa couleur de peau ou de son origine
» a observé Christian Jacob, le président des Républicains.

 

L’empire médiatique antiraciste qui a accouché de ce racisme veille toujours à trier le bon grain coloré à pleurer de l’ivraie blanche à dissimuler.

 

«Le
parquet doit engager des poursuites pour provocation à la discrimination raciale contre Mme Pulvar
» a demandé la présidente du Rassemblement National, Marine Le Pen tandis que
son lieutenant, Jordan Bardella questionnait: «
C’est cette gauche qui patauge dans l’islamo-gauchisme et la haine des blancs qui aspire
à présider la première région de France 
?».

 

Ne tient pas non plus du hasard si une partie de la gauche libérale autant qu’éclairée n’hésite plus à nommer ce racisme
anti blanc, innommable hier encore. C’est ainsi que Rachel Kahn, ancienne conseillère politique de Jean-Paul Huchon, jeune femme métissée qui croit devoir prôner la créolisation, ne craint pas d’incriminer «
le
racisme anti-blanc
» des Indigènes de la République et notamment l’usage de l’intolérable ,et pourtant judiciairement toléré, vocable «souchien»
(
 Racée, éditions de l’Observatoire Mars 2021 pages 35-
36).

 

Ceci posé, l’empire médiatique antiraciste qui a accouché de ce racisme veille toujours à trier le bon grain coloré à pleurer de l’ivraie blanche à dissimuler.

C’est ainsi que lundi dernier à Boulder, Colorado, un massacre de masse a été commis tel qu’il n’en avait pas été perpétré depuis deux années aux États-Unis. Dix personnes dans un supermarché
ont été assassinées. L’événement a été grandement minoré aux États-Unis et totalement ignoré en France. C’est ainsi que, par exemple, la radio de service publique France Inter n’en a pas soufflé mot dans ses éditions du lendemain matin.

Le beauf a beau se rebiffer, la compassion médiatique à sens inique est toujours largement obligatoire.

On comparera avec la tuerie de Charlottesville, Virginie, où la mort d’une militante antiraciste en août 2017, écrasée par un camion conduit par un blanc nostalgique de la sécession sudiste
avait inspiré des millions de mots.

On peut également comparer avec l’assassinat cette semaine à Atlanta de six personnes d’origine asiatique dans des salons
de massage, cette fois largement relayé, ce qui permit aux médias d’invoquer la responsabilité de l’ancien président des États-Unis honni en raison de son utilisation du terme «
virus
chinois
».

Il est vrai que lors du dernier attentat contre une synagogue aux États-Unis, les mêmes médias n’avaient pas hésité à peindre Donald Trump en antisémite…

Mais cette fois, dans le Colorado, l’assassin n’a pas la couleur d’un salaud. Il s’appelle Ahmad Al Aliwi Alissa et est né en Syrie.

Un écriteau esquissé timidement à la main sur le lieu du calvaire des dix victimes proclame «We
will not forget
». Aucun danger d’oubli, elles n’entreront dans aucun mémorial.

Elles étaient toutes blanches et n’avaient donc pas le visage des martyrs d’un racisme à envisager.

Le beauf a beau se rebiffer, la compassion médiatique à sens inique est toujours largement obligatoire.

Fwd: «Les propos d’Audrey Pulvar sont une nouvelle preuve du racisme de la gauche dite antiraciste»

« Les propos d’Audrey Pulvar sont une nouvelle preuve du racisme de la gauche dite antiraciste»

FIGAROVOX/CHRONIQUE – Lors d’un entretien sur BFMTV, Audrey Pulvar, adjointe de la maire de Paris, a déclaré que lors des réunions entre victimes, les «blancs» devraient se taire et rester des spectateurs
silencieux. L’avocat Gilles-William Goldnadel, réagit à ces déclarations.

Par Gilles William Goldnadel

Publié hier à 19:02, mis à jour il y a 1 heure

 

Gilles-William Goldnadel. JOEL
SAGET/AFP

Gilles-William Goldnadel est avocat et essayiste. Chaque semaine, il décrypte
l’actualité pour FigaroVox.


Paradoxe ou symptôme de la folie du temps, on demande à présent au blanc de se taire précisément au moment où il se décide enfin à parler.

C’est ainsi que, dernier avatar de la séquence insensée sur les réunions racisées, Audrey
Pulvar, adjointe de la maire de Paris, a fait une méchante sortie
.

Interrogée sur BFM après les laborieux aveux de la présidente de l’UNEF, l’adjointe à l’agriculture a cultivé le mauvais
grain qui germe: elle n’est pas pour interdire le blanc, elle veut bien le tolérer, mais à la condition qu’il la boucle: «
Que des personnes
discriminées pour les mêmes raisons et de la même façon sentent la nécessité de se réunir entre elles pour discuter, ça ne me choque pas profondément… S’il se trouve que vient à cet atelier une femme blanche, un homme blanc, il n’est pas question de la ou
le jeter dehors. En revanche, on peut lui demander de se taire, d’être spectateur ou spectatrice silencieux
».

Bref, la tolérance dans l’intolérance.

Comme je l’indiquais dans une précédente chronique, mon imagination est impuissante à décrire la réaction intellectuelle ou médiatique si, par une hypothèse hardie, j’entreprenais de réunir
des blancs en souffrance en interdisant à tout noir de pénétrer ou en lui intimant à lui seul le silence.

On comprend bien ce qui se trame derrière ces nouvelles divagations, c’est toujours pour le blanc le devoir de pénitence.

On comprend bien ce qui se trame derrière ces nouvelles divagations, dans cette variation dans la discrimination, c’est toujours pour le blanc le devoir de pénitence. Par l’absence ou par
le silence.

La nouveauté, habite, comme je l’annonçais, dans le fait que désormais le beauf blanc se rebiffe.

C’est ainsi que les réunions où il était interdit de cité universitaire, et qui ont déclenché l’orage médiatique que l’on sait, étaient connues depuis longtemps (je les avais signalées dans
ces colonnes) et n’avaient jusque-là suscité qu’une coupable indifférence.

Sans doute ici encore suivons-nous servilement la vilaine pente américaine où, comme l’a signalé le sociologue de gauche d’outre-Atlantique Mark Lilla, le blanc, à force d’être montré du doigt,
a retrouvé, hélas, une conscience chromatique oubliée.

«Moi aussi, je souffre donc je suis»,
prévenais-je, il y a dix ans dans mes 
Réflexions sur la Question Blanche (éditions
Gawsevitch janvier 2011).

Il n’est donc pas fortuit, qu’à la suite de la dernière saillie de l’adjointe à la mairie de Paris, une grande partie du monde politique soit sortie de sa torpeur antique.

Unmute

CTIVER LE SON

À l’exclusion notable , sans surprise ni espoirs, de M. Mélenchon et de Mme Autain qui ont complimenté l’adjointe de Mme
Hidalgo, la présidente les Républicains d’île-de-France, Valérie Pécresse a déclaré: «
dans ma région, aucun habitant ne doit être discriminé
pour la couleur de sa peau. Il n’y a pas de racisme
 «acceptable»! «On
ne peut pas être enjoint de parler ou de se taire en fonction de sa couleur de peau ou de son origine
» a observé Christian Jacob, le président des Républicains.

 

L’empire médiatique antiraciste qui a accouché de ce racisme veille toujours à trier le bon grain coloré à pleurer de l’ivraie blanche à dissimuler.

 

«Le
parquet doit engager des poursuites pour provocation à la discrimination raciale contre Mme Pulvar
» a demandé la présidente du Rassemblement National, Marine Le Pen tandis que
son lieutenant, Jordan Bardella questionnait: «
C’est cette gauche qui patauge dans l’islamo-gauchisme et la haine des blancs qui aspire
à présider la première région de France 
?».

 

Ne tient pas non plus du hasard si une partie de la gauche libérale autant qu’éclairée n’hésite plus à nommer ce racisme
anti blanc, innommable hier encore. C’est ainsi que Rachel Kahn, ancienne conseillère politique de Jean-Paul Huchon, jeune femme métissée qui croit devoir prôner la créolisation, ne craint pas d’incriminer «
le
racisme anti-blanc
» des Indigènes de la République et notamment l’usage de l’intolérable ,et pourtant judiciairement toléré, vocable «souchien»
(
 Racée, éditions de l’Observatoire Mars 2021 pages 35-
36).

 

Ceci posé, l’empire médiatique antiraciste qui a accouché de ce racisme veille toujours à trier le bon grain coloré à pleurer de l’ivraie blanche à dissimuler.

C’est ainsi que lundi dernier à Boulder, Colorado, un massacre de masse a été commis tel qu’il n’en avait pas été perpétré depuis deux années aux États-Unis. Dix personnes dans un supermarché
ont été assassinées. L’événement a été grandement minoré aux États-Unis et totalement ignoré en France. C’est ainsi que, par exemple, la radio de service publique France Inter n’en a pas soufflé mot dans ses éditions du lendemain matin.

Le beauf a beau se rebiffer, la compassion médiatique à sens inique est toujours largement obligatoire.

On comparera avec la tuerie de Charlottesville, Virginie, où la mort d’une militante antiraciste en août 2017, écrasée par un camion conduit par un blanc nostalgique de la sécession sudiste
avait inspiré des millions de mots.

On peut également comparer avec l’assassinat cette semaine à Atlanta de six personnes d’origine asiatique dans des salons
de massage, cette fois largement relayé, ce qui permit aux médias d’invoquer la responsabilité de l’ancien président des États-Unis honni en raison de son utilisation du terme «
virus
chinois
».

Il est vrai que lors du dernier attentat contre une synagogue aux États-Unis, les mêmes médias n’avaient pas hésité à peindre Donald Trump en antisémite…

Mais cette fois, dans le Colorado, l’assassin n’a pas la couleur d’un salaud. Il s’appelle Ahmad Al Aliwi Alissa et est né en Syrie.

Un écriteau esquissé timidement à la main sur le lieu du calvaire des dix victimes proclame «We
will not forget
». Aucun danger d’oubli, elles n’entreront dans aucun mémorial.

Elles étaient toutes blanches et n’avaient donc pas le visage des martyrs d’un racisme à envisager.

Le beauf a beau se rebiffer, la compassion médiatique à sens inique est toujours largement obligatoire.

Le BNVCA réclame la dissolution des officines islamo palestiniennes subversives :le Collectif Palestine vaincra, ainsi que Samidoun, dont l‘incitation à la haine d’Israël et des juifs constitue le principal et dangereux fondsde commerce

BANDEAU BNVCA.JPG

 

Le
BNVCA réclame la dissolution des officines islamo palestiniennes
 subversives :
le Collectif Palestine vaincra, ainsi que Samidoun, 
dont l‘incitation
à la haine d’Israël et des juifs constitue le principal et dangereux fonds
de commerce 

lynchage Ramallah 2.jpg Lynchage de Ehud Goldwasser et Eldad Regev à Ramallah, 12 octobre 2000

  

Le
BNVCA réclame la dissolution du Collectif Palestine vaincra qui appelle aux
armes pour « libérer la Palestine de la mer au Jourdain » et l’illustre
par son logo montrant le tracé de la Palestine remplaçant l'Etat d'Israël
et allant de la mer Méditerranée au fleuve Jourdain et d'atteindre cet objectif
par tous moyens y compris la lutte armée.

Ce
collectif subversif appelle illégalement au boycott de l'Etat juif. Il
incite à la haine d’Israël « Israël état criminel, état raciste, Israël
apartheid ». Le Collectif Palestine Vaincra promeut ses actions
illégales par des moyens illicites (affichage pirate sur les panneaux
Decaux et d’appel au boycott de la société israélienne TEVA). Le BNVCA et
TEVA ont intenté un procès contre les activistes du Collectif Palestine Vaincra
et de CAPJPO

L'initiative
de NGO Monitor en date du 3 mars 2021 demande la dissolution de SAMIDOUN 

NGO Monitor ( Non-government
Organization Monitor
 ) est une 
organisation non gouvernementale basée
à 
Jérusalem , qui
analyse et rend compte des résultats de sa mission,
ayant depuis 2013 un statut consultatif spécial auprès du Conseil économique et
social des Nations Unies.
NGO Monitor a
été fondé                « pour promouvoir la responsabilité et
faire avancer une discussion vigoureuse sur les rapports et les activités des
ONG humanitaires dans le cadre du conflit israélo-arabe».

Par un courrier adressé à M. le Ministre
de l’Intérieur, à M. le Garde des Sceaux et à Mme la Ministre déléguée auprès
du Ministre de l’Intérieur chargée de la Citoyenneté, NGO Monitor appelle à la
dissolution de Samidoun
 , un « réseau de solidarité avec
les prisonniers palestiniens » co
mme
organisation terroriste, l’identifiant comme partie intégrante du Front
Populaire pour la Libération de la Palestine (FPLP), une organisation
terroriste désignée comme telle par l’Union Européenne, les Etats Unis ,
le Canada et Israël. Faut-il rappeler que le FPLP de George Habache
est l'auteur de l'attentat commis lors des Jeux olympiques de Munich, du détournement
de l'avion français Air France sur Entebbe , de l’attentat
contre la synagogue de la Rue Copernic à Paris, le détournement de bateaux de
croisière et d'aéronefs.

Selon le communiqué du Ministère israélien de la Défense désignant Samidoun comme organisation terroriste (voir ci-dessus), le réseau Samidoun a été fondé par « des membres
du FPLP en 2012 », et Khaled Barakat qui est identifié par le FPLP comme «
coordinateur » de Samidoun « est
impliqué dans la création de cellules militaires et à l’initiation d’activités
terroristes en Judée et Samarie et à l’étranger ». En plus de Barakat,
plusieurs membres de Samidoun sont
également liés au FPLP. En mai 2019, PayPal, Donorbox et Plaid ont fermé les
comptes en ligne de Samidoun en
raison de ses liens avec le FPLP, organisation terroriste.
Samidoun est une association qui réclame
la libération des prisonniers palestiniens et en particulier des terroristes
prisonniers ayant du sang juif sur les mains.

Par
ailleurs, NGO Monitor désigne également le site internet du Collectif Palestine Vaincra comme associé
à une organisation désignée comme terroriste et rattachée au FPLP. Le Collectif Palestine vaincra « est
une organisation radicale siégeant à Toulouse. Elle est connue pour son antisionisme virulent, ses activités de boycott illégal de l’État
d’Israël, et ses campagnes en faveur de terroristes condamnés
L’organisation 
liste le
FPLP comme un de ses partenaires. 
 Le Collectif Palestine Vaincra se
revendique être « 
membre du
réseau de solidarité avec les prisonniers palestiniens Samidoun
 ».

Le
Collectif Palestine Vaincra tient un
discours qui appelle à tuer, de façon lisible sur son site 

Dans
le cadre d’une stratégie perverse qui a pour but d’éviter la qualification d’antisémitisme,
le Collectif Palestine vaincra
appelle à des rassemblements contre les crimes antisémites. Rappelons que Merah
à Toulouse comme Coulibaly à HyperCacher ont tué en appelant à « venger
des enfants palestiniens », ce qui se trouve au cœur du discours de cette
officine ainsi que celle de Samidoun,
parmi de nombreuses autres officines du même acabit.

Reprenons
quelques points du discours tenu par le Collectif
Palestine Vaincra 
:

1.   « Instaurer
un état libre et démocratique de la mer au Jourdain »
 :
cet état sera-t-il sur le modèle de celui qui œuvre aujourd’hui dans les
territoires disputés, c’est-à-dire des territoires où ne vit aucun juif, zéro
juif. Où tout juif qui se hasarde dans ces territoires risque sa vie. Chacun se
souvient de la foule acclamant les monstres qui venaient de plonger leurs mains
dans les corps éviscérés des deux soldats Ehud Goldwasser et Eldad Regev (photo
ci-dessus), image de l’état libre et démocratique de la mer au Jourdain voulu
par les antisémites antisionistes du Collectif Palestine vaincra. Dans sa
charte, le Collectif Palestine Vaincra
déclare :

 « Le Collectif Palestine Vaincra soutient la Résistance
qui est le seul moyen pour le peuple palestinien de reconquérir ses droits
historiques et légitimes. Nous la soutenons sous toutes les formes qu’elle juge
nécessaire et légitime, y compris armée ».

2.     Racisme
institutionnel avec une logique d’apartheid
            

 

 Après avoir
rappelé que pas un juif ne vit dans les territoires sous gouvernance
palestinienne, soit un néo-apartheid à tolérance zéro juif, il semble utile de
rappeler quelques faits incontestables de la réalité israélienne

         Dans
la dernière Knesset, ce ne sont pas moins de 15 députés de la liste arabe unifiée
qui siègent à la Knesset (Rappel : pas un citoyen juif dans les
territoires à gouvernance palestinienne)

         Racisme
institutionnel ? l’un des 15 membres de la Cour Suprême, Salim Joubran fut
nommé en 2003 jusqu’à sa retraite en
2014                                                                                               

         Logique
d’apartheid ? Les arabes atteignent les
plus hauts rangs de la société israélienne. Par exemple,
le général de
division Jamal Hakroosh, Chef de la Direction du développement des services de
police pour la population arabe israélienne, a pris la parole à la Conférence
mondiale contre la discrimination et le racisme aux Nations Unies à Genève, le
4 décembre 2019. Il est le premier général musulman de la Police nationale
israélienne.

         Enfin
la population d’arabes détenteurs de la citoyenneté israélienne et vivant en
Israël, qui s’identifient comme palestiniens ou arabes israéliens, représentent
désormais plus de 20% de la population israélienne.

 

3.     L’accusation
de génocide

« La fondation de l’Etat israélien c’est le
massacre de centaines de milliers d’arabes » : citation souvent répétée
par les promoteurs de cette idéologie, une incitation à la haine caractérisée

De façon générale, les historiens reconnaissent
l’existence de différents               «
massacres » dont le nombre total de victimes est estimé à moins de 1000
personnes, notamment lors de la capture de villages. Il est intéressant de
mettre en regard le nombre de morts de la guerre en Syrie, plus de 388 000
morts en plus de 10 ans. Pas un mot de ces organisations à l’affût des égratignures
de chaque palestinien, voire d’une éraflure suite à un rasage maladroit. Preuve
s’il en était que l’objectif est moins l’assistance aux palestiniens que leur
victimisation, pour mieux désigner Israël, le seul Etat juif, à la vindicte.

Rappel d’attentats commis par l’organisation
terroriste FPLP, alliée de SAMIDOUN

·        
27 août 2001 – assassinat de Meir
Lixenberg, responsable de sécurité de quatre colonies de
Cisjordanie.

·        
18 octobre 2001, un commando du FPLP assassine à Jérusalem, le ministre
israélien du Tourisme, 
Rehavam Zeevi, membre du parti Moledet, pour venger
la mort de 
Abu Ali Mustafa. C’est le premier meurtre d’un ministre israélien par un
groupe palestinien.

·        
16 février 2002 – Attentat suicide dans
une 
pizzeria à Karmei Shomron (trois morts et
30 blessés)

·        
27 avril 2002 – Des combattants du FPLP
sont rentrés dans des maisons du Kibboutz Adora et ont tiré à bout portant
(quatre morts et sept blessés)

·        
19 mai 2002 – Attentat suicide dans un
marché à Netanya (trois morts et 59 blessés)

·        
20 juin 2002 – Un homme est rentré dans
une maison à Itamar et a tué un homme, ses trois enfants ainsi que
son voisin (cinq morts et deux autres enfants blessés)

·        
24 avril 2003 – Attentat suicide devant la
station de train de Kfar Saba (un mort et 13 blessés)

·        
11 mai 2003 – Tir sur le conducteur d’une
voiture près d’Ofra

·        
25 décembre 2003 – Attentat suicide à un
arrêt de bus près de Petah Tikva (quatre morts et plus de
20 blessés)

·        
27 février 2004 – Deux hommes sont tués
par balles dans leur voiture sur la route Lahav Ashkelon (deux morts)

·        
1er novembre 2004 – Attentat
suicide au marché Carmel à Tel Aviv (trois morts et plus de
30 blessés)

·        
18 novembre 2014 – Le FPLP revendique
le massacre dans une synagogue de Jérusalem 
(quatre fidèles juifs et un policier sont tués (sept civils sont blessés)

·        
29 juin 2015 – Attaque contre une
voiture transportant des civils israéliens. ( quatre personnes sont blessées,
dont une qui décède le lendemain à l'hôpital)

 

4. Quant au “génocide” , quelques
chiffres 

Nombre de réfugiés palestiniens, source UNRWA  , année 2020

1
460 315 personnes dans la bande de Gaza

858 758
personnes en Cisjordanie

438 000
personnes en Syrie

476 033
personnes au Liban (20 professions leur sont interdites et ne peuvent acquérir
des biens fonciers : apartheid ? qui en parle ?)

2 272 411
personnes en Jordanie (la Jordanie qui compte 60% de sa population d’origine
palestinienne)

562 312
personnes en Syrie

Un
total de 5 629 829 réfugiés palestiniens, soit + 34% en 20 ans dont

1 460 315
dans la bande de Gaza (+ 44% en 20 ans)

858 758
en Cisjordanie (+ 32% en 20 ans)

Chiffres année 2000, nombre de réfugiés palestiniens : selon
l’UNRWA, en 2000, le nombre de réfugiés palestiniens était de   3 737 494
, dont 824 622 dans la bande de Gaza et 583 009 en Cisjordanie (
Judée –Samarie). Et l’on ose parler de génocide avec une croissance aussi
faramineuse de population.

Pour
mémoire la population française, en 2000, qui s’élevait à 60,5 millions d’habitants
est passée à 67,4 millions en 2020, soit + 11%. Il est vrai que la France
n’est pas confrontée à un « génocide » comme les réfugiés
palestiniens. Jusqu’à quand laissera-t-on cette propagande éhontée qui incite au
crime les « déséquilibrés » ?

 

5. Coût
des « réfugiés » palestiniens et comparaison avec d’autres réfugiés

Depuis
1950, l’UNRWA a pour mission « de fournir protection et assistance aux
palestiniens ». Notamment dans les domaines de l'éducation, de la santé et des services sociaux. La question de la vaccination pourtant ne semble pas
concerner l’UNRWA vers qui personne ne se tourne, attendant d’Israël la
vaccination de cette population dont une partie ne rêve que de sa disparition.

Le
budget 2021 de l’UNRWA est de 1 080 928 000$, soit plus d’1
milliard de dollars pour l’année 2021. Mais l'UNRWA demande 1,5 milliard de dollars pour l'année 2021. Ce budget venant s’additionner aux
milliards injectés année après année alors que la corruption et les scandales
politiques absorbent une partie non négligeable de ces fonds.

Combien
ont été consacrés aux Yézidis, aux Ouïghours, aux réfugiés climatiques
etc. ? La réponse est simple : 0 Euro. Il y a chaque année plus de 50
millions de réfugiés dans le monde. Seuls les réfugiés palestiniens ont eu
droit à un statut de réfugié héréditaire et à un organisme doté de fonds
énormes pour pallier aux effets du statut héréditaire ! De là à penser que l'objectif fixé, ce ne sont pas les réfugiés palestiniens l’objet de tant de sollicitude, mais
bien la mise en difficultés de l’Etat d’Israël, seul Etat juif.

 

logo-PalestineVaincra.png

Le
premier objectif des activistes de ces officines dédiées à la haine d’Israël
 est de mettre fin à ce qu'ils nomment l’”occupation
des territoires occupés et la libération de la Palestine de la mer au
Jourdain” et appelle à cet objectif par tous les moyens y compris la lutte
armée”

BDS
reste l’un des acteurs qui tentent de maintenir le conflit israélo-palestinien
à l’agenda, avec une vision politique de la cause palestinienne. 

En
incitant pour libérer la Palestine de la mer au Jourdain à utiliser tous les moyens y compris les moyens armés, BDS, le collectif Palestine vaincra et les officines du même acabit se
mettent définitivement hors-la-loi. 

Le
BNVCA dépose plainte contre ces organisations et exige leur dissolution avant d
nouveaux
meurtres « pour venger les enfants palestiniens »

Le
BNVCA saisit le Ministre de l'Intérieur pour lui demander de décréter
l'interdiction de Samidoun de Palestine Vaincra, et leur dissolution
ainsi que l'interpellation de leurs dirigeants.

La
normalisation des relations d'Israël avec de nombreux pays arabes et musulmans
et non des moindres par les accords d'Abraham rendent caduques les slogans et
combats d'arrière-garde de BDS, de ses comparses Samidoum, Capjpo, Palestine Vaincra et autres mouvements
islamo terroristes et islamo gauchistes. L’indulgence et la complaisance peuvent
mener à la complicité, soyons vigilants. 

Fwd: The Back Door Hypocrisy of the United Nations Human Rights Council Inquisition of Israel


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POUR DIFFUSION IMMÉDIATE


L'hypocrisie de la porte dérobée de l'inquisition d'Israël par le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies (CDH)

 

Était-ce un prélude à un hainefest «Durban 4» et une plate-forme pour la destruction de l'État juif?

 


Paris, 24 March

 

Un rapport du Dr Shimon Samuels, directeur du Centre Wiesenthal pour les relations internationales et observateur à la séance de clôture du Conseil des «torts» humains des Nations Unies:

 

Point 2 de l'ordre du jour, L.31 , «Situation des droits de l'homme dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et obligation d'assurer la responsabilité et la justice» – parrainé par le Chili, le Pakistan, le Venezuela et la Palestine.

 

«Attendez une minute», pensa Samuels, «n'était-ce pas un problème pour le point 7, où toutes les attaques contre Israël sont regroupées?»

 

La résolution adoptée avec le soutien de 32 États membres: Allemagne, Argentine, Arménie, Bangladesh, Bolivie, Burkina Faso, Chine, Côte d'Ivoire, Cuba, Danemark, Érythrée, Fidji, France, Gabon, Indonésie, Italie, Japon, Libye, Mauritanie, Mexique, Namibie, Pays-Bas, Pakistan, Pologne, Corée, Russie, Sénégal, Somalie, Soudan, Uruguay, Ouzbékistan, Venezuela.

Les votes contre étaient 6: l'Autriche, le Brésil, la Bulgarie, le Cameroun, le Malawi, le Togo.

8 se sont abstenus: Bahamas, République tchèque, Inde, Îles Marshall, Népal, Philippines, Ukraine, Royaume-Uni.

Absent: Bahrain.

 

La partie accusée, Israël, a répondu, soulignant “ l'absence de mention du terrorisme du Hamas, les 100000 camions de nourriture envoyés à Gaza, 140000 Palestiniens traités médicalement dans les hôpitaux israéliens, dont 13000 enfants et les 100000 travailleurs palestiniens recevant le vaccin anti-Covid . »

 

Le Représentant permanent d'Israël auprès des Nations Unies à Genève, Meirav Eilon Shahar, a poursuivi: «Tout État membre qui vote en faveur de cette résolution et soutient son discours ne peut pas être un intermédiaire honnête en matière de paix au Moyen-Orient. “

 

Le moment horrible est survenu lorsque le Royaume-Uni et l'Union européenne ont exprimé «leur satisfaction que la question ait été retirée du point 7». Seul le Brésil a vu à travers «les nouveaux vêtements du roi», affirmant que «le projet de résolution était de toute façon déséquilibré et distinguant Israël».

 

En effet, trois autres résolutions sur le point 7 attendaient toujours au coin de la rue et ont été votées dans l'après-midi.


POINT 7


La bonne nouvelle a été les déclarations de l'UE et du Royaume-Uni: “Un rejet ferme de maintenir le point 7 à l'ordre du jour, car il distingue clairement Israël.” Ils ont déclaré que toutes les questions concernant Israël et la Palestine devraient figurer dans un point général sur les préoccupations relatives aux droits de l'homme pour chaque pays. Le Royaume-Uni et la République tchèque ont déclaré qu'ils voteraient désormais systématiquement contre toute résolution relative au point 7.


Cette position a été reflétée dans It em 7, L.16  – Les droits de l'homme dans le Golan syrien occupé, parrainé par le Chili, le Pakistan et la Palestine. Les États membres de l'UE présents – Autriche, Bulgarie, République tchèque, Danemark, France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Pologne – et Royaume-Uni, ainsi que le Brésil, le Cameroun, le Japon, le Malawi, les Iles Marshall, la Corée du Sud, le Togo et l'Ukraine a voté contre, perdant par une petite marge.

En fait, la résolution a vu 26 voix pour, 18 contre et 3 abstentions.

 

Sur le point 7, L.18  – Droit du peuple palestinien à l'autodétermination, parrainé par le Chili, le Pakistan et la Palestine. Le vote a été de 42 voix pour, 3 contre et 2 abstentions. Ainsi, le Royaume-Uni et la République tchèque rejetaient tout projet de résolution du point 7, bien que tous soient d'accord, “en principe, que les Palestiniens ont le droit à l'autodétermination”.


 

Au point 7, L.30  – Colonies israéliennes dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et le Golan syrien occupé, parrainées par le Chili, le Pakistan, le Venezuela et la Palestine. Le vote est de 36 voix pour, 3 contre – Royaume-Uni, République tchèque, Iles Marshall – et 8 abstentions. Cela a accentué la question des implantations existantes – en particulier des nouvelles implantations – “encore couramment considérées comme un obstacle à la paix”.


DURBAN

 

Point 9, L.3  – << Combattre l'intolérance, les stéréotypes négatifs et la stigmatisation et la discrimination, l'incitation à la violence et à la violence contre des personnes fondées sur la religion ou les convictions, parrainé par l'Australie, le Canada, les Fidji, le Pakistan, le Paraguay, l'Uruguay et la Palestine. 


Le cadre de ce point: “Le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et les formes connexes d'intolérance, le suivi et la mise en œuvre de la Déclaration et du Programme d'action de Durban” résonne d'une innocence de haut niveau. La résolution a été acceptée par consensus, mais aucune décision n'a été prise concernant la conférence de commémoration du 20e anniversaire prévue. Cela peut être attribué à la campagne de lettres du Wiesenthal Center exhortant les dirigeants des pays démocratiques à boycotter un «Durban 4».


En fait, l'ensemble du processus de Durban, depuis son lancement en 2001 – et ses suivis en 2009 et 2011 – a été surnommé par les délégués du Centre sur place, le doyen associé et directeur de l'action sociale mondiale, le rabbin Abraham Cooper et le Dr Shimon Samuels comme “le pire hainefest antisémite depuis la Seconde Guerre mondiale.”

 

En cas de «Durban 4» en septembre 2021 – qui menace de renouveler l'inquisition antisémite et l'hypocrisie de la haine – nous réitérons notre appel à tous les pays de bonne volonté à ne pas participer et à continuer de rejeter le choix et la délégitimation d'Israël. Comme l'a souligné le représentant des États-Unis auprès de l'ONU à Genève à la clôture du Conseil des droits de l'homme: “Nous appelons tous à rejeter catégoriquement toute idée selon laquelle le sionisme peut être assimilé au racisme!”


Un “Bienvenue à” Durban 4 “est une” Invitation “à une plate-forme pour la destruction de l'Etat juif.”

Pour plus d'informations, contactez le Dr Samuels à
[email protected]

Ou en savoir plus sur

wiesenthal-europe.com

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Veuillez nous contacter si vous êtes témoin ou victime d'antisémitisme ou d'autres formes de discrimination sur les réseaux sociaux.



« Pour le mal à prospérer , il faut que les bons hommes à faire rien . » (Simon Wiesenthal, 1908-2005)

Fwd: Le BNVCA sera présent ce 24 mars devant le Tgi de. Paris au procès de 7 racistes ayant insulté et menacé des asiatiques . COMMUNIQUE

Bureau. National de Vigilance Contre Antisémitisme      .                                                66 Rue  Laugier. 75017 Paris
Le. President                                               Sammy. Ghozlan.                              0177384944

:              
Paris le 24 mars 2021 
Le  B. N. V. C.A,  sera présent ce jour 24 mars 2021 devant l a 17 eme chambre correctionnelle du. T. G. I de Parisot seront jugés 7 prévenus de racisme à l’encontre de personnes d’origine asiatique 

Courant  novembre  2020 des messages  sur Facebook ont appelé,  avec une rare violence,  à agresser et tuer des asiatiques, hommes et femmes. 
Le BNVCA a immédiatement déposé  plainte  entre les mains du  Procureur de Paris,  qui a  de suite  ouvert une enquête,  laquelle a  permis,  en un temps record de  3 mois,  d’identifier  les  auteurs,  les  convoquer,  les  auditionner,   puis les citer  devant le Tribunal correctionnel.  
L’audience se  tiendra le 24 mars  à  la  barre de la 17ème chambre ;   7  individus  étant  ainsi renvoyés devant  des  Juridictions  de Jugement,  4  majeurs,  3 mineurs.   Tous ayant la même  origine que ceux qui sont antisémites  
Notre avons chargé notre conseil. Maître   Franck. Serfati de réclamer que des peines sévères et dissuasives soient prononcés contre les auteurs des injures et menaces  

Le BNVCA sera présent ce 24 mars devant le Tgi de. Paris au procès de 7 racistes ayant insulté et menacé des asiatiques . COMMUNIQUE

Bureau. National de Vigilance Contre Antisémitisme      .                                                66 Rue  Laugier. 75017 Paris
Le. President                                               Sammy. Ghozlan.                              0177384944

:              
Paris le 24 mars 2021 
Le  B. N. V. C.A,  sera présent ce jour 24 mars 2021 devant l a 17 eme chambre correctionnelle du. T. G. I de Parisot seront jugés 7 prévenus de racisme à l’encontre de personnes d’origine asiatique 

Courant  novembre  2020 des messages  sur Facebook ont appelé,  avec une rare violence,  à agresser et tuer des asiatiques, hommes et femmes. 
Le BNVCA a immédiatement déposé  plainte  entre les mains du  Procureur de Paris,  qui a  de suite  ouvert une enquête,  laquelle a  permis,  en un temps record de  3 mois,  d’identifier  les  auteurs,  les  convoquer,  les  auditionner,   puis les citer  devant le Tribunal correctionnel.  
L’audience se  tiendra le 24 mars  à  la  barre de la 17ème chambre ;   7  individus  étant  ainsi renvoyés devant  des  Juridictions  de Jugement,  4  majeurs,  3 mineurs.   Tous ayant la même  origine que ceux qui sont antisémites  
Notre avons chargé notre conseil. Maître   Franck. Serfati de réclamer que des peines sévères et dissuasives soient prononcés contre les auteurs des injures et menaces